Plaquette

sommaire

La france

Le monde

La vie

i -

a révoLution PoLitique de La vie

Une destination /

2 -

Lzheimer

antiBiotiques

les deux défis /

3 -

ôPitaL

médecins

le Plan lazare /

4 -

ersonnes âgées

Un haut commissiare à la Vie /

5 -

eunes

, u

niversité

le Plan minerve /

La france en entier

notre empire des mers /

La france monde

notre empire des mers /

3 -

défense

la france réarmée /

4 -

emPLoi

la révolution des droits de douanes déductibles /

5 -

fiscaLité

sortir de l’impôt sur le revenu du travail /

6 -

agricuLture

le matin des paysans /

7 -

justice

le retour du peuple /

8 -

information

désoligarchiser les médias /

9 -

sécurité

oxigéner les prisons, gallicaniser l’islam / 30

i -

diPLomatie

le retour /

i -

uroPe

les grandes solutions /

2 -

mediterranée

le coeur stratégique français /

3 -

afrique du nord

le maghreb unifié, notre sécurité /

4 -

750

miLLions de francoPhones

la communauté de destin /

5 -

miLLiard de Latins

l’alliance de civilisation europe amérique latine /

6 -

26.000

miLLairds d

’

évasion fiscaLe

l’imposition mondiale des multinationales /

7 -

55.000

miLLiards de dettes

la conférence mondiale des désendettements /

i -

omment financer

2 -

arrainage

3 -

iograPhie

e candidat

e 23 avril 2017 nous allons voter. Evidemment pour élire le président

de la République et choisir ainsi les solutions aux problèmes que nous

connaissons. Et ils sont légions. Avec notamment :

· Nos 202 000 éleveurs et nos 49 600 producteurs

laitiers dans le ciseau meurtrier des prix de vente en

baisse et des coûts de production en hausse ;

· Nos 6 429 900 compatriotes encore au chômage

en juin 2016 ;

· Notre dette publique de 2096 milliards d’euros qui

augmente de 2665 euros par seconde ;

· L’avalanche de 340 impôts et taxes que nous devons supporter, avec leur

effet de masse et de casse ;

· Nos 2, 5 millions d’analphabètes chez les plus de 18 ans, après pourtant

plus d’un siècle d’école obligatoire et gratuite ;

· Nos campagnes médicalement désertifiées et nos communes rurales tout à

la fois privées de vraies ressources fiscales dynamiques leur permettant d’in-

vestir et trop souvent enfermées dans des communautés ou des agglos entra-

vant leur liberté d’action.

Pour tout couronner, notre pays subit aussi :

· Les attentats, avec même des policiers abattus dans leur propre maison ;

· Les vagues de réfugiés, avec des campements à Calais ou ailleurs ;

· Des meurtres à la kalachnikov en série dans des quartiers de Marseille ;

· Sans parler de quelques détails qui en disent beaucoup de l’état où en est

arrivé notre pays, avec 2000 cas de gale, les publicités anti-poux dans les vi-

trines des pharmacies, les prisons avec des rats, voire la drogue en libre circu-

lation et la tuberculose qui se réinstalle.

Voilà, madame, monsieur, le constat. Connu de tous et depuis des années.

Parce que ce n’est pas d’aujourd’hui qu’à Trappes, Roubaix, dans la rue ou à la

télévision, les poules françaises ne reconnaissent plus leurs poussins.

Par exemple pour le chômage, le problème remonte jusqu’aux présidents

Valéry Giscard d’Estaing et François Mitterrand, avec le premier million de

chômeurs en 1976, les 2 millions en 1981 ou les 3 millions en 1993.

Alors concrètement, en 2017, quelles sont les solutions ?

Les candidats des partis nous ont

fait leurs propositions. Elles sont dans

les livres qu’ils signent et les pro-

grammes qu’ils mettent en ligne.

Que disent ils ?

Par exemple pour l’emploi, ils nous proposent,

en remède anti chômage, de baisser les cotisa-

tions sociales sur les bas salaires. Or depuis 1993,

les lois Balladur

du 7 juillet 1993,

Juppé

de 1995,

Robien

du 11 juin 1996 ,

Aubry I et II

de 1998 et

janvier 2000,

Fillon

du 17 janvier 2003 ou encore en 2014 le pacte de responsa-

bilité de Fr. Hollande, ont déjà fait cela. 82 mesures d’allègements des charges

ont été prises en deux décennies. Avec le résultat que vous voyez : non seulement

le chômage de masse 23 ans après est encore là, mais ces baisses de cotisations

ont engendré une hémorragie financière de 33 milliards d’euros chaque année

pour le budget de la sécurité sociale.

Pour compenser ces pertes, la CSG a été augmentée, d’un taux de 1,1 % en 1991

à un taux de 7,5 % dès 1998, des emprunts ont été contractés une dette sociale, en-

core de 161 milliards d’euros aujourd’hui, est née, engendrant à son tour, une nou-

velle imposition, la CRDS d’Alain Juppé de 1996, pour tenter de l’amortir.

Pire, ce trou de la sécurité sociale, ainsi provoqué en dommage collatéral

pour tenter de boucher le trou du chômage, a entrainé, à la recherche d’écono-

mies massives :

· la fermeture de maternités ou d’hôpitaux,

· la programmation méthodique de la diminution du nombre de médecins,

· la désertification médicale qui a suivi et donc les restrictions de soins,

· le plafonnement de la courbe d’espérance de vie qui n’augmente plus,

· et, en stade suprême de cette recherche aveugle d’économies, la loi

Hollande du 2 février 2016 sur la sédation profonde des grands malades.

Voilà le résultat de la baisse des cotisations encore et toujours proposée par

les candidats.

Alors que non seulement l’expérience a montré que la mesure ne marche pas

vraiment, mais qu’elle ne peut pas marcher.

madame, monsieur le maire

i - le constat :

la liste de nos

problèmes

ii - les solutions des partis :

leur inefficacité

1°) Pour L’emPLoi :

l’imposture de la baisse des

côtiations après 23ans de baisse

sans efficacité

Voilà le résultat de la baisse des cotisations encore et toujours proposée

par les candidats. Alors que non seulement l’expérience a montré que la me-

sure ne marche pas vraiment, mais qu’elle ne peut pas marcher .

Dès lors en effet que l’ Union européenne a accepté, dans les négociations

commerciales de l OMC, la suppression de nos protections douanières, iné-

vitablement nos producteurs sont en concurrence avec ceux de Chine et

des pays émergents. C’est à dire des pays où les travailleurs ne dorment que

35 heures par semaine, les grèves sont absentes, le salaire journalier n’est

que de 2 dollars, et la santé n’est pas une péoccupation. Dans ces conditions,

nos emplois, même si on leur supprime la totalité des 440 milliards de cotisa-

tions sociales qu’ils supportent, resteront toujours moins compétitifs. D’où

leur disparition dans la mondialisation.

D’autant qu’en parallèle, notre politique étrangère sanctionnant la Russie

et hier encore l’ Iran, a privé nos paysans et nos industries, automobile, aéro-

nautique ou de l’eau, de marchés créateurs d’emplois.

Dès lors, chacun comprend que résultant à la fois des

emplois détruits par

la mondialisation

, des

emplois sans preneurs faute de formation adaptée

des

emplois non créés

, parce que les employeurs doutent et redoutent devant

un monde politique qui les déroute, le chômage ne peut être causalement

traité par le jocker des baisses des cotisations sociales.

La même conclusion s’impose pour les

autres propositions des candidats. Par

exemple pour la fiscalité. Là, on peine à

croire qu’à leur niveau, ils puisssent avan-

cer des solutions aussi inadaptées aux réali-

tés d’une économie dématérialisée et mondialisée.

Jugez vous même :

Alors que la France supporte 985 milliards d’euros de prélèvements obliga-

toires, soit 45% de notre production économique annuelle confisquée par les

administrations publiques, que nous avons le plus vieux code fiscal du monde,

remontant à 1950, c’est à dire au temps de la guerre d’indo, des 4 CV Renault

et de Luis Mariano, qu’il compte 4266 articles, alors que tous lescodes mo-

dernes, de la Russie au Maroc, ne dépassent pas 500 articles, et que des géants

du Web, comme Google, Amazone, Microsoft ou Apple, échappent pour l’es-

sentiel à l’impôt sur les sociétés, en se localisant en Irlande, quelle réforme

fiscale croyez vous que proposent les grands candidats de l’opposition ?

Simplement la suppression des 5 milliards de l’ ISF !

Autrement dit, face au défi politique de l’évasion fiscale planétaire massive,

des candidats à la présidence nous expliquent que la suppression de cet ISF, au

montant de 5 milliards d’euros, c’est à dire inférieur aux 6 milliards de la taxe

d’enlèvement des ordures ménagères, serait la révolution fiscale que nous at-

tendrions tous depuis la nuit des temps passée à payer !

Quand on en est là, sans même avoir dit un mot sur la réforme des impôts

locaux, dont vous savez qu’elle est indispensable pour nos communes, et que

pas une référence n’est faite à la nécessité d’arriver à un impôt européen sur

les sociétés enfin harmonisé, pour éviter les comportements déloyaux de l’ Ir-

lande ou du Luxembourg, vous voyez bien, madame, monsieur le maire, la

modestie des solutions fiscales que le pays se voit proposer. Alors que moi je

propose la transfert salutaire de l’impôt sur le revenu à vos communes !

Et c’est ainsi de chapitres en chapitres.

Du défi de l’immigration déstabilisante à

notre agriculture asphyxiée, sur la plupart

des grands problèmes de la France, nos

candidats de 2017 nous font des proposi-

tions traitant au mieux des symptômes, mais certainement pas des causes

2017, c’est donc jusqu’ici le rendez vous des candidats Doliprane, avec

des tisanes de fleurs d’orangers alors que la France affronte le monde de

tous les dangers.

Tout cela est certes sympathique, comme des nuits debout à proposer rien du

tout, mais dans la vraie vie, nous le savons, les problèmes ne se traitent pas en

faisant du média. D’autant que la plupart de ces problèmes, sécuritaires, mi-

gratoires, terroristes, mais aussi abandon des personnes âgées, fragilité des fa-

milles ou solitude sociale, ne sont pas réservés à notre seul pays, comme

nous le croyons. Ils accablent aussi bien d’autres nations.

Ainsi aux Etats Unis, si Donald Trump a voulu construire un mur à la fron-

tière du Mexique, si la Colombie a vu arriver en 2016, des centaines de Congo-

lais et Ghanéens, pendant que l’ex président Bagbo avait refusé les burkinabés

au nom de l’ivoirité et que Maroc lui même a dû ouvrir l’an dernier 27 centres

de régularisation des immigrés clandestins, c’est tout simplement que l’immi-

gration est un problème non pas seulement français, mais mondialisé.

2°) Pour la fiscalite :

l’imposture de la suppression proposée

des 5 milliards de l’isf, dans un pays

supportant 985 milliards d’impôts.

3°) sur l’immigration,

le brexit, l’agriculture :

2017, le printemps de verveine des

candidats doliprane

iii - Pour les solutions

efficaces : en 4 vérités

1ère vérité L’immigration

est un problème mondiali-

séeet pas seulement français

De même, si la dette publique est de 104%

du PIB aux Etats Unis et si la vertueuse Alle-

magne elle même a une dette de 71 % de son

PIB, pendant que celle de la Chine est sur une pente en progression accélérée,

sans parler des 132 % de l’Italie ou des 229 % historiques du Japon, c’est là

encore que la dette publique massive n’est pas un problème réservé aux 96 %

d’endettement de la France, mais un donné financier lui aussi mondialisé.

