Reportage
Reportage
Le registre parcellaire graphique
Le registre parcellaire graphique
V
ERS UNE CARTOGRAPHI
DE LA
F
RANCE AGRI
V
ERS UNE CARTOGRAPHI
DE LA
F
RANCE AGRI
O
RGANISME DE PAIEMENT ET DE CONTRĂLE DES AIDES AUX AGRICULTEURS MISES EN PLACE
PAR LA POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE
,
L
âO
FFICE NATIONAL INTERPROFESSIONNEL
DES CĂRĂALES
(O
NIC
)
MET EN ĆUVRE UN REGISTRE PARCELLAIRE GRAPHIQUE
. C
ET OUTIL
DE DĂCLARATION SIMPLIFIĂE POUR LES AGRICULTEURS OFFRIRA UNE REPRĂSENTATION
DE L
â
ENSEMBLE DES SURFACES CULTIVĂES EN
F
RANCE
. E
T DE NOUVEAUX MOYENS
DE GESTION ET DE COMPRĂHENSION DU TERRITOIRE POUR LES ACTEURS DU MONDE AGRICOLE
.
O
RGANISME DE PAIEMENT ET DE CONTRĂLE DES AIDES AUX AGRICULTEURS MISES EN PLACE
PAR LA POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE
,
L
âO
FFICE NATIONAL INTERPROFESSIONNEL
DES CĂRĂALES
(O
NIC
)
MET EN ĆUVRE UN REGISTRE PARCELLAIRE GRAPHIQUE
. C
ET OUTIL
DE DĂCLARATION SIMPLIFIĂE POUR LES AGRICULTEURS OFFRIRA UNE REPRĂSENTATION
DE L
â
ENSEMBLE DES SURFACES CULTIVĂES EN
F
RANCE
. E
T DE NOUVEAUX MOYENS
DE GESTION ET DE COMPRĂHENSION DU TERRITOIRE POUR LES ACTEURS DU MONDE AGRICOLE
.
4
IE
ICOLE
IE
ICOLE
5
Reportage
Reportage
cise â orientĂ©es vers les zones de grandes
cultures. Avec lâextension de la tĂ©lĂ©dĂ©tec-
tion vers du parcellaire plus réduit, il nous
a fallu acquĂ©rir de nouveaux types dâimages.
Les images satellite de meilleure précision
étant plus difficiles à acquérir, plus chÚres
aussi, nous avons opté pour des photos
aériennes avec des prises de vue spécifiques
sur les zones de contrĂŽle et un mixage
dâimages satellite et de photos aĂ©riennes
dâarchives pour complĂ©ter notre connais-
sance du parcellaire.
Si bien que, dans les dix-sept services régionaux de
lâOnic, les agents formĂ©s Ă la photo-interprĂ©tation contrĂŽ-
lent actuellement 1 million dâhectares de cultures et trai-
tent plusieurs milliers de dossiers chaque année sur Vigie,
un logiciel adapté à leurs besoins.
Lâ
EXPĂRIENCE D
âO
LISIG
Pour garantir la bonne fin des aides europĂ©ennes, lâOniol
(Office national interprofessionnel des oléagineux, pro-
tĂ©agineux et cultures textiles) â Ă©tablissement « jumeau »
de lâOnic â a, de son cĂŽtĂ©, mis en place un SIG olĂ©icole
fondĂ© sur la cartographie du verger dâoliviers français dĂšs
1998. Cet outil de déclaration et de contrÎle repose sur
une photographie de lâensemble du sud de la France
(33 000 km
2
) commandĂ©e Ă lâIGN par la CommunautĂ©
européenne en 1997, puis orthorectifiée sous la respon-
sabilitĂ© de lâOniol en 1999. Le logiciel Olisig permet de
repérer les vergers à partir de photos aériennes et de
dénombrer les arbres par parcelle à partir des planches
cadastrales numérisées affichables en superposition.
Avec quelque 15 000 hectares dâoliviers,
65 000 parcelles et 3 millions dâarbres, ce
recensement peut paraĂźtre anecdotique au
regard de la production espagnole qui est
cent fois plus importante que la nĂŽtre.
