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Hippopotame de l'Okavango au soleil couchant d'Afrique
« Le soleil, déjà bas, commençait à rougir. Au-dessus de nous, le ciel était d’un bleu intense sans un oiseau ni un nuage, mais autour de l’astre, il s’était formé une large bande verte émeraude avec un cercle d’or à l’intérieur. Les arbres des îles et les tendres bouclettes de jeunes palmiers minces perchés dans l’eau sur la pointe des racines s’élevaient, tels la fumée des deux feux allumés par les chasseurs au-dessus des immenses champs de papyrus, de joncs, d’herbes que l’on eut dit des blés mûrissant pour la faucille nouvellement forgée de la lune ardente. », Laurens Van der Post, Le Monde perdu du Kalahari |
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