C’est encore plus net pour les attentats

islamistes. Dans le16 premières années

du XXIème siècle, 206 massacres terro-

ristes, avec 11.037 victimes , ont frappé 31 pays, de l’Inde au Cameroun, de la

Chine ou la Russie aux Etats Unis et y compris les pays musulmans aussi. Tel le

Maroc, la Turquie ou bien sûr l’Irak chaque jour martyrisé. Le terrorisme isla-

miste de Charlie ou du Bataclan n’est donc pas notre seul problème de français.

Là encore, c’est un problème mondialisé.

Du coup, madame monsieur le maire, vous

comprenez pourquoi quel que soit le prési-

dent élu,

nos problèmes ne sont jamais ré-

solus. Parce que leur dimension mondiale

les met hors de portée des moyens d’action des gouvernements nationaux.

Certes, pour les flux migratoires par exemple, des mesures nationales peuvent

être prises. On a vu ainsi en 2015 les gouvernements Hongrois ou Slovène éri-

ger des murs. Mais chacun comprend qu’efficaces dans le court terme, ces me-

sures ne font que contenir le problème sans le résoudre au fond.

Alors voilà le vrai choix de 2017 :

Ou on en reste à traiter les symptômes

et à distraire le pays pour qu’il ou-

blie que rien n’est solutionné .·

Ou on s’attaque enfin aux problèmes dans leur vrai dimension.

C’est à

dire internationale.

Ce qui veut dire, par exemple, traiter l’immigration à la source. D’Alger à

Kinshasa. Et contrairement à ce que l’on croit, à force de nous enfermer dans la

vision rétrécie d’un simple hexagone, la France a les moyens de cette action

mondialisée. D’abord, parce que nous sommes une des rares nations de la terre

à être géographiquement mondiale.

Notre pays est en effet est un empire maritime sur tous les océans, avec 500

archipels, de Clipperton à Tromelin et jusqu’aux Kerguelen, du bout du monde

de nos terres australes.

Mais surtout, à la force de cette géographie planétaire, s’ajoute la force de

notre histoire et de tous nos relais quelle nous a créés. Sur la Méditerranée qui

est notre mer, au Maroc, en Algérie et en Tunisie qui sont notre glacis, au Sahel

qui est notre confins et en Afrique , où sur 10 000 km jusqu'à Kinshasa se joue

notre avenir national dans une

Communauté francophone de destin

aux 800

millions de jeunes habitants qui pensent dans leurs têtes en français.

A cette dimension là, vous comprenez que nos problèmes, depuis des années

enkystés peuvent trouver cette fois leurs solutions. Parce qu’ils cessent de se

concentrer sur 550 000 km2 et 150 cités radicalisées, pour se diluer sur les 12

millions de km2 de notre empire.

Le champ de vision de la présidentielle est alors transformé. Il va jusqu’à

nos vraies frontières qui ne se limitent pas au Luxembourg ou la principauté d’

Andorre.

Parce que la France de la nouvelle Calédonie est aussi un pays du

Pacifique, dans la cour des puissances où jouent la Chine et les etats unis.

L’élection de 2017 sort alors des débats étriqués pour parler sérieusement de

notre position sur la planète des nations.

Vous voyez dès lors le paradoxe de cette élection présidentielle.

Comme les

grands candidats des partis ont de petites idées, il faut bien un candidat

hors des partis, pour amener la grande vision !

C’est précisément l’objet de la candidature de responsabilité que je soumets à

votre parrainage : donner au débat présidentiel et la dimension qu’il mérite, et

surtout une destination.

Moi, je vous dis mon cap : épanouir le miracle de la vie de chacun, du

premier battement aux derniers mètres du parcours de l’existence

humaine

Si cette ligne ainsi dessinée rencontrent vos préoccupations, je serais honoré,

madame, monsieur le maire, de venir m’en entretenir avec vous

Dans l’attente de votre réponse, je voudrais vous assurer du respect que j’ai

non seulement pour l’action que vous menez dans vos communes, mais surtout

pour les conditions difficiles où vous êtes obligé de l’exercer, avec des res-

sources amputées et sous la « tutelle » politique qu’on vous a fabriquée dans

des regroupements imposés.

Votre bien dévoué.

2ème vérité : Les dettes

publiques sont mondialisées

3ème vérité : Les attentats

islamistes sont mondialisés

4ème vérité : mondiaux,

les problèmes échappent aux

gouvernements nationaux.

“la france empire

maritime géant sur

trois océans en fron-

tières avec 35 pays,

dont le brésil ou

l’australie...”

“Puisque les grands

candidats des partis ont

des idées petites i,
il faut bien un candidat

hors des partis, pour

amener la vision

grande : la Vie ! “

ean

lauDe

artinez

Professeur université Paris II, Panthéon Assas, Ancien député

de l’Hérault et Vice-Président du Conseil Régional, Député européen (1989- 2009)

ls traitent les fièvres sociales, les manifs en tout

genre, les enflammements des banlieues, les flux mi-

gratoires et les douleurs des attentats.

Par exemple,

face aux attentats

ils proposent du ren-

seignement pour les anticiper, des sentinelles pour ras-

surer, des réorganisations de services, des

dé-radicalisations sur mesure, des projets de déchéance

de nationalité, des salafistes expulsés et lorsque malgré

tout il y a des morts, on déroule alors des états d’ur-

gence, des perquisitions, des mises en examen , des

marches, des conseils de défense, des commissions d’en-

quête, des minutes de silence, le tout scandé par les in-

cantations rituelles du déminage : «

pas d’amalgame

ou l’invocation de la “

Religion d’Amour, de tolérance

et de paix

. Mais jamais ils ne remonteront la chaîne cau-

sale de la violence faite à la France.

Face aux migrations

c’est pareil. En 30 ans de vagues

migratoires, les partis et leurs candidats ont tout fait pour

en rendre les effets socialement acceptés, les méfaits po-

litiquement neutralisés et les rejets pénalement contrôlés.

De politique de la ville en HLM repeints et de privilèges

fiscaux en associations de grands frères subventionnées,

on déverse chaque année 23 milliards d’euros pour huiler

la mécanique des quartiers.

En 50 ans, les partis des candidats ont ainsi fabriqué, à

coups d’importation de main d’oeuvre dans les années 60,

de regroupement familial, et de suspension du Service Na-

tional, le terreau où poussent les acteurs du Bataclan.

Prisonnier des enjeux financiers

Chaque candidat de parti a derrière lui sa famille poli-

tique élargie qui attend de lui la distribution du butin ré-

publicain. Avec les postes, nationaux, locaux, directs,

indirects qui ruissellent en cascade de l’Elysée jusqu’à la

plus petite militante au pied de l’arbre de noël présidentiel.

Son élection conditionnant ces milliers de postes, le can-

didat de parti doit jouer petit pour ne pas indisposer ceux

qui ne voulant rien changer voteront pour le plus timoré.

Prisonnier des Médias

C’est l’entrave N°1. Chaque candidat de parti est en

liberté télévisuellement surveillée. Il porte un bracelet

médiatique bipant à la moindre sortie hors des chemins

de la pensée autorisée.

Prisonnier d’une double peur

La peur que les syndicats et mouvements étudiants

bloquent l’économie, comme en Mai 1968, et la peur des

quartiers explosant dans la révolte ethnique et religieuse.

Voilà pourquoi les candidats des partis n’ont rien à

proposer. Puisque leur seule préoccupation c’est d’évi-

ter l’explosion communautaire, durant le temps encore

nécessaire pour que les générations survivantes de la

France originelle glissent et s’effacent sereinement au

fil des prochaines années.

Un candidat

es candidats à la présidentielle ne man-

quent pas. Même à l’époque du général

de Gaulle, le 5 décembre 1965, lors

de la première présidentielle il y en avait déjà

6. en 2012, 47 ans après, en 9 présidentielles,

on en était à 95. Soit une moyenne de 10 can-

didats par élection et même 16, en 2002 .le

total des 100 est dépassé aujourd’hui en 2017.

evidemment, les présidents élus ont tous

été des candidats membres de partis. Per-

sonne ne conçoit d’ailleurs qu’il puisse en aller

autrement.

Certes il y a des candidats sans partis mais

au mieux ils suscitent l’empathie et après c’est

fini. axiomatiquement, la présidentielle est

donc l’affaire des candidats des partis et des

grands. C’est comme l’ ena. Si on peut y être

candidat seul, il vaut mieux sortir de Science

Po. C’est pareil pour l’elysée. il faut être can-

didat adoubé.

toutefois concrètement, après six présidents

élus depuis 1969, tous candidats bien sûr inves-

tis par des partis, quel est résultat ? le Chô-

mage permanent, les endettements, la

sur-fiscalité, la France qui doute, les français

qui redoutent et pour tout couronner , déjà plus

de 200 morts par des attentats. Dont nous sa-

vons que le terreau qui les a permis s’est installé

sous la présidence de candidats des grands par-

tis

1965 - 2017

Plus de 100 candidats en 9 élections

- Des candidats Doliprane

- Des candidats prisonniers

I - Candidats des partis :
en 2 résumés

tre candidat au destin de la France, c’est regarder loin et
donner une destination au chemin. Voilà pourquoi je suis
candidat : pour élever cette vision jusqu’au monde, de
Dunkerque à la Terre Adélie, et donner la destination :

épanouir le miracle de la Vie.

En arrêtant la France à Irun et au Perthus, les candidats des

partis faussent les perspectives et empêchent de penser des so-
lutions nouvelles sur tout l’espace de nos 11 millions de km2
d’empire français.

Par exemple, les données du problème insoluble de nos pri-

sons surpeuplées se trouvent changées à l’échelle géante de
notre outre mer, si le bouillon de culture d’islamistes de nos
Fleury Mérogis s’ouvrent et s’oxygènent sous le vent de nos îles
des Kerguelen.

Là, les 20 000 places supplémentaires nécessaires, les 200

000 euros par cellule et les maisons d’arrêt à 500 places avec
les violences d’orange islamique, deviendraient des paramètres
secondaires sur les collines mouillées, au milieu des moutons
Bizet, avec la chance de construire un aéroport et de bâtir une
ville nouvelle sur cette France Australe.

En effet, dans un pays dont des forces militaires se projettent

du Mali à Bangui, l’ élection présidentielle de 2017,  juste un an
avant le référendum qui en Nouvelle Calédonie mettra notre pré-
sence dans le Pacifique en jeu, ne peut  se  limiter  aux  débats
entre les candidats des partis faisant  l’impasse sur le monde où
notre avenir s’inscrit.

Chaque candidat est comme un train et chaque programme est

là pour donner aux français les raisons d’y monter. Avec l’embar-
ras du choix puisqu’il y a, à chaque élection, un  train présidentiel
rouge, où les  plus riches paient  pour les voyageurs  exonérés,
un tricolore hyper sécurisé où les nationaux montent en priorité,
le train souverainiste à la  croix de lorraine, le vert qui roule à
l’énergie solaire, un train pour Libéraux, performant, privatisé et
à bon rapport qualité prix ou encore un train rose dans la mixité.

Mais quand on monte dans un train, c’est pour aller quelque

part.Or il n’est pas un seul candidat de parti qui affiche où va le
train qu’il conduit. C’est qu’à la vérité, après des années de
tous les trains présidentiels où les français sont montés,
chacun voit bien qu’ils ne sont allés nulle part. Le chô-
mage, les déficits, les endettements, l’insécurité, les mi-
grations, ou même l’illettrisme étant toujours là, c’est bien
la preuve que ces trains n’ont pas eu de destination.

Avec ma candidature, la destination est affichée,

elle conduit le pays à la vie. Ce qui veut dire :

Non seulement créer une

France des

grandes politiques d’investissements

, évitant

ainsi la désespérance des 11000 suicides
annuels ou l’inadmisssible des 25 000
décès annuels par erreurs médicales.