Cependant ce gros chantier de préparation
de donnĂ©es et dâinterprĂ©tation de photos
â
â
â 687 agents sur la France ;
â 17 services rĂ©gionaux,
équipés pour la saisie, la
mise Ă jour et lâassistance ;
â 430 000 agriculteurs
déclarants ;
â 80 % des contrĂŽles
des aides aux surfaces (PAC)
effectuées par
télédétection en 2002 ;
â 5 Ă 6 milliards dâeuros
distribués chaque année
aux agriculteurs.
M
ISSIONS DE L
âO
NIC
6
Ătablissement public
national et organisme
dâintervention de la CEE,
lâOnic assure entre autres
missions :
â lâorganisation et la
régulation du
marché national
des céréales ;
â la prĂ©paration des
réglementation
nationale et euro-
péenne et sa mise
en application ;
â le recueil des donnĂ©es
statistiques et le suivi
de lâĂ©volution du
marché et des prix ;
â la promotion des cĂ©rĂ©ales
françaises ;
â le paiement des aides de
la politique agricole
commune (PAC) et les
contrĂŽles sur le terrain.
vec 99 % dâagriculteurs parfaitement Ă
lâaise avec la photographie aĂ©rienne pour
y repĂ©rer et y dĂ©limiter leur terrain â et dĂ©jĂ
100 000 dâentre eux Ă©quipĂ©s dâordina-
teurs â, les systĂšmes dâinformation gĂ©o-
graphique vont simplifier la vie des exploi-
tants et améliorer la qualité des services administratifs,
techniques et Ă©conomiques de lâagriculture.
Avec des véhicules techniques et des engins agricoles
de plus en plus nombreux Ă ĂȘtre Ă©quipĂ©s en GPS, cli-
quer sur une carte devient le moyen le plus simple en
vue de décrire ou de contrÎler le terrain, pour les agri-
culteurs comme pour les techniciens. Le processus est
aujourdâhui accĂ©lĂ©rĂ© par un nouveau rĂšglement euro-
pĂ©en (1593/2000) qui prĂ©voit que tous les Ătats membres
devront disposer dâun systĂšme dâinformation gĂ©ogra-
phique informatisĂ© pour lâidentification des parcelles
agricoles au 1
er
janvier 2005. Afin de répondre à cette
exigence, un systÚme de déclaration graphique sera mis
en Ćuvre sur toute la France en remplacement du registre
parcellaire cadastral : lĂ oĂč lâexploitant devait dĂ©crire
ses parcelles sur un registre cadastral, il recevra désor-
mais les photos aériennes couvrant son exploitation pour
y dessiner les Ăźlots quâil exploite.
Lâ
EXPERTISE DE LA TĂLĂDĂTECTION
Le ministĂšre de lâAgriculture et de la PĂȘche a confiĂ© la
mise en Ćuvre du registre parcellaire graphique Ă lâOnic
qui, en plus dâĂȘtre lâun des interlocuteurs des agricul-
teurs, a acquis une solide expérience en manipulation
de données géographiques, explique Emmanuel de
Laroche, responsable télédétection et SIG :
Depuis la mise en place des aides de la
politique agricole commune en 1993, nous
avons intégré les données géographiques
dans nos activités de paiement et de contrÎle.
Aujourdâhui, nous travaillons Ă 80 % par
tĂ©lĂ©dĂ©tection. Au dĂ©part, il sâagissait de
planches cadastrales numĂ©risĂ©es et dâimages
satellite â de rĂ©solution plus ou moins prĂ©-
A
â
aériennes nous a rodés à la gestion sur base
dâun SIG et nous a convaincus de prendre en
main en interne ce type de dispositif.
