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le 1er Janvier 2000
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Capital
L’Arménie, en 72e place mondiale dans le classement « Forbes » des pays les plus hospitaliers en matière d’investissement
samedi 11 février 2006
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TURQUIE
Groupama se renforce en Turquie en acquérant Basak
vendredi 10 février 2006
![]() Groupama vient d’annoncer l’acquisition, aux termes d’un appel d’offres international, d’une participation majoritaire dans les compagnies turques d’assurance dommage Basak Sigorta et d’assurance vie Basak Emeklilik, pour un montant total de 268 millions de dollars. L’assureur mutualiste français précise dans un communiqué que cette opération "s’inscrit pleinement dans sa stratégie de développement international qui consiste à acquérir des positions significatives dans les marchés à fort potentiel de croissance, en particulier en Europe du Sud et en Europe centrale". Groupama détenait déjà une participation de 36% dans la compagnie turque Günes Sigorta, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 211 millions d’euros en 2004. Cette acquisition lui permet d’accéder à la sixième place d’un marché dont la croissance a atteint plus de 30% en 2004. Basak Sigorta, sixième assureur dommage turc, a réalisé en 2004 un chiffre d’affaires de 222 millions d’euros. Il dispose, avec près de 1.500 agents, du plus important réseau turc. Basak Emeklilik, sixième assureur vie du pays, détient 6,4% du marché a réalise un chiffre d’affaires de 46 millions d’euros. Groupama, qui avait dit en mars 2005 envisager une grande acquisition comprise entre deux et trois milliards d’euros, soumet son entrée en Bourse à une opération de cette envergure, sa cotation lui permettant ensuite de se désendetter. Pour être possible, une introduction en Bourse doit faire l’objet d’un vote de la Fédération nationale de Groupama, prévu lors de son assemblée générale du 24 février.
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France
Turquie
CAUCASE
La Turquie et la Géorgie vont moderniser deux passages frontaliers pour renforcer les échanges commerciaux
jeudi 9 février 2006
![]() Le Premier ministre géorgien Zurab Noghaideli, en visite en Turquie, a indiqué samedi 4 février que la Géorgie et la Turquie allaient modernier deux passages frontaliers afin de renforcer les échanges commerciaux. M. Noghaideli a fait ces propos lors d’une conférence de presse conjointe à Istanbul, avec Rifat Hisarciklioglu, président de l’Union des chambres et des échanges de Turquie. Le projet de modernisation, destinée à faciliter la circulation des marchandises et du peuple, sera lancé en juin 2006 et achevé en avril 2007, a indiqué M. Noghaideli. En vertu de ce projet, le passage frontalier de Sarp sera modernisé à un coût de 12 millions de dollars, alors que le passage frontalier de Sarp, à 10 millions de dollars. Les procédures de visa entre la Turquie et la Géorgie sera supprimés le 10 février, un autre mouvement visant à renforcer la coopération économique, a précisé M. Hisarciklioglu. La Turquie espère augmenter le volume d’échanges commerciaux avec son voisin la Géorgie, et mise sur un objectif de 2 milliards de dollars annuels au lieu des 500 millions de dollars actuels. Zourab Nogaideli, qui était accompagné des ministres géorgiens de l’Energie et de l’Economie, a quant à lui appelé les hommes d’affaires turcs à suivre de près le processus de privatisation en Géorgie, notamment celui du secteur énergétique prévu pour l’année 2006. La Turquie est déjà largement présente dans le processus de privatisation au sein de la république sud-caucasienne, notamment en ayant remporté l’appel d’offres pour le juteux marché de réhabilitation de l’aéroport international de Tbilissi avec les sociétés TAV-Urban.
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Géorgie
Turquie
CEI
Pour la Banque mondiale l’ex-bloc communiste doit poursuivre l’intégration économique
mercredi 8 février 2006
![]() Dans une étude publiée mardi 31 janvier la Banque mondiale montre que les pays de l’ex-bloc communiste ont réussi dans l’ensemble à développer un commerce florissant mais ils risquent un clivage entre ceux qui ont opté pour l’Union européenne et ceux restés dans l’orbite de Moscou. Intitulé "De la désintégration à la réintégration, l’Europe de l’Est et l’ex-URSS dans le commerce international", cette étude insiste sur la nécessité de poursuivre ou d’engager des réformes internes dans les 27 pays observés afin de tirer pleinement profit de la libéralisation commerciale en cours dans le monde. "On assiste à l’apparition d’une bipolarisation dans la région", note Harry Broadman, l’auteur de l’étude cité dans un communiqué. Il fait la distinction entre "un groupe qui opte de plus en plus en faveur des échanges commerciaux avec l’Europe occidentale et qui jouit de revenus relativement élevés et l’autre groupe qui est nettement plus pauvre et qui a tendance a revenir en arrière dans la sphère russe". Dans ce deuxième groupe, la plupart des économies sont toujours dominées par le commerce des matières premières, ajoute-t-il. L’étude a passé en revue l’évolution de l’économie dans les huit ex-pays de l’Est entrés en 2004 dans l’Union européenne (République tchèque, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pologne, Slovaquie et Slovénie), sept de l’Europe du Sud-Est (Albanie, Bosnie, Bulgarie, Croatie, Macédoine, Roumanie, Serbie-Monténégro) et 12 de la CEI (Arménie, Azerbaïdjan, Bélarus, Géorgie, Kazakhstan, Kirghizstan, Moldavie, Russie, Tadjikistan, Turkmenistan, Ukraine, Ouzbékistan).