Mais, surtout, après avoir déjà

donné au monde les grands outils ju-
ridiques avec lesquels les nations de
la terre s’organisent, amener au
monde

la vie, seul paradigme poli-

tique possible pour refonder la
communauté des nations.

hors des partis

II - Candidats hors partis :
en 2 idées

- elever la vision : le monde

- Donner la destination : la vie

uand on veut assurer le destin de

la France , on regarde en hauteur et

on regarde loin. Bien au delà des

Pyrénées et du rhin , jusqu'à l’ ar-

chipel des Kerguelen au fond de

l’océan indien.

a cette dimension, de notre empire maritime

géant, de Saint Pierre et Miquelon à nouméa ou

Clipperton, qui ne voit le

dérisoire d’avoir pour

préoccupations politiques

depuis

des

années quelques cen-

taines de vols de moi-

neaux encagoulés qui

règnent sur des territoires

qu’auraient perdues de la

république ?

Bien sûr, il y a la Pail-

lade, la Meinau, le Val

Fourré ou le Mas du toro.

avec des nehmouche,

Merah, Coulibaly ou des

frères Kouachi. Plus du bandistisme et

des vagues d’islamisme.

Mais il y a aussi les 2 millions de Km2 de terri-

toires gagnés par la république, avec l’extension

du plateau continental de nos centaines d’ archi-

pels dont on ne parle jamais aux français.

repenser dans cet espace mondial, nos pro-

blèmes, depuis des années enkystés dans le débat

politique étriqué des partis limités, trouvent enfin

leur solution. Parce que

leurs données sont changées.

Par exemple, le problème

jusqu’ici insoluble de nos

prisons surpeuplées, amal-

gamant 63.000 condamnés,

disparaît naturellement en

outre-mer où le bouillon de

culture, de Fleury Mérogis,

Clairvaux ou ensisheim,

s’ouvre enfin et s’oxygène

sur tous nos archipels. Dont

langlade et les Kerguélen,

où vont naître des éco-villes

nouvelles. Sur ces terres de

notre France des Océans où les vents soufflent plus

fort que les colères.

Dans ce XXI ème, où l’influence des

Etats ne vaut qu’à l’échelle planétaire,

où les ressources halieutiques, les éner-

gies « bleues » et les gisements sub-

aquatiques deviennent des enjeux de

puisssance, Louis XVI, La Pérouse,

Dumont d’Urville, nos baleiniers, nos

explorateurs, nos aventuriers et pê-

cheurs nous ont laissé en héritage, sur

les archipels de tous les océans, les

cartes maîtresses de l’ avenir.

la france

La france en entier

notre empire des mers /

La france monde

notre empire des mers /

3 -

défense

la france réarmée /

4 -

emPLoi

la révolution des droits de douanes déductibles /

5 -

fiscaLité

sortir de l’impôt sur le revenu du travail /

6 -

agricuLture

le matin des paysans /

7 -

justice

le retour du peuple /

8 -

information

désoligarchiser les médias /

9 -

sécurité

les Quatre solutions /

10 -

sLam

Gallicaniser... /

10 -

risons

délocaliser pour oxygéner /

De Dunkerque à Perpignan et de

Brest à Vintimille, si on s’enferme

sur les 550 000 km2 de l’Hexagone

français , forcément que la France

dans un monde globalisé ne peut

que douter de son rang.

le président, Valéry Giscard

d’ Estaing, nous a dit un jour que

nous n’étions qu’ «

une puissance

moyenne»

Un premier ministre, Lionel

Jospin, a concédé en 2000 que

notre «

Etat ne peut pas tout

».

Et un autre chef de gouver-

nement, François Fillon, nous a

déclaré en 2007 qu’il était «

à la

tête d’un Etat en situation

de faillite

».

Quand nos dirigeants ne se font

plus ainsi «

une certaine idée

de la France

», la politique ne

porte plus de rêve et le pays ne

peut plus marcher vers un ave-

nir qui ne lui est pas dessiné

Evidemment, devant BFMTV, nous redou-

tons les attentats, Lampedusa, l’insécurité,

la perte d’identité, et celle des emplois.

C’est à dire plus généralement la mondia-

lisation, avec les populations qui arrivent

et la France tranquille qui s’en va .

Le tout résumé par le sentiment d’un grand

dérèglement du monde et la peur du grand

déclassement social qu’il amène.

D’autant que :

D’abord, parce que sur tous les pro-

blèmes concrets du pays, emploi, insécu-

rité, hyper religiosité ou comunautarisation

installée, ils sont désarmés et ne font que

du fumigène pour le cacher.

Mais pire, ils n’ont pas de projet, de

vision, d’horizon. Ils ne voient pas la

France en entier, empire maritime de 11

millions de km2 sur tous les océans et tous

les continents, à l’échelle duquel les Min-

guettes , Bobigny ou Mantes la Jolie , ne

se comparent tout de même pas à la Nou-

velle Calédonie ou la Terre Adélie.

la france à moitié

de dunkerque à Perpignan

la France doute

les Français redoutent

nos dirigeants déroutent

La France a un problème, certes politique, mais surtout

ophtalmologique. Parce que notre champ visuel s’est ré-

tréci. Nous voyons ainsi Paris, Calais, des banlieues et des

poubelles enflammées, mais nous ne voyons pas Nouméa,

Clipperton ou Saint Pierre et Miquelon. Avec nos immenses

richesses qui attendent d’être exploitées.

la France ne se réduit pas à un Hexagone

à l’extrémité ouest de

l’Europe. Nous sommes un Etat archipel, aux campagnes, aux mon-

tagnes , aux forêts et aux villes, sur plus d’un million de km2 , le dou-

ble de toute la métropole de la mer du nord à la Méditerranée. Et s’il y

a nos moutons du Périgord, la France c’est aussi les troupeaux de

Rennes des Kergulen . Cette fois au bout de l’ Océan Indien.

C’est cette dimension qu’il nous faut intégrer, avec 35 pays pour

voisins, dont le Brésil et l’Australie, quand nous pensons n’avoir de fron-

tières communes qu’avec Andorre Monaco et 6 autres pays euro-

péens.

A cette échelle , de nos bases Antarctiques à nos gisements sous ma-

rins de Clipperton, les bases de la puissance économique sont là.

la France Puissance minière du XXième siècle

dans les 435 000

km2 de notre Zone Economique de Clipperton, à 1500 km d’ Acapulco,

avec les 120 millions de tonnes de manganèse de cuivre, de cobalt et de

nickel exploitables chaque année pendant 50 ans. Sans parler des 600

millions de barils de pétrole, au large de St Pierre et Miquelon, dans le

sous sol du golfe du St Laurent , et des gisements en recherche dans

nos îles éparses au large de Madagascar.

la France puissance halieutique

aux ressources géantes dans nos

mers australes ou à Clipperton , sur l’un des axes de migrations de tho-

nidés, avec déjà 1,5 million tonnes de nos poissons pillés chaque année.

A cette dimension planétaire, on mesure le dérisoire de la focalisation

de débats politiques français sur des histoires de plombiers

polonais, de burkinis militants ou d’une centaines de cités en bandes

de narco trafiquants.

la f

ran

la france en entier

de dunkerque à la Terre adélie

Dès aujourd’hui la France à géographie mondiale

Demain, en 2025, la France à ressources mondiales

force de voir les banlieues en territoires

perdus de la république, on finit par ou-

blier le vrai danger sur nos territoires

contestés par d’autres républiques.

Terre Adélie

, l’ australie en prédateur nous

dénie la souveraineté sur nos 435 000 km2.

Nouvelle-Calédonie

, les eglises anglo-

saxonnes en sous mains minent notre souverai-

neté.

Clipperton,

le Mexique voisin en embus-

cade sur nos gisements miniers, nous met à la

merci d’un fait accompli s’il y replantait son

drapeau

Tromelin,

à 500 km de la réunion,

l’île Maurice, en demande de souveraineté

, pour s’approprier pétrole et poisson , sur

280 000 Km2

Iles éparses

du Canal Mozambique, Ma-

dagascar en revendication sur nos 360 000

km2 où il y aurait 12 milliards de barils de

pétrole et 5 milliards de m3 de gaz.

Face à ces risques, dans les îles éparses par

exemple, il n’y a que 42 légionnaires sur le

terrain.

Comme la protection doit être augmentée,

c’est l’occasion du grand projet : redonner

des assises à la France , avec un service natio-

nal Outre Mer, devenu le creuset des nou-

velles générations à décloisonner.

nos territoires

contestés

éjà en 1961, dans les antilles un

Service Militaire adapté était créé,

avec une nouveau bagage pour les

jeunes, remis à niveau, dotés d’un permis

et resocialisés. Mais le choc des problèmes

identitaires de la France, réclame une autre

dimension. Ce n’est pas 5000 recrues de

SMa qu’il faut, c’est une classe d’âge de

760 000 jeunes. a qui offrir la chance de

passer par le creuset d’un service national

de 6 mois délocalisé

Dès 2020, les jeunes français décou-

vriront la dimension mondiale

de leur pays, dans un

esprit de « Koh lanta » où la terre adélie

sera plus attirante que la Syrie.

Pour la totalité d’une classe d’âge , le

plafond du budget annuel sera de moins

de 6 milliards d’euros. en réalité, il devien-

dra neutre voire bénéficiaire pour les fi-

nances publiques, puisqu’il diminuera

d’autant le gâchis des 16 milliards d’euros

annuels de la formation professionnelle

fictive, des dépenses, au montant consolidé

tenu secret, déversées en vain sur 1436

quartiers et des 83 mds des dépenses inef-

ficaces pour l’emploi.

Que feront les jeunes ? ils dé-

couvriront et bâtiront,

des pistes d’at-

terris-

sage, des ports, des ponts , et jusqu’à leurs

propres « points d’établissements » pour

ceux qui resteront après en pionnier sur les

terres de la France nouvelle.

Chacun recevant en final l’immense ca-

deau de l’ aventure en commun et du pa-

triotisme d’empire, rentrera chez lui guéri

du dérisoire que les politiques éculées de

40 ans de dirigeants étriqués

ont inoculé au pays .

Outre-mer

nouvelle vocation

outre-mer : notre nouvelle frontière

Tre

-m

Clipperton sera le cœur minier de la

France. Il faut protéger et préparer

notre île aux trésors par 7 mesures :

un aérodrome permettant des liaisons

aériennes avec la métropole (via les An-

tilles) ou avec la Polynésie.

Un mouillage aménagé dans le

lagon, avec sa réouverture pour l’ac-

cès

d’un

navire

débarquement aisé de touristes.

Des installations pour l'avitaillement

et la révision des navires. La présence d'un

navire-atelier ou un dock flottant.

Une base de gendarmes pour

contrôler la pêche clandestine occasion-

nant une hémorragie de nos finances.

Le Tourisme de luxe accompagnant

nos expéditions scientifiques et nos mili-

taires, contribuant ainsi à les financer.

Penser le projet d’ascenseur spatial

pour monter des charges sur orbite avec un

câble des nanotechnologies, parce que Clip-

perton est un des seuls sites compatibles.

Clipperton 2022 :

en 6 mesures

A 1500 km de Brisbane la Nouvelle-Calédonie, exception francophone

dans un Pacifique sud aux 16 pays anglophones, représente :

1- 25 % des gisements mondiaux de nickel, sans parler du pétrole

aux îles Chesterfield à 500 km au nord

2- Les métaux stratégiques et les terres rares, dans les 360 000 km2

de fonds marins des îlots Matthew et Hunter, à l’est de Nouméa.