En effet, aprĂšs une phase dâinterrogations sur lâoppor-
tunité de confier à des contractants la préparation et le
traitement des donnĂ©es de base, lâOnic-Oniol peut aujour-
dâhui se prĂ©valoir dâune maĂźtrise des logiciels de contrĂŽle
et dâun systĂšme homogĂšne exploitĂ© par des agents for-
mĂ©s aux nouvelles technologies et prĂȘts Ă rĂ©pondre au
nouveau rÚglement européen de gestion des aides aux
surfaces. En revanche, lâOnic, en accord avec le minis-
tĂšre de lâAgriculture, a renoncĂ© Ă dĂ©velopper lui-mĂȘme
une base orthophotographique pour la réalisation du
registre parcellaire graphique, prĂ©fĂ©rant sâassocier Ă
lâIGN, qui dĂ©veloppait sa propre base. Ă la condition
que le calendrier soit tenu. Pour que le systÚme soit opé-
rationnel au 1
er
janvier 2005, il faut que lâOnic dispose
dâune BD ORTHO
Âź
complĂšte fin 2003âŠ
D
E LA LISTE Ă LA CARTE
Sâil sâagit dâabord de rĂ©pondre aux exigences commu-
nautaires, le registre parcellaire graphique, qui se met
en place, vise aussi à simplifier les démarches admi-
nistratives des agriculteurs :
Le systĂšme des aides directes de la PAC
repose sur une déclaration annuelle des agri-
culteurs en deux volets : la localisation des
terres se référant au registre parcellaire et la
description des cultures de lâannĂ©e ou dĂ©cla-
ration des surfaces cultivées. Le passage du
registre cadastral sous forme de listes de par-
celles à la cartographie nous a amenés à chan-
ger le dispositif de localisation des terres : elle
ne se fera plus sur la base des parcelles mais
des Ăźlots regroupant plusieurs parcelles culti-
vĂ©es par un mĂȘme exploitant. Lâagriculteur
nâaura plus quâĂ dessiner au crayon rouge sur
une photo en noir et blanc au 1 : 5 000, impri-
mée au format A3, les contours des ßlots
â
â
C
YCLE ANNUEL
DE MISE Ă JOUR DU
REGISTRE PARCELLAIRE
GRAPHIQUE
Dans chaque
département, aprÚs
lâinitialisation de
la base, une mise
à jour est assurée
chaque année.
â Janvier-mars :
production des
documents photogra-
phiques sur la base
de lâorthophoto
(sur laquelle on aura
numérisé les ßlots
de déclaration) ;
â 15 mars :
envoi Ă
chaque agriculteur dâun
jeu de photographies
aériennes ainsi que
du registre parcellaire
cadastral de son
exploitation ;
â 30 avril :
lâagricul-
teur corrige les dessins
des limites de ses Ăźlots de
culture, puis renvoie les
documents Ă la DDAF ;
â mai Ă octobre :
lâadministration saisit,
instruit et vérifie les
informations sur la base
de lâorthophoto numĂ©-
rique et transmet
les observations aux
agriculteurs ;
â 16 novembre :
versement des aides
aux agriculteurs.
Cas particulier
de lâannĂ©e
dâinitialisation :
les limites des Ăźlots des
agriculteurs nâĂ©tant pas
connues, lâenvoi des
documents se fait sur la
base des limites des
sections cadastrales
déclarées précédemment
par les agriculteurs
(registre parcellaire
cadastral).
cultivés
(voir page 8).
Nous envoyons en
moyenne sept photos par agriculteur. Ce seront
la Direction dĂ©partementale de lâagriculture
et de la forĂȘt et les agents des services rĂ©gio-
naux de lâOnic qui les numĂ©riseront ensuite
en superposition Ă la BD ORTHO
Âź
. Ils repé-
reront les anomalies, dont ils informeront les
agriculteurs. Ainsi, aprÚs une premiÚre année
de « transition », on obtiendra une image pré-
cise des surfaces et lâon pourra ensuite tra-
vailler exclusivement sur le registre graphique.
AprÚs une expérimentation menée en 2001 sur prÚs de
1 000 dossiers, dix départements ont basculé vers le
nouveau registre en 2002, la transition ayant été accom-
pagnĂ©e de rĂ©unions dâinformation, dâun numĂ©ro Azur,
de mises à disposition de photos complémentaires⊠Et
lâexpĂ©rience est concluante :
Bien sûr, cela ne remplace pas le travail
du géomÚtre, mais on constate un progrÚs
dans la prĂ©cision de lâestimation des sur-
faces. Dâailleurs, certains agriculteurs ont
dĂ©couvert Ă lâoccasion de leur dĂ©claration
« graphique » des choses Ă©tonnantes : quâils
ne disposent pas des hectares prévus dans le
contrat de location, par exemple. Lâorthophoto
rĂ©vĂšle des Ă©carts entre lâinformation cadas-
trale et la rĂ©alitĂ© culturale, mĂȘme si ceux-ci
sont faibles. Elle est plus conforme à la réa-
lité, et cela peut donner de bonnes et de mau-
vaises surprises. De toute façon, en cas de
problĂšmes, un agent se rend sur le terrain,
Ă©quipĂ© dâun ordinateur chargĂ© de lâextrait
BD ORTHO
Âź
de la zone et de la carte IGN
au 1 : 25 000, pour une saisie
in situ
des
limites dâĂźlotsâŠ
Pour les zones montagneuses, oĂč il nây a aucun Ă©lĂ©ment
distinctif de repĂ©rage, câest lâadministration qui se charge
de délimiter les ßlots les plus difficiles à localiser.