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CEI
Commerce
Les échanges commerciaux de l’Arménie avec l’Union européenne en hausse de 58 % en 2005
samedi 4 février 2006
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Consommation
TURQUIE
Le déficit du commerce extérieur turc en hausse en 2005
lundi 30 janvier 2006
![]() Selon l’agence de presse Anatolie le déficit du commerce extérieur turc s’est accru de 24,9% à 43,6 milliards de dollars (35,9 milliards d’euros) en 2005 par rapport à l’année précédente. Citant le secrétariat d’Etat turc aux douanes, Anatolie précise que les importations ont progressé de 17,9% à 115,7 milliards de dollars, les exportations connaissant une hausse de 14,1% à 72,1 milliards de dollars. En décembre 2005, les importations ont diminué de 1,3% à 10,5 milliards de dollars par rapport à décembre 2004, les exportations progressant de 1,8% à 7,1 milliards de dollars. La livre turque a connu un renchérissement croissant face aux principales devises étrangères au cours des deux dernières années, pendant lesquelles l’économie turque a émergé d’une crise financière sévère survenue en 2001.
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Turquie
ARMENIE
Russie-Arménie : hausse de 40% des échanges commerciaux
mardi 24 janvier 2006
![]() Le chiffre d’affaires des échanges commerciaux entre la Russie et l’Arménie a augmenté de 40% au cours des dix premiers mois de 2005 pour atteindre 260,8 millions de dollars, a annoncé vendredi 20 janvier 2006 dans une interview à RIA Novosti le porte-parole officiel du ministère russe des Affaires étrangères, Mikhaïl Kamynine. "Le développement rapide de la coopération bilatérale dans les divers domaines constitue un bon contexte pour les contacts entre les deux pays" a déclaré le diplomate. "Les deux pays abordent les problèmes des relations bilatérales dans le contexte de la réalisation des ententes intervenues lors des sommets russo-arméniens et ne cessent de chercher de nouveaux moyens d’amplifier leur coopération, notamment dans le secteur énergétique et dans le domaine de l’investissement", a-t-il ajouté. D’autre part, les deux parties attachent beaucoup d’importance aux problèmes du transport, notamment aux moyens à engager pour rétablir le trafic ferroviaire entre la Russie et l’Arménie via la Géorgie et pour exploiter avec plus d’efficacité le car-ferry qui circule entre les ports de Kavkaz et de Poti, a dit Mikhaïl Kamynine. Les contacts culturels et en général les rapports humanitaires connaissent également un développement rapide. Parlant de l’ouverture le 22 janvier de l’Année de l’Arménie en Russie, le diplomate a souligné que les grandes actions qui s’inscrivent dans le dialogue russo-arménien "ouvrent la voie à l’initiative sociale et professionnelle, facilitent les contacts directs entre les personnes et élargissent les horizons de la coopération commerciale, économique, scientifique, technique, informationnelle et culturelle entre les deux pays". Le diplomate a rappelé que les relations entre la Russie et l’Arménie reposent sur une base juridique solide constituée du traité d’amitié, de coopération et d’entraide du 29 août 1997, de la déclaration de coopération d’alliés orientée vers le XXIe siècle et de plus de 160 accords et ententes interétatiques, intergouvernementaux et interministériels. "Les présidents des deux pays entretiennent des contacts réguliers fréquents. La visite du président russe à Erevan en mars 2005 et les rencontres Poutine-Kotcharian en juin 2005 à Moscou et en décembre dernier à Sotchi sont des étapes importantes du renforcement des assises du partenariat stratégique et de la coopération bilatérale", a précisé Mikhaïl Kamynine. La Russie et l’Arménie pratiquent des échanges de vues sur l’ensemble des questions liées à la coopération bilatérale et sur les problèmes internationaux et régionaux les plus importants, a-t-il indiqué. "Les contacts bilatéraux réguliers entre la Russie et l’Arménie impriment une impulsion supplémentaire à leurs relations d’amitié étroites traditionnelles et favorisent le renforcement de la stabilité politique et économique", a poursuivi le diplomate. D’autre part, la Russie et l’Arménie sont "déterminées à déployer, sur une base bilatérale et multilatérale, des efforts ciblés dans la lutte contre le terrorisme dans toutes ses manifestations". "La coopération politique des deux pays dans la lutte contre le terrorisme est fortifiée par une coopération pratique efficace entre leurs forces de l’ordre et services spéciaux", a conclu le porte-parole de la diplomatie russe.
Autres themes abordés dans cet article :
Arménie
Russie
Economie arménienne
Hausse de 35,1% en 2005 du volume des échanges avec l’extérieur de l’Arménie
dimanche 22 janvier 2006
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ECONOMIE
L’Arménie accuse un déficit de sa balance commerciale
dimanche 15 janvier 2006
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Autres themes abordés dans cet article :
Arménie
CEI
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Economie arménienne
8,2% de la population active de l’Arménie, soit 98 800 personnes seraient officiellement au chômage fin novembre
AZERBAIDJAN
Pour Ilham Aliev en 2005, l’Azerbaïdjan est devenu le champion mondial de la croissance économique
ECONOMIE
Croissance arménienne à la hausse
Economie
En 2005 la croissance économique de l’Arménie dépassera largement la moyenne des pays européens
ARMENIE
Dépenses sociales en hausse
ECONOMIE ARMENIENNE
Les investissements étrangers en Arménie avec 139,6 millions de dollars sont en hausse de 11,6% au 1er semestre 2005
ECONOMIE
Le gouvernement arménien approuve la vente de son réseau d’électricité à la compagnie russe UES |
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