3- La richesse stratégique d’être un porte avion géant dans le Pacifique

Mais, créé en 1984, sur le modèle du FLN algérien, avec les sou-

tiens des idéologues métropolitains et l’action d’évangélistes, de multi-

nationales minières et de réseaux Australiens et Etats-uniens, le FLNKS,

mouvement indépendantiste nous met en danger.

Un référendum d’indépendance de la Nouvelle Calédonie est prévu

en effet en 2018, maquillé en «

accès à un statut international de pleine

responsabilité

».

Le corps électoral a été amputé en exigeant une résidence de 20

ans, privant 19 000 français de vote. Soit une importante proportion sur

une population de 266 000 habitants, où les110 000 “indépendantistes”

ne sont que l’équivalent des habitants de l’agglomération de Béziers. Qui

eux ne prétendent pas s’approprier 2 millions de km2 du territoire fran-

çais, avec des richesses incommensurables qui passeraient aux mains

d’une poignée d’auto-désignés, avant de tomber sous contrôle anglo-

saxon et la domination de la Chine aux aguets.

Le vrai enjeu de la présidentielle de 2017 est alors là :

Perdre ou conserver Nouméa !

néo-Calédonie 2018 :

le destin en bascule

A la fois superficie de la Corse et arche de Noë de la biodi-

versité avec 300 îles, permettant toutes les spécialisations insu-

laires pour l’élevage raisonné, la recherche scientifique , les

formations de notre service national et les centres modernes de

substitution aux prisons cloaques, les Kerguelen vont devenir

un éco-miracle économique en 6 mesures :

Une piste d’atterrissage, reliant enfin à la Réunion-en 5

heures au lieu de 5 jours.

Un brise lames au large pour un port en eau profonde per-

mettant l’accès aisé du frêt et des touristes.

Un Hôtel d’Eco-Tourisme sur le modèle des Galapagos.

Une extension du Pôle scientifique en Centre universitaire

des sciences de la vie.

Une base du service national, de 1000 jeunes, amorçant le

décollage de Port-aux-Français en éco-ville du XXI ème siècle.

Un Pôle de traitement ouvert de la délinquance lourde, en

substitut des prisons bouillons de culture.

Là, des “longues peines” se refonderont dans l’activité,

de l’élevage des moutons Bizet à la contribution à bâtir la pre-

mière éco-ville du XXIème siècle.

Kerguelen 2022 :

archipel de la seconde chance !

Pour la ville, depuis 1977, il y a eu 10 « plans Marshall ». Pour

l’Outre Mer, certes des actions sont menées : tourisme aux an-

tilles, recherche météo en terre adélie, exploitation minière dans

les usines de Calédonie ou centre spatial en Guyane.

Mais tout cela reste atomisé en une succession disparates de

lois (Pons 1986, Perben 1994, Paul 2000, Girardin 2003…).

Maintenant, il faut une loi de programmation spécialisant nos ar-

chipels sur 5 axes stratégiques : l’écotourisme de luxe, l’économie

minière, les sciences de la vie, la ressource halieutique et surtout la

sécurité du pays.en basant sur nos archipels l’exercice du nouveau

service national et la refondation de nos prisons de la honte .

1. en 2016, toute notre marine nationale, avec ses 36.044 hommes et

toutes nos forces aériennes, avec 43.597 militaires, n’étaient pas assez
nombreuses pour remplir les 81.338 places du stade de France. Voilà où
nous en sommes arrivés après 11 lois de programmation militaire et 4 li-
vres blancs sur la Défense nationale, dont le dernier de 2013 du Président
Hollande.

2 - la France qui en 1960, avec le général de Gaulle, consacrait 5, 44

% de sa richesses annuelle à se défendre, n’en consacre plus que 1, 5%,

soit l’effort de défense de la petite Pologne, moins que les 2 % du

royaume uni et pire, presque trois fois moins que les 4,5 % du

PiB algérien qui vont à son armée.

3 - a ce rythme là de désarmement, où en 13 ans notre budget

défense est passé de 39, 96 milliards d’euros en 2003 à 31,4 mil-

liards en 2016, soit moins que les 32,4 milliards allemands, on voit

arriver l’horizon 2030 où l’algérie, déjà à plus de 11,75 milliards

d’euros consacrés aujourd’hui à son surarmement, pourrait at-

teindre le budget militaire français !

4 - Déjà, avec seulement 57 826 militaires de rang, notre

armée de terre a moins de personnels que les 59 667

agents de la ratP

5 - a l’hémorragie des effectifs s’ajoute la

gériatrisation de tous les matériels, des Vé-

hicules Blindé légers qui remontent à

1980 et dont les freins, les transmis-

sions ou les moteurs ne tiennent plus, aux avions d’une armée de l’air
qui a perdu non seulement ,avec 18 400 hommes, le quart de ses ef-
fectifs, mais 40 % de ses avions de chasse et où les C -135 ravitailleurs
remontent à 1964, pendant que nos drones utilisés au Mali ont été
achetés en 1990, avec une informatique qui équivaut à un 10 éme de
celle d’un iPhone.

6 - le désarment de la Marine qui pour surveiller 1, 7 million de

km2 de nouma à Wallis et Futuna n’a que  la frégate de surveilance
la Vendémiaire, deux petits patouilleurs et une modeste vedette de la
gendarmerie,  avec  un  hélicoptère    antique
alouette  iii  et  deux  avions  de  surveill
ance.

7 - au total, pour surveiller

notre empire  maritime de
11 millions de km2, nous
n’avons que 6 frégates soit
2  par  océans,  20  patouil-
leurs  et  quelques  vieux
bâtiments en soutien logis-
tique.

la france en voie de désarmement

La protection du territoire national,

de la population qui y vit et de nos com-

patriote qui se trouvent à l’étranger est

une obligation incontournable fonda-

mentale de l’Etat.

livre blanc

sur la Défense nationale

Préface François Hollande

La Doc française, 2013, p.48

refonder la défense de la France par :

1°) l

a MeSure reFOnDatriCe

: l

e DrOit au Ser

ViCe natiOnal POur tOuS leS JeuneS FrançaiS

près l’erreur tragique de la loi du 28 octobre 1997,

suspendant le service national pour les jeunes nés après

le 31/12/1978, il faut redonner cette chance à tous:

Comparativement

à la Norvège, l’Autriche, la

Finlande, la Suisse, qui offrent à tous leurs jeunes cet

immense cadeau d’égalité sociale et de découverte.

Concrètemen

t : 6 mois de découverte des terri-

toires de la France : 3 mois de découverte du service

des armes en projection sur nos 500 archipels des trois

océans, des Kerguelen à Clipperton ou aux Chesterfield

et 3 mois de service civique

c) Positivement

: Une formation professionnelle et

civique puissante pour tous. Déjà L’arméee de terre est

le premier employeur national de jeunes non qualifiés

avec 15 000 par an. Là, toute une classe d’âge accèdera

à l’égalité sociale

Financièrement

: des économies immenses en

touchant les dividendes de la France resoudée.

Contrairement à l’analyse étriquée, l’armée de

conscription, au lieu de l’armée dite de métier, permet

de récupérer des milliards d’euros annuels sur :

les 16 milliards de la formation professionnelle

les 32 milliards annuels des politiques pour

l’emploi

les 12 milliards pour l’insertion, l’égalité des

chances

les 16 milliards pour la sécurité

et même les 3, 2 milliards d’euros pour les prisons

Socialement

: un creuset national reconstitué qui

traitera à la base la société de rancœurs, de divisions,

2°) l

eS MeSureS D

’

aCCOMPaGneMent

négocier à Bruxelles la sortie des dépenses

militaires

du calcul de la règle limitant les déficits

budgétaires à 3 % du PIB, pour permettre les dé-

penses d’équipement de nos armées, .

une loi de reprogrammation militaire, 2019-

2024

, budgétant notamment un

plan Surcouf

d’équipement de la marine, en plus des modestes

8 Bâtiments de soutien et d’assistance hauturière,

2 seules frégates pour la Zone Pacifique ou sept

batiments seulement pour notre sud de l’ Océn

Indien, pour faire respecter à Tromelin , la Réu-

nion, les Kerguelen, Mayotte ou à Clipperton,

notre souveraineté et richesses minières, pétro-

lières, halieutiques, dans nos Zones Econo-

miques Exclusives.

la france réarmée !

déf

le Plan stratégique Phoénix

redonner une chance
à tous les jeunes français :
le droit au service national

Pour l’emploi : la révolution

“CHOMAGE TOUT A ETE ESSAYÉ”….SAUF L’ESSENTIEL

Un million de chômeurs en 1977 avec R

Barre, 2 millions en 1982 avec P Mau-

roy, 3 millions en 1993 avec E Balladur,

5 millions en 2014 avec M Valls

Face à cette pandémie sociale un seul

traitement est utilisé depuis 23 ans : la

baisse des cotisations employeurs pour

les inciter à embaucher. Il a été proposé

en 1993 par un rapport de la commission

européenne J Delors, intitulé «

la crois-

sance, la compétitivité et l’emploi».

Toute l’Europe l’utilise depuis, dont la

France. Les lois

Balladur

1993,

Juppé

95,

Robien

96,

Aubry

2000,

Fillon

2003

et en 2014 le pacte de compétivité, Hol-

lande, ne sont que cela. Malgré le prix

colossal de cette politque, 29 milliards de

pertes annuelles de cotisations sociales,

donc de recettes pour la sécurité sociale,

ce qui est la vraie cause de son déficit,

cela ne marche pas.

Pourquoi ? Parce que le chômage d’au-

jourd’hui n’a qu’une seule cause fonda-

mentale : la mondialisation avec

l’ouverture de nos marchés aux produits

de pays à faible coûts, fiscaux, salariaux,

environnementaux.

Même si la France supprimait la tota-

lité de ses cotisations sociales, de 350

milliards d’euros, la Chine, le Vietnam,

l’Ethiopie, et les pays émergents auraient

encore l’avantage colossal de compéti-

tion de travailler 10 heures par jour, pour

2 dollars, en dormant 35 heures par se-

maine, sans faire des ponts en mai et sans

s’absenter 20 jours par an, dans les

Conseils des régions, des départements,

ou des métropoles, en plus des congés.

D’où alors :

Comment résoudre ces asymétries , c’est

à dire ces diffférences de coûts de re-

vient, dans les échanges entre la France

et le monde?

Des économistes, de J Sapir à E Todd et

des politiques répondent par du bavar-

dage sur « le protectionnisme intelli-

gent » ou par « la démondialisation” de

A Montebourg.

La bonne réponse a été donnée par mes

chercheurs de mon doctorat fiscal de

l'université de Paris 2 avec l’invention

des droits de douanes déductibles

1. Constat : le grand gâchis

2. la bonne formulation du problème

eutralisant les asymé-
tries de concurrence
dans le commerce in-

ternational,  tout  en laissant
subsister les avantages com-
paratifs de chaque pays qui
commerce (sinon ils ne com-
merceraient  pas)  ma  nou-
velle technologie douanière
aurait dû remplacer  les ar-
chaïques

droits

douane traditionnels, dont on
s’obstine à penser, depuis 70
ans, qu’en en réduisant sim-
plement le montant, on est
sur la bonne voie.

Alors que la réalité dit le

contraire pour les millions de
paysans mexicains, africains
ou européens aux exploita-
tions familiales brisées.

Avec ma révolution doua-

nière, les emplois vivraient.

la révolution en “trois D”

des droits de douane déductibles

Les nouveaux droits de douane inventés sont modulables, remboursa-

bles et négociables.