>>
7
â
â
â
Champ de colza dans le Vercors.
Champ de colza dans le Vercors.
parcelles non cultivĂ©es. Une aide dâautant plus apprĂ©-
ciable que le versement des aides repose sur la préci-
sion de lâestimation des surfaces â surfaces planes
conformes aux normes cadastrales â quâils communi-
quent dans leurs déclarations.
Mais cette référence doit servir plus lar-
gement encore. La premiĂšre question est de
savoir comment restituer ces informations
aux agriculteurs qui y ont droit, dans le res-
pect bien sûr des rÚgles de confidentialité.
Et en lâoffrant sous des formes diffĂ©rentes,
adaptées à chacun : en format numérique
mais aussi sous forme papier. Les deux coexis-
teront encore longtemps, mais, dans les deux
cas, le dispositif sera simplifiĂ©. Lâautre enjeu
dâimportance est de partager lâinformation
avec tous ceux qui en ont besoin.
De fait, au niveau de lâadministration, il y a plusieurs
organismes qui interviennent sur lâinstruction des dos-
siers et le paiement des aides. LâĂ©change rapide des
donnĂ©es entre les bons acteurs serait une chance dâop-
timiser les services. Les Directions départementales de
lâagriculture, qui sont les « guichets » des agriculteurs
â des organismes dâinstruction de premier niveau â,rĂ©flĂ©-
chissent dâailleurs aux diffĂ©rents usages qui peuvent
ĂȘtre faits du registre parcellaire graphique.
â
â
â
Reportage
Reportage
Au lieu de décrire ses parcelles
sur un registre cadastral,
lâexploitant recevra dĂ©sormais
les photos aériennes couvrant
son exploitation pour y dessiner
les Ăźlots quâil exploite.
Avec un stylo rouge fin, dessinez et
numérotez vos ßlots de culture.
Barrez la section si elle ne contient
plus dâĂźlot que vous exploitez.
Vérifiez la numérotation et reportez
dans ce cadre les numĂ©ros dâĂźlots
que vous dessinez sur cette
photographie.
Signature du demandeur, du gérant
en cas de forme sociétaire, de tous
les associés en cas de GAEC.
Ancienne déclaration destinée au
registre parcellaire cadastral.
1
2
Données IGN :
â BD ORTHO
Âź
;
â SCAN 25
Âź
;
â BD CARTO
Âź
(limites administratives) ;
â BD NYME (toponymes).
Données DGI :
limites de sections
cadastrales à numériser.
D
ONNĂES
GĂOGRAPHIQUES
8
Câest elle aussi qui intĂšgre les donnĂ©es cadas-
trales antérieures à 1994, car seules les terres cultivées
entre 1986 et 1991, avant la mise en place de la PAC,
ont droit aux aides communautaires.
Sâil simplifiera les procĂ©dures pour les agriculteurs, ce
nouveau registre parcellaire représente, dans un pre-
mier temps, une tĂąche trĂšs lourde pour lâOnic en matiĂšre
dâintĂ©gration et de diffusion des donnĂ©es cartographiques.
Mais la reprĂ©sentation graphique de lâensemble des uni-
tés cultivées sur le territoire français sera un outil de com-
préhension et de gestion du territoire sans précédent.
Gestion de la traçabilitĂ©, mise en Ćuvre dâune agricul-
ture préservant le développement durable, approche
qualitĂ©, visualisation dâĂ©pidĂ©mies⊠autant de services
qui pourraient ĂȘtre apportĂ©s grĂące Ă une base graphique.
LâO
NIC
:
POINT D
â
ENTRĂE DANS L
â
ORTHOPHOTO
DU DOMAINE AGRICOLE
Le choix de la BD ORTHO
Âź
(qui sera intégrée sous forme
compressée) et de la carte IGN au 1 : 25 000 répond
aussi au projet de lâOnic de mettre sa cartographie Ă
disposition des 430 000 agriculteurs déclarants
via
Internet. La carte IGN permettant de se repérer pour pas-
ser de lâaĂ©rien aux multiples Ăźlots, les exploitants pour-
ront commander rapidement des documents déclaratifs
complĂ©mentaires en ligne sans lâaide de quiconque. Ils
pourront aussi consulter la photo pour obtenir des élé-
ments de mesure plus précis comme des inclusions de
>>
99
1962-1967
LâOnic se positionne
comme un organisme
dâintervention
prépondérant dans
le cadre de la
construction commu-
nautaire et un moteur
Ă lâexportation de la
production française.