Modulables

: comme les écluses des vieux droits de douane clas-

siques, pour compenser les asymétries, sociales, fiscales, monétaires ou

environnementales.

remboursables

à l’exportateur, sous la forme d’un crédit douanier

déductible des achats que voudrait effectuer cet exportateur, dans le pays

importateur qui lui a prélevé ces droits.

négociables

par l’exportateur qui les a supportés :

puisque le crédit douanier qui lui a été ristourné peut

être « monétisé » via une bourse des crédits douaniers

ou escompté en banque .Dans l‘hypothèse en effet où

il ne souhaite pas effectuer un achat, sur lequel son cré-

dit douanier restitué se déduirait, il en récupère ainsi

le montant par vente sur un marché boursier ou es-

compte en banque.

Le coeur de l’invention est dans le caractère 2 , avec

le remboursement du droit de douane par déduction sur

un achat. C’est parce que ce droit, à peine prélevé à la

frontière de l’ Etat « A », engendre un crédit douanier

déductible d'un achat, au profit de l’exportateur venant de « B » et imposé

en A, que la nouvelle technologie assure un échange gagnant pour l'Etat

A qui peut protéger son économie, mais pour B aussi qui n'est pas péna-

lisé, puisque le droit de douane payé lui est à son choix soit remboursé,

soit escompté, soit vendu sur le marché.

Le caractère 3, par lequel, pour la première fois dans l’histoire, un cré-

dit d’impôt sera négociable en bourse ou escomptable, est une révolution.

Les droits de douane engendrant des crédits douaniers négociables, don-

neront ainsi naissance à une monnaie de commerce international, dont la

masse en circulation sera égale au montant des droits prélevées aux fron-

tières, multiplié par la vitesse de rotation sur le marché bancaire des cré-

dits de douaniers qui y seront négociés.

Au total, un droit de douane européen par exemple, sur un tee shirt

arrivant de Chine , engendre un crédit douanier n°1 au profit de l’expor-

tateur chinois, qui lui permet une ristourne sur un achat de vin européen

dont l’importation en Chine est frappée à son tour par un droit de douane

générateur d’un nouveau crédit douanier n°2, au profit de l’exportateur

européen de vin, qui peut le céder sur une bourse des crédits douaniers.

Un Coréen pourra venir l’acheter, pour le déduire du

prix d’un achat de riz en Chine, qui supportera à son tour

un droit de douane à l’entrée en Corée, ouvrant à l’expor-

tateur riziculteur chinois un autre crédit douanier sur la

Corée. S’il choisit, au lieu de l’utiliser par déduction sur

le prix d’un achat,de le faire escompter en Banque, un co-

lombien par exemple pourra l’acheter pour l’imputer sur

le prix d’un achat d’un téléviseur en Corée qui exporté en

Colombie supportera un droit de douane ouvrant à l’ex-

portateur coréen un crédit douanier à valoir sur la Colom-

bie lors d’un achat de café et ainsi de suite.

Tout droit de douane engendre un crédit douanier, dont

la déduction facilite un achat de produit qui, une fois im-

porté et imposé à la douane frontière, suscite un nou-

veau crédit douanier et ainsi de suite en spirale.

Cette nouvelle technologie douanière aurait dû remplacer les ar-

chaïques droits de douane traditionnels, dont on s’obstine à penser,

depuis 70 ans, qu’en en réduisant le montant, lors des négociations

du Gatt et de l’OMC, on est sur la bonne voie. alors que la réalité

dit le contraire pour les millions de paysans mexicains, africains ou

européens aux exploitations familiales brisées.

Mais restée ignorée des décideurs, la découverte des droits de

douane déductibles n’ a pu sauver jusqu’ici les millions d’emplois

que son application depuis des années aurait sauvegardés.

la révolution en “trois D”

CONTRE LE CHOMAGE IMPORTE

Plo

Les antibiotiques ont

sauvé des dizaines de

millions de vies.

Les droits de douanes

déductibles sauveront

des milliers d’em-

plois

En 2016, l’enfer fscal français c’est :

Plus de 360 impôts, taxes et cotisations,

nous prélevant 992, 7 milliards d’euros en 2016,

et provoquant un effet de masse sur les ménages, de

casse sur les enreprises et de nasse pour le pays.

Puisque chaque impôt créé étouffe un peu plus ménages

et entreprises, créant un supplément de chômage qui exige

un supplément d’indemnisations, amenant pour le financer

un supplément d’imposition qui crée un supplément de

casse , enclenchant alors la spirale infernale d’au-

jourd’hui, la nasse où est enfermé le pays, la France fis-

cale c’est l’archaïsme et l’éléphantisme.

1°)-l’archaïsme fiscal français.

Parce que :

notre CGI , Code général des impôts, remonte,

sans jamais avoir été refondu, au décret du 6 avril 1950,

soit au temps de Luis Mariano, des 4CV Renault et de

la guerre d’Indo.

C’est le plus vieux code fiscal en vigueur sur

la planète, avant même l’Internal Revenue Code des

Etats Unis, qui lui , tout en ayant été déjà refondu le

16 août 1954 , a été réactualisé en 1986.

D’autant qu’une partie des 352 articles sur la

fiscalité locale, taxe foncière et taxe d’habitation,

prennent leur source aux lois des 23 novembre - 1er

décembre 1790 et des 13 janvier - 18 février 1791,

soit cette fois au lendemain des Etats généraux et au

temps de Mirabeau...

2°) l’éléphantisme fiscal français.

Parce que notre CGI compte :

4622 articles, alors que tous les codes du XXIème siècle

n’en comptent que moins de 500 ( 248 le code marocain de

2007 ; 271 pour le modèle de code fiscal rédigé par le FMI

ou encore 481 pour le code Russe de 1998- 2000, soit , pour

tout le système fiscal russe, moins d’articles que les 514 du

CGI français de 2016 consacrés au seul impôt sur le revenu.

1336 articles abrogés, 335 transférés, 266 périmés ou 131

sans objet. Soit de l’ordre de 2155 articles maintenus sans

contenu.

48 combinaisons possibles pour numéroter un article,

en chiffres, arabes et romains, en lettres, majuscules et mi-

nuscules.

1226 taux, 1 610 seuils et plafonds d’imposition, 268 pla-

fonnements, 258 délais.

1 067 000 mots, sans parler de ceux du Livre des procédures

fiscales , seulement dépassé par les 3 400 000 mots du code des

États-Unis, l’Internal Revenue Code, aux 9833 sections, qualifié

d’ailleurs par le président Carter en 1976 de «

disgrace du genre

humain

» ( disgrace to the human race).

Et ce n’est pas tout. Parce qu’il Il faut ajouter en effet

les 770 articles fiscaux délocalisés dans 16 autres codes (par

exemple 285 articles dans le code de la sécurité sociale, 260

externalisés dans le code des collectivités territoriales, 16 au

code de l’industrie cinématographique ou 31 délocalisés au

code du tourisme), pour avoir l’intégralité des prélèvements

français.

Sans parler des plus de dix mille pages du Bulletin Of-

ficiel des Finances Publique, BOFIP-Impôts, regroupant en

onze sections les instructions et circulaires fiscales

« Chaque 4 coups de pédales que
je donne, il y en a 3 pour le fisc »

Bernard Hinault

le brexit pour les anglais,

la france fiscale : le constat

Avec leur

s impôts

1 - la table rase :

Supprimer, pour des raisons de sécurité juridique, de santé économique et de salubrité sociale, le bidonvillle

fiscal qu’est devenu le CGI français , avec son amoncellement de 111 articles pour l’ Impôt sur les sociétés , 350

pour la fiscalité locale ou 514 pour l’Impôt sur le revenu…

Réécrire un nouveau code des impôts au standard de tous les codes du XXIème ne dépassant pas 500 articles.

Consacrer en préambule, dans une déclaration des droits de l’homme fiscal, les principes protecteurs

des libertés, déjà reconnus par la Communauté des nations : principe espagnol de

non confiscation

fiscale,

principe russe de

non rétroactivité

de la loi fiscale plus sévère, principe de

sécurité juridique

, principe alle-

mand de confiance légitime et principe in

dubio contra fiscum

, où le doute profite au contribuable.

2 - Faire payer l’impôt aux multinationales

Notamment celles du numérique (Google, Amazone , Microsoft, Yahoo...), par l’adoption de la directive

européenne ACCIS du 16 mars 2011, établissant une Assiette commune consolidée de l’impôt sur les

sociétés pour mettre fin à l’évasion fiscale et permettre ainsi de diminuer de 30 % l’impôt des PME.

3 - Droits de Douane Déductibles

Les DDD résolvent le problème du chômage importé et des emplois délocalisés

4 - Supprimer en 5 ans l’impôt sur le revenu

Institué les 16 juillet 1914 et 31 juillet 1917, pour faire face aux coûts de la première guerre mondiale,

cet impôt est un des 4 impôts sur le revenu qui se prélèvent en France, en plus de la Taxe d’habitation

( 20 milliards d’euros), remontant à 1791, de la CSG de 1991 (90 milliards d’euros) et de la CRDS

du 16 janvier 1996 (7 milliards d’euros).

Cet impôt sur le revenu c’est 72, 3 milliards d’euros en 2016, à comparer aux 144,7 milliards du

produit de la TVA et aux 320 milliards d’euros des cotisations sociales.

Ce n’est que 7,2 % du total des 992,7 milliards d’euros des prélèvements obligatoires français.

fis

cal

iTe

le Taxit pour les français

révolutions pour libérer les fançais

Avec ma réform

e !

réV

olU

Tio

Parce qu’il est budgétairement inutile !

Puisque sa suppression entrainerait 5 effets (

élargissement mécanique de la

base des autres impôts, attirer les leaders économiques d’Europe,dont ceux

de la City du Brexit, dynamisation de l’incitation au travail et libération de

15000 agents affectés alors à la lutte contre la fraude européenne à la tVA

)

qui produiraient les recettes supplémentaires compensant celles perdues.

Parce qu’il est socialement injuste !

Puisque plus les revenus augmentent , plus les possibilités d’évasion légale

des niches fiscales augmentent.

Parce qu’il est électoralement esclavagiste!

Sur les 37,12 millions de foyers fiscaux de 2014, les 19, 34 millions qui

ne paient pas cet impôt constituent une majorité électorale, à 52, 1%, leur

permettant de le faire payer aux 17, 7 millions de français minoritaires à

47,9 %, qui se trouvent ainsi fiscalement sur imposés parce qu’ils sont élec-

toralement minoritaires.

Parce qu’il est politiquement menteur !

Puisque qu’on fait croire aux français que la progressivité de l’impôt

rétablit l’égalité entre les citoyens alors que même avec cet impôt une

institutrice doit travailler trois siècles pour avoir le revenu d’un

Benzema.

Parce qu’il est économiquement stupide !

Puisque cet impôt en altérant la motivation à travailler, pé-

nalise la création des richesses et dissuade les plus créa-

teurs de se délocaliser en France.

Parce qu’il est éthiquement ignoble!

Puisqu’avec l’eutahanasie de malades et de vieil-

lards abandonnées, l’Etat français vient de

rompre unilatéralment le contrat de solida-

rité entre les générations de français , alors

que l’euthanasié, lui, durant 35 ans à

payer l’impôt sur le revenu, au nom

de cette solidarité pour se la voir re-

fuser à la fin.

Progressivement en 5ans

en utilisant son principal défaut, son hyper-concentration,

et en suivant le Calendrier suivant

2019 à 2020

: suppression pour les

17.430.000 de contribuables, petits et moyens, sup-

portant la moitié du paiement de cet impôt

2021 à 2022

suppression pour les 333 000

français qui en 2015 en payaient presque 30 % .

2023

: suppression finale pour les 37 000 français qui

acquittent presque 20 % de cet impôt

le supprimer pour

le remplacer par quoi ?