1980-1990
Les échecs des
programmes de
jachĂšres volontaires
et de stabilisation
aboutissent Ă lâobliga-
tion du gel des terres
1994-1999
Rapprochement entre
lâOnic et le Sido
(Syndicat interprofes-
sionnel des oléagineux),
aujourdâhui lâOniol
(Office national inter-
professionnel des oléa-
gineux, protéagineux et
cultures textiles) : corps
de contrĂŽleurs
commun et traitement
commun des statis-
tiques des céréales et
1953
« Plan céréalier » et
réorganisation de
lâOnic pour rĂ©duire
les importations par de
meilleurs rendements.
1936
Loi instituant lâOnib
(Office national inter-
professionnel du blé),
établissement public
ayant pour mission
dâorganiser le marchĂ©
du blé aprÚs les crises
de 1929 et 1935.
1940
LâOnib devient lâOnic
pour étendre son
action Ă lâensemble
des céréales et gérer
la pénurie du
ravitaillement.
Budget BD ORTHO
Âź
IGN : de 15 000 Ă
60 000
âŹ
par
département, soit 6 M
âŹ
.
Volume BD ORTHO
Âź
â noir et blanc :
1 000 giga-octets ;
â couleur :
12 000 giga-octets.
Documents
Ă envoyer
aux agriculteurs sur
50 départements (2003) :
1 500 000.
Production et
impression des
photos
â En premiĂšre annĂ©e :
7 photos par
exploitation
+ sections cadastrales ;
â les annĂ©es suivantes :
4 photos par
exploitation + Ăźlots de
lâannĂ©e prĂ©cĂ©dente ;
â nombre de photos :
1 500 000 (2003) ;
2 500 000 (2004) ;
1 700 000 (2005).
Saisie dâĂźlots
concernés
Saisie et mise Ă jour
des Ăźlots tous les ans :
â 800 000 (2002) ;
â 3 500 000 (2003) ;
â 3 500 000 (2004) ;
â + 15 % de mise Ă jour
annuelle.
L
E RPG
EN CHIFFRES
2005
Le registre parcellaire
graphique répondra
Ă lâobligation commu-
nautaire dâasseoir,
sur support graphique,
lâidentification des
parcelles agricoles et
les déclarations de
surfaces cultivées
au 1
er
janvier.
Contacts et
responsable
Télédétection et SIG :
Emmanuel de Laroche
Tél. 01 44 18 21 59
e.delaroche@onic.fr
www.onic.fr
(15 % des surfaces
cultivées).
LâOnic est reconnu
comme établisse-
ment public Ă
caractĂšre industriel
et commercial.
des oléagineux.
Mise en place des
aides de la PAC et de
la télédétection
comme méthode de
contrĂŽle recomman-
dée par la CEE.
Développement du
SIG oléicole Olisig par
lâOniol.
2001 :
annĂ©e dâexpĂ©ri-
mentation sur le départe-
ment de lâOise ;
2002 :
13 départements
concernés (Réunion et
Martinique inclus) ;
2003 :
51 départements
concernés ;
2004 :
la totalité
des départements
concernés ;
2005 :
au 1
er
janvier,
mise en conformité
du systÚme de déclaration
graphique avec le
rÚglement européen.
29
22
56
35
50
14
76
62
02
08
55
54
67
68
90
88
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10
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21
58
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42 69
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15
43
07
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05
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06
2B
2A
66
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30
48
12
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81
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32
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19
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13
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04
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53
49
44
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37
41
45
18
36
86
79
85
17
09
11
74
70
57
59
27
60
77
51
28
78
91
75
95
en 2002
en 2003
en 2004
C
ALENDRIER DU REGISTRE PARCELLAIRE GRAPHIQUE
Chronologie
Chronologie
Extrait de lâorthophotographie
de la Moselle. On voit les deux
villages de Bettange et Ăblange,
la riviĂšre la Nied le traverse.