Puisque sa perte de recettes est mécaniquement compensée par un élar-

giseement de l’ assiette des autres impôts

Pou

rqu

oi s

orti

r de

L’im

pôt

sur

le r

eve

Le supprimer comment ?

Progressivement en 5 ans

Qui est pour sa suppression ?

Des prix Nobel d’économie dont le français

Maurice allais,

l’américain

Franco Modigliani

, l’anglais

James Meade...

Mais par rien !

“TA

XIT

” FR

ANC

AIS

la Chine et les pays émergents consomment .De

la viande spécialement. D’où une explosion de la

demande de protéines végétales pour nourrir les

troupeaux. Mais l’offre ne suit pas.

Parce qu’il y a :

Détournement des oléagineux

par

l’industrie des bio-carburants,

destruction des

terres agricoles

par l’urbanisation,

spéculations fi-

nancières

sur les produits de base.

D’où les conséquences suivantes :

Des révoltes alimentaires depuis 2007,

Des achats massifs de terres par des indus-

triels Coréens, ou Chinois...

un défi alimentaire planétaire : Qui va nour-

rir les 9 milliards d’hommes de la terre ?

la France peut prétendre à ce rôle planétaire.

un matin arrive donc pour nos paysans.

Or c’est juste à ce moment, que 30 ans de trahi-

son de nos intérêts agricoles par la Commission

de Bruxelles, encore aujourd’hui avec la négo-

ciation du traité transatlantique, sont en train

d’éliminer nos paysans du grand rendez vous

agro-alimenataire du monde.

un des enjeux de la présidentielle de 2017, c’est

donc d’alerter sur ce futur agricole.

le matin des paysans arrive...

ne pas rater le rendez-vous !

les champs du départ... le constat agricole

Dans l’agriculture du Mc’Do, mondialisée et industrialisée,

tout diminue :

1°) les terres

11 millions d’hectares agricoles disparaissent chaque

année dans le monde. Soit le tiers de toute la France agricole

En Europe, de 2000 à 2010, 600 000 hectares de terres

arbales ont été éliminés, dont 100 000 hectares de vignes ar-

rachées dans le seul Languedoc-Roussillon. Soit l’équivalent

de tout le vignoble argentin. Et à la place des vignes on a

planté des néerlandais...

2°) les hommes :

En France, depuis 25 ans une ferme disparaît chaque 15

minutes. Soit 90 par jour. Il ne restait plus en 2014 que 480

000 exploitations, contre1, 5 million il y a 25ans. La France

ne compte plus que 952 000 actifs agricoles , soit 3% des ac-

tifs français , contre 12% en 1968. « L’homme de terre » dis-

paraît, remplacé par «l’homme de vent » de la finance

planétaire

3° les cheptels : l’effondrement

La France n’avait plus que 7 millions d’ovins en 2013,

contre 11 millions au début du XXIème siècle. Ce n’est pas

le loup du Mercantour qui a mangé nos moutons, mais les 34

millions de moutons néo zé-

landais

Les moutons disparus

sont remplacés par des cana-

dairs…

Nous n’avons que 8 millions de vaches, quand le Brésil en

compte 180 millions.

Le cheptel des abeilles s’effondre. 13 millions de colo-

nies manquent en Europe

4°) les revenus agricoles : la pauvreté est dans le pré…

Lors de chaque crise agricole, des laitiers, des éleveurs, des

vigneron, c’est un effondrement des revenus.

On voit des paysans au RSA et de la pauvreté. Surtout pour

les retraités agricoles, avec en 2013 des pensions de réver-

sion pour la veuve d’agriculteur de 367 euros mensuels. A

14 euros la pension journalière en fourrière pour un gros

chien, nos veuves de paysans n’ont même pas assez de re-

traite pour être mise à la fourrière...

5°) l’indépendance alimentaire du pays : l’altération

50 pays dans le monde , comme l’ Algérie, le Vénézuela

ou la Tunisie, doivent importer leur nourriture.

Si la France a encore un excédent d’exportations de

produits agricoles, sylvicoles et halieutiques , par exemple

de 5 mds d’euros en 2013, nous importons : 8 côtelettes de

moutons sur 10 que nous consommons, 156 000 tonnes de

salades, 1,8 million de tonnes de légumes pour 1, 6 md d’eu-

ros. Pire, la France qui arrache ses vignes importe 130 900

tonnes de raisins et avec 11 millions de km2 d’empire mari-

time, nous importons pour près de 4 milliards d’euros de

poissons

noTre aGro-alimenTaire en danGer :

Paysans priorité nationale absolue

epuis les règlements européens de 1962, la politique agricole

s’est faite à Bruxelles. Mais depuis 1986 et les négociations

commerciales multilatérales du GATT et de l’ OMC, la poli-

tique agricole s’est défaite à Genève. Paris doit alors reprendre en main

le sort de nos paysans.

La reconquête agricole doit se faire en 10 mesures clefs :

1°) Cinq mesures à prendre à Paris

Proclamation, pour fixer le cap, de «

l’agriculture priorité natio-

nale absolue

Convocation, en juillet 2017, des

états généraux des campagnes

et de la montagne pour élaborer le Pacte de Reconquête agricole

Une

loi de reconquête agroalimentaire

et de cohésion rurale

2018- 2028, sur le modèle de la loi du 21 février 2014 pour la ville.

Une

exonération de 10 ans

du monde agricole de toutes charges fis-

cales et sociales pour un coût annuel de 4 milliards d’euros, financés par

vase communicant avec les 7, 7 milliards annuels de la mission budgétaire

« Egalité des territoires

» de la politique de la ville. Parce qu’un jeune sur

son tracteur vaut un jeune rappeur.

La réforme rendra aux exploitants une partie de la valeur économique

créée par leur compétitivité depuis la décennie 70 et confisquée par les mé-

nages par le supplément de confort et de loisirs qui leur a été permis.

On mettra fin à l’injustice sociale faite aux ruraux laissés sans couverture

médicale, pharmacie, SAMU, trains, services publics accès au haut débit et

les équipements de confort déversés depuis des décennies sur les villes.

Un Moratoire sur les dettes agricoles.

Un emprunt citoyen pour le financement des équipements de re-

conquête agricole ( Drones d’épandage, robots…)

2°) Deux mesures à imposer à Bruxelles

Sanctuarisation

de l’agriculture dans toutes les négociations de

traités de libre commerce que mène la Commission européenne. A com-

mencer par l’accord pour le partenariat trans-atlantique qui reviendra...

renégociation,

fin 2017, à mi-parcours, du mauvais cadre financier

pluriannuel européenn2014-2020, qui a amputé de 18 milliards sur 7 ans

le budget agricole, pour rétablir ces crédits en échange de l’affectation

au budget de l’union d’un impôt européen sur les sociétés.

3°) Deux mesures à négocier à Genève à l’ OMC

reconnaissance du droit millénaire

de tout exploitant à réensemen-

cer librement une partie du produit de sa récolte, sans que les

Monsanto de l’agro business puissent invoquer un doit de

propriété intellectuelle en cascade indéfini.

Proclamation des brevets sur le vivant vé-

gétal

patrimoine commun de l’huma-

nité

, même avec des royalties pour

que demeure l’incitation à la re-

cherche des multinationales

du médicament.

ric

UlT

le plan Sully de reconquête agricole

noTre aGro-alimenTaire en danGer :

Paysans priorité nationale absolue

1. trois décennies de fiascos judiciaires

affaire de la Vologne et de Christine Villemain en 1984.

affaire Outreau en 2004.

affaire de collusion d'intérêts de magistrats au tribu-

nal de nice révélée par le procureur de Montgolfier.

affaires récurrentes des gardes d’enfants

affaires de manques de discernement tragiques

même dans des cas de sécurité nationale et même chez

des juges anti- terroristes avec l’exemple du Djihadiste

franco algérien adel Kermiche, libéré par une magis-

trate, avec en plus confirmation par une cour d’appel ,

et en final l’égorgement d’un prêtre le 26 luillet 2016.

2. Des juges fragiles , sans experience, manquant

d’épaisseur

(les “petis juges”), adossés à la presse, se

répendant dans les médias et les livres, voire s’essayant

à des carrières politique ( Halphen, eva Joly…)

3. impunité des juges

à la probilté ou moralité faisant

doute (agressions sexuelles, violences, conduite en état

d’ivresse., vol…) , avec pour sanction le plus souvent un

simple déplacement d’office discret

4. les juges en caste endogamique,

formatés et fermés

dans leur école, seulement unis par leurs intérêts.

5. les juges coupés du peuple,

au nom duquel ils ren-

dent pourtant leurs décisions, non représentatifs de la

société française, ne rendant des comptes à personne

d’extérieur, irresponsables de fait et s’autogérant eux

mêmes, avec un Conseil supérieur de la magistrature.

ils sont redevenus l’oligarchie corporatiste des Parle-

ments d’ ancien régime. avec pour seul changement par

rapport à 1788, le fait que maintenant seuls 20 %

d’hommes sont diplômés de l’ecole de Bordeaux.

aU nom dU PeUPle français

“Combien de pauvres bougres pur-

gent aujourd'hui de longues peines

alors qu'ils sont innocents ? Je crains

que la réponse ne soit effroyable..."

( De combien d’injustices suis je coupable ?

Juge lambert - le Cherche Midi , 2014)

Une justice corporatiste en 8355 juges

Tout Français passé par la justice, même pour un simple divorce, e sort blessé.. Il ya un problème judiciare fran-
çais. Certes, depuis toujours, mais aggravé depuis trois décennies. Le constat est connu :

jUs

Tic

aU nom dU PeUPle français

out comme on n’est pas opéré par la médecine,

mais par un médecin précis, les gardes d’enfants,

les pensions compensatoires, les emprisonne-

ments ou la libération d’un djihadiste, ne sont pas

décidés par une identité abstraite, la justice, mais

par un juge précis, et encore plus précisément dans 80% des

cas par une “

jugesse

”.

Dès lors, comme tous les métiers ont leurs mauvais pro-

fessionnels, il y a aussi de mauvais juges. Voire des chauf-

fards de la conduite judiciaire qui font de temps à autre la

une des journaux de la Vologne à Outreau.

Il faut donc protéger les français des risques judiciaires

avérés en 5 mesures :

Mesure n° 1 - Désoligarchiser le recrutement : briser

le monopole de l’ecole de Bordeaux.

Dans les tribunaux administratifs, des conseillers viennent

de la gendarmerie, des préfectures, de la police, de la vraie

vie. Dans l’ordre judiciaire endogamique, les juges sont très

souvent d’anciennes étudiantes appliquées de la moyenne

bourgeoisie, ayant lu une dizaine de manuels de droit.

C’est cette société judiciaire fermée qu’il faut décadenas-

ser pour que la France rentre dans les tribunaux par :

La parité des générations et des sexes

Et la mixité des professions.

Un tiers d’emplois de magistrats doit être ouvert sur l’ex-

térieur : avocats, professeurs, fonctionnaires, officiers.

Mesure n° 2 - Démocratiser l’institution judiciaire :

election des 8 membres extérieurs du CSM à la pro-

portionnelle sur liste nationale

Le Conseil supérieur de la magistrature garantit l’indé-

pendance des juges en les autogèrant.

Mais pour que les français s’approprient leur justice, que

les juges sentent le souffle du peuple, et qu’ainsi un débat

ait lieu sur la justice devant tout le pays, il faut que :

Les 8 membres extérieurs du CSM soient élus chaque

5 ans, au scrutin de liste national à la proportionnelle inté-

grale, lors des législatives.

Mesure n° 3 : Dépister les juges fragiles : l’institution

d’une période probatoire

1. Dans les affaires ayant accédé à la notoriété, le pays a

découvert des juges immatures, rigides, des juges enfants

comme le Congo connait les “enfants soldats”.

2. Cette situation est aggravéé par la protection corpo-

ratiste amenant une couverture d’irresponsabilité.

Ainsi, le CSM ne veut pas voir dans des décisions

manquant outrancièrement aux devoirs de la charge une

faute lourde exposant à sanction disciplinaire.

L’Oligarchie judiciaire a ainsi fait transférer sur les

contribuables la responsabilité de ses turpides avec les lois

de juillet 1970 et 1972, sur l’indemnisation des dommages

causés par les juges.

Le sommet fut atteint par l’arrêt de la Cour de Cassa-

tion du 23 février 2001, sur l’affaire Grégory parlant «

l’inaptitude du service publis de la justice à remplir sa mis-

sion

», alors que l’inaptitude était celle du juge préci.

3. Dès lors, pour éviter cela, de même qu’il y a un permis

jeune, avec un A sur la voiture, et tout comme avant d’être

médecin on est interne, il faut une période judiciaire pro-

batoire de 5 ans, avec un statut de juge stagiaire sous

contrôle des justiciables et de leurs conseils, prenant la

forme d’un droit automatique de récusation.

Mesure n° 4 - responsabiliser les juges : protéger la

vie des français par un droit de récusation automatique

des juges ostensiblement inadaptés

Alors que personne ne va chez un médecin de notoriété

incompétent, 30 ans durant, jusqu’à sa retraite en 2014, des

français ont du subir le juge de la Vologne dont ils savaient

sa dangerosité.

C’est que les cas où l’article 111-6 du Code de l’orga-

nisation judiciaire permet la récusation d’un juge sont très li-

mités.

Il faut donc, au moins pour les juges stagiaires,

en CDD

de 5 ans

, que tout conseil puisse récuser un juge.

Comme pour les mauvais médecins, les juges, de no-

toriété inconsistants, seront ainsi détectés. L’addition des ré-

cusations deviendra un indicateur d’inadaptation au service

permettant au président du tribunal de prendre les mesures

adaptées : du stage de reformation à l’exclusion.

Mesure 5 - Protéger la société des juges idéologues :

sortir les familles des tribunaux :

Des milliers de décisions judiciaires sur les familles met-

tent des pères sur des grues et des enfants en difficulté.

Dans la France des attentats, l’Etat n’a pas à organiser les

guerres familiales. Les contentieux familiaux doivent donc

être dé-judiciarisés et transférés à des

Maisons de la famille

pour un traitement pacifique, dénouant les nœuds des

conflits au lieu de les trancher.

la justice rééquilibrée en 5 mesures du Plan maupeou

e l’intérieur des médias des journalistes

citoyens ne cessent d’alerter. Dès le 4

mars 1991, J.C. Guillebeaud, président

Reporters sans Frontières,

lors d’une émis-

sion «Le point sur la table» de TF1, avait dressé

le bilan « d

es mensonges médiatiques colos-

saux

» pratiqués lors de la 1ère guerre du Golfe.

Un Observatoire, ACRIMED, mène aussi

depuis 1995 une analyse critique des médias.

Mais c’est François Ruffin, jeune journa-

liste qui avait révélé en 2003 les techniques

de secte du Centre de formation des journa-

listes où «

il s’agit moins

, disait-il,

d’apprendre

que d’accepter le dégoût de soi, de son travail,

pour lequel on éprouve plus de honte que de

fierté.

», il rapportait des extraits d’enseigne-

ment dans cette école :

Dans un an, vous serez journalistes, confie

un professeur. Vous entrerez dans ce que j'ap-

pelle " le complot de famille ", c'est-à-dire des

règles qui peuvent scandaliser les gens mais,

bon, c'est comme ça que la machine fonc-

tionne."

, dans «

la célébration du vide, le mé-

pris du public, la soumission aux pouvoirs, la

quête du profit, l'information prémâchée

comme seul horizon..

Au delà des prêches d’imans allumés, dans

des mosquées salafisés, le danger pour notre

liberté, parce qu’insidieux, instillé, c’est cette

information qui nous pénètre contaminée,

comme une amiante médiatique parasitant nos

circuits neuronaux pareil à un pesticide Gau-

cho désorientant l’info des abeilles

l’oligarchie médiatique absolue :

Mégapouvoir, sans contrôle, les médias ont dérivé. Do-

minant tous les autres, leur irresponsabilité leur donne une

telle nocivité qu’ils constituent le plus grand défi pour les

démocraties.

1°) la domination sur les 3 autres pouvoirs

Parce que les médias sont mondiaux, ils dominent les

trois autres pouvoirs, législatif, judiciaire, exécutif qui ne

sont que nationaux et qu’ils influencent :

en les pénétrant

par de multiples couples constitués

entre journalistes et ministres ou président .

en les inféodant

, parce que ce sont les médias, ouvrant

ou fermant le robinet télévisé, qui fabrique Ségolène Royal

“candidate présidentielle”, qui font élire en une seule émis-

sion d’Arlette Chabot, le 9 dec 2010, Marine Le Pen prési-

dente du FN, ou lancent avec L’Express, E.Macron.

en hypnotisant

les jeunes juges qui font fuiter les actes

de procédures et courent les caméras.

2° ) la manipulation et la désinformation

Tout comme la fraude fiscale va de la dissimulation ar-

tisanale jusqu’aux manœuvres frauduleuses complexes ,

la désinformation médiatique va des petits mensonges indi-

viduels, jusqu’à la désinformation massive :

L’infocide

La guerre du golfe fut un sommet avec les faux bébés

des couveuses tués au Koweit par les soldats irakiens ou les

cormorans qu’ils auraient mazoutés.

Mais dans les faux charniers de Timisoara, les médias

français en décembre 1989, ont co-écrit le livre noir du men-

songe :

-«

4 630 morts par torture

» précisait un « envoyé spécial»

de Libération ;

-«

des bennes à ordures transportant d’innombrables ca-

davres vers des endroits secrets pour y être enterrés ou brû-

lés

», rapportait une journaliste du Nouvel Observateur (28

décembre 1989) ;

-«

Les chauffeurs de camions qui transportaient des mè-

tres cubes de corps abattus par la police secrète

», écrivait

l’envoyé spécial de l’AFP (Libération, 23 décembre 1989).

-Gérard Carreyrou, un des maîtres du pouvoir médiatique,

après avoir vu de telles images lançait sur TF1 un appel à la

formation de brigades internationales pour partir «

mourir

à Bucarest

».

une fois le président Ceaucescu exécuté, le Figaro ré-

vélait, le 30 janvier 1990, que les cadavres étaient ceux

de pauvres gens sortis de leur tombes et maquillés pour

donner l’impression qu’ils avaient été torturés.

3°) l’opacité au service de leur irresponsbilité

Sur les médias champions de la transparence, nous ne sa-

vons rien. Comment se recrutent ils ? D’où sortent ils ?

Pourquoi David Pujadas, Yves Calvi, plutôt qu’un autre ?

Quels sont leurs financements, leurs chefs ? Ou même tout

simplement leurs émoluements ?

Car enfin les journalistes qui donnent au centime près les

indemnités des élus, combien eux sont ils payés ? Et quand

ils nous laissent savoir, pour Jean-Marc Morandini, Savil de

la BBC ou Marc-Olivier Fogiel, on entrevoit le fonctionne-

ment de ce pouvoir.

4°) la quadruple dangerosité du pouvoir médiatique

Par

l’infantilisation

des débats binaires.

’inféodation

aux idéologies dominantes, tel le culte

du marché planétaire

Et surtout l’exaspération des tensions, par la logique

de ce pouvoir ne fonctionnant que sur les émotions .

L’oligarchie médiatique porte en elle les aventures guer-

rières qu’elle a soutenues et promues en Irak, en Libye et

partout où la méga machine planétaire où elle s’insère dé-

cide d’aller pour ses intérêts.

le lanceur d’alerte

en dérives

n fin de cylcle de droit, 90% de mes étudiants
sont des jeunes filles... Dans le métier de ma-
gistrat, l’hyperféminisation commence à

poser un problème de crédibilité... ici, la parité est
explosée et la justice du couroux renvoyant à l’image
du père est morte... il ne reste plus que la justice de
quelques jeunes femmes aux ambitions d’institutrice
et douée d’une morale de journaliste chez Biba...

Partout dans la justice, le peuple est absent en ses

réalités... et pourtant, on continue à rendre les déci-
sions en son nom..

Solution budgétaire et politique à la fois, il faut donc

remettre du peuple à tous les niveaux : dans chaque
cour d’assises où la réforme Pétain (3 juges pros sur
12) doit être abolie, comme dans les cours correction-
nelles et même dans les tribunaux de commerce,
hontes de notre démocratie.

mé

dia

l’oligarchie médiatique limitée :

arce que les médias appartiennent de plus en plus à de grands groupes

mondialiés associant média et Internet, les Etats doivent au plus vite

les traiter en pouvoir à constitutionnaliser, avec un regard sur la for-

mation de leurs gens et une participation citoyenne à leurs contrôle.

Certes, des constitutions visent déjà les médias. Celle du Portugal, qui

y consacre ainsi 4 articles, sur leur liberté, la création d’une Haute-autorité

de la communication sociale ou les droit de réplique pour les partis.

Mais le pouvoir médiatique bien que dominant les 3 autres déjà consti-

tutionnalisés, reste, lui, en dehors des constitutions, dans un absolutisme ab-

solu. Alors que les monarchies de droit divin, même celle du commandeur

des Croyants au Maroc, sont devenues limitées en étant constitutionnalisées.

La France doit être la première démocratie à inscrire dans sa Constitu-

tion un nouveau titre, après celui du Président, du gouvernement et du Par-

lement, intitulé

Du pouvoir médiatique

, avec trois articles, 51-2 à 51-4, sur

le recrutement des acteurs de ce pouvoir, son fonctionnement et son contrôle.

Comme pour la magistrats et les imans, il faut oxygéner leur formation.

Pas plus qu’elle ne pourra continuer à ignorer la formation culturelle

des imans, la République qui s’intéresse à la formation d’un instituteur pour

protéger l’avenir du millier enfants qu’il aura à instruire en 30 ans de carrière,

ne peut se désintéresser de la formation d’un journaliste qui aura 3 millions

de téléspectateurs en 30 minutes d’émission !

C’est la condition pour arriver à une «

écologie de l’information

» dé-

barrassée de la pollution des mensonges.

Si depuis 89 «

la Société a le droit de demander compte à tout Agent public

de son administration

», elle ne peut laisser incontrôlées les médias mêmes

privées, parce que l’information, comme l’air et l’eau est un bien public.

Certes il y a déjà le CSA. Mais c’est insuffisant, parce que les nouvelles

technologies jettent sur la démocratie les filets dérivant du Big Data, captu-

rant les votants de la présidentielle comme des bancs de morues électorales.

Dès lors, le contrôle du pouvoir médiatique doit embrasser l’ensemble

de ce problème qu’il pose à la République, avec

une Cour Citoyenne des

Medias

qui comportera, comme le Conseil supérieur de la magistrature, des

représentants élus à la proportionnelle de liste nationale.

Cela amènera 3 effets majeurs :

pour la démocratie

: Un débat national régulier sur l’information du pays.

pour les journalistes

: une vraie indépendance puisqu’ils pourront s’appuyer

sur la CCM pour résister aux pressions de leurs groupes économiques.

pour le pays

: la Cour citoyenne va provoquer un choc pédagogique désa-

cralisant les médias, parce que le contrôle leur enlèvera l’aura de l’irrespon-

sabilité et raccourcira le statut de

petits caïds de l’écran qui dealent chaque

jour de l’info orientée

1. la solution symbolique majeure :

La constitutionnalisation du pouvoir médiatique

2. la solution technique efficace :

La mise aux normes démocratiques des écoles de journalisme

3. la solution politique audacieuse :

Le contrôle du pouvoir médiatique par une Cour Citoyenne des Médias.

en réformes du Plan Janus

immiGraTion, insécUriTé...

...islamisme, Terrorisme...

1ère étape 1960- 1970 :

LA MISE EN PLACE DU

PROBLEME PAR L’IMMIGRATION

Amorcée dans les décennies 60 et 70 par les industriels

de l’automobile et du bâtiment, avec par exemple 515

600 immigrés algériens supplémentaires de 1958 à 1977,

l’immigration devient problème.

2ème étape 29 avril 1976

: L’ EXPLOSION DU

PROBLEME PAR LE REGROUPEMENT FAMILIAL

En une seule décision, le décret du 29 avril 1976,

Jacques Chirac organise le regroupement familial, le

problème de l’immigration vient d’exploser.

Aussitôt, des dizaines de milliers de femmes et

d’enfants arrivent sur les services sociaux débordés,

les HLM insuffisant, avec les bidonvilles se créant.

Au point que Raymond Barre doit suspendre, pour

3 ans, par un décret du 10 nov 1977, le regroupement.

Mais le Conseil d’Etat, sur recours de la CGT et

CFDT, annule, par un arrêt GISTI, du 8 déc 1978, ce

décret, rétablissant la vague migratoire familiale.

3ème etaPe 1978 :

LA SUSPENSION DU SERVICE

NATIONAL DETRUIT L’OUTIL D’INTEGRATION

La loi du président Chirac, du 28 octobre 1997, suspend le

service obligatoire, détruisant un vecteur d’intégration au mo-

ment où les décisions pédagogiques post-1968 détériorent le

creuset de l’école.

4ème étape depuis 1991 :

LES CONFLITS DU MOYEN

ORIENT TRANSPOSENT LE CONFLIT EN FRANCE

En participant le 16 janvier 1991 à la destruction de l’ Irak

et à ses 100 000 morts, plus la génération d’enfants sacrifiés par

l’embargo alimentaire, F. Mitterrand a envoyé sur les écrans des

banlieues les premières images de la violence du fort contre le

faible qui vont casser l’unité éthique de la France en deux camps

: celui qui 15 ans après pleurera le Bataclan et celui qui en si-

lence le comprendra, celui qui pourra dire «

je suis Charlie

» et

celui qui pensera sans parler «

je suis palestinien

».

C’est qu’à partir de 1991, l’avalanche des images télévi-

sées du président Irakien pendu le 30 décembre 2006, des en-

fants palestiniens tués, de l’assassinat du président Khadafi le

20 décembre 2011 ou des bombardements de la seconde guerre

du golfe, ont instillé dans les têtes des banlieues, les ressenti-

ments d’injustice, d’indignation.

e problème de l’immigration n’est pas tombé du ciel.

C’est en 4 décennies qu’il a été fabriqué. De 1918 à

1948, il n’y a avait par exemple que 20.000 travail-

leurs marocains en France et 5.000 tunisiens en 1954 .

a partir de la décennie 60, la vague migratoire a été

sciemment enclenchée.

avec ses effets boule de neige, sécuritaires, islamistes et

terroristes, qui eux n’avaient pas été anticipés par l’an-

gélisme exterminateur des grands pro-migrateurs.

le terrorisme fabriqué en 4 étapes

L’Europe

1960 - 2016 :

La fabrication

des 4 problèmes

Problèmes

imbriQUés

d’où 4 solutions différentes

immiGraTion, insécUriTé...

...islamisme, Terrorisme...

les solutions aux migrations

séc

iTé

1 - Mur et retour : les deux illusions.

le retour

a déjà été essayé sous le

président Giscard d’Estaing avec une

prime de de 10.000 Frs qui n’a suscité que

90.000 départs sur les 500.000 attendus.

le Mur

, le “Limes”, a déjà été élevé

par les Romains sur le Danube et le Rhin,

mais les barbares l’ont quand même fran-

chi.

2 - Maghreb et Méditerranée : les deux

stabilisations.

Une grade politique méditerranéenne,

voir les pages 44 et 46.

3 - afrique : le traitement au fond.

De Dunkerque à Kinshasa, un commu-

nauté Francophone destin,

voir page 48.

2017 - 2022

Les solutions

aux 4 problèmes

les solutions à l’insécurité et au terrorisme

1 - Certes, il faut un carré répressif...

avec le renforcement budgétaire et en effectifs :

Du renseignement enfin

revenus à la proxi-

mité,

Des forces de police

libérées de l’idéologie

anti-flics,

Des juges

rendus au peuple,

Des prisons

qui n’incuberont plus la radica-

lité dans les cellules et cours de promenade;

2 - Mais il faut surtout un éloignement cu-

ratif.

Des prisons délocalisées outre-mer.

le centre de la second chance aux Ker-

guélen

plutôt qu’en métropole (Voir page 15)

plutôt que les centres de déradicalisations,

les solutions à l’islamisme

1 - l’inspiration : le modèle marocain d’un

islam politiquement maitrisé (voir page 32).

Au Maroc, l’Islam est suffisamment institu-

tionnalisé pour être politiquement maitrisé.

2 - islam et laïcité, réinterprêter deux sacrés

Pour l’Islam, depuis 900 ans et son théolo-

gien Al Ghazali, il y a blocage du travail d’in-

terprétation. Le texte veut résister à la

disparition du contexte.

Quant à la Laïcité, elle doit aussi réinterprê-

ter la lettre de son texte de 1905. En effet, re-

posant sur la séparation de l’Eglise et de l’

Etat, elle marche avec la chrétienté, dont elle

est issue sans se l’avouer, mais elle est en

souffrance face à l’Islam, dont la force gravi-

tationnelle théologique l’aspire pour la fondre

dans l’unicité de sa divinité.

C’est le défi de la République.

Sur l’islam en France tout a été écrit . Mais en final on ne sait même pas le nombre de musul-

mans, « les estimations oscillant allègrement , selon un rapport 2016 du Sénat , entre 4 et 7 mil-

lions de personnes » . Comme on ne sait pas non plus la réalité du financement de 2450

mosquées de l’économie et de la fiscalité de la filière Hallal ou de l'enseignement musulman

1) l’improvisation observée

DEs islams désordonnés

l y a les islams turcs, algériens, marocains à

Evry, sans parler de l’islam salafiste. S’ajoute

la diversité des imans, entre les détachés,

comme les 151 turcs ou les 120 algériens, les 299

psalmodieurs occasionnels qui arrivent chaque

année pour le ramadan, sans parler français, les

salariés et les bénévoles.

Comme il n’y a pas de formation pour deve-

nir imam, on a aussi des imans bricolés en au-

todidactes ; à formation aux universités

,Al-Azhar au Caire, ou à l’Institut Razali de

Paris ; à formation opacifiée à St Léger de Fou-

geret dans la Nièvre ; à formation externalisée

à l’étranger, où après avoir déjà remis les ban-

lieues aux grands frères, l’ Etat remet aussi la

formation des imans aux grands voisins ma-

rocains, algériens ou turcs.

A côté de ce disparate, avec des imans au

RSA et des savants, «faqih», à culture théo-

logique, il y a l’islam en Belgique rémunéré,

et l’islam Marocain maitrisé qui donne le

modèle à suivre.

l’islam de france : le constat

Même commandeur des croyants, sa Ma-

jesté Mohammed VI, pareil à son père le Roi

Hassan 2, ne reste pas les bras religieux

croisés. A l’intérieur comme à l’extérieur,

l’Islam n’est pas laissé la bride sur le cou,

avec l’Etat indifférent. Il est organisé pour

rester dans « le juste milieu » ( wassatiya)

avec :

Un ministre des affaires islamiques

permanent depuis 2002

L’institut Mohammed VI de forma-

tion des imans à Rabat , au budget de 14

millions d’euros, qui accueille 400 élèves

venus du Maroc, d Afrique et de …

France

Une Chaîne coranique, Assadissa,

présente sur la TNT et le satellite

La fondation Mohammed VI des ou-

lémas africains, pour maîtriser l’Islam de

Rabat à Libreville.

2) l’organisation à suivre :

L’islam marocain maîtrisé

cié

Té

i on veut un islam intégré , il faut 3 mesures,

nécessaire, révolutionnaire , et salutaire,

pour l’organiser.

1) la Mesure clef : une formation sous

langue et souveraineté française avec :

trois objectifs

: Sortir du vide des formations

actuelles ; avoir des imans citoyens face à leurs

responsabilités sociales ; avoir des imans savants

face à la réinterprétation de leurs textes sacrés.

un outil

: Une

Université méditerranéenne

des religions

à installer à Montpellier, désigné

par son histoire et sa géographie carrefour avec

un statut d’établissement public international à

financement euro-méditerranéen.

2) la Mesure révolutionnaire : le finan-

cement public français souverain contre le

financement islamique étranger.

La République « ne subventionne aucun culte».

Pour éviter alors le financement de l’islam par

l’étranger, on a inventé une Fondation pour les œu-

vres de l’islam.

Il lui faut des fonds. Ils existent dans le Coran

avec la Zakat, impôt dû par les musulmans. Il ne

reste plus qu’à l’habiller juridiquement, pour

l’orienter

un modèle existe, c’est le Kirchensteuer

allemand

l’impôt d’église payé volontaire-

ment, sur le support public de la déclaration de

revenus. Retenu à la source par l’employeur sur

le traitement, sauf refus,

l faut le transposer

pour financer la fondation qui financera les for-

mations et les constructions. Avec

le principe

les prieurs sont les payeurs.

3°) la mesure salutaire : avoir une diplo-

matie de suggestion d’ un accord de latran

musulman.

Si le Saint Siège est devenu indépendant de

l’ Etat italien par l’accord de Latran du 11 fe-

vrier 1929, les musulmans, dans l’intérêt de la

paix, doivent penser rendre le saint siège de

l’islam indépendant de la Monarchie saou-

dienne wahabite.

Gallicaniser l’islam : le projet

les trois mesures à prendre pour l’islam intégré

les cloaques

pénitentiaires :

187 prisons...

68 819 incarcérés...

33 600 agents...

2,6 milliards par an

...

Dans un décor arch

aïque

digne d’une autre é

poque,

les prisons français

es pro-

gressivement transf

ormées

universités du crime

sont

devenues de véritabl

es incu-

bateurs de bactérie

s isla-

mistes ou de délin

quance

professionnelle....

Il faut les raser !

Il y a 187 prisons réparties en

Maison de détention pour les longues

peines, maisons centrales pour les

peines supérieures à 2 ans et les mai-

sons d’arrêt pour les prévenus non

jugés et les peines inférieures à 2 ans .

Ces prisons surpeuplées, avec 68

819 détenus pour 58807 places, sont

connues : des cellules de 9 m2, avec

chacune jusqu’à 4matelas sur des sols

sales , des bouillons de culture avec

champignons, puces, punaises, dans

les effluves d’urine des cuvettes à 80

cm de la bouche des dormeurs, des

caïds, de la drogue, l’islamisation, la

psychiatrisation, la sodomisation dé-

noncée par Le Floch Prigent, les im-

mondices, les rats, les révoltes

régulières, parce que les seules choses

dorées dans ces favellas pénitentiaires

ce sont les staphylocoques.

Pour Bouygues, Sodexho,

GDF, Suez :

leS PriSOnS en Or

L’incarcération est un business.

tois groupes se partagent ce marché

lucratif de la gestion des prisons: So-

dexho qui en gère 36, avec sa filiale

Siges et un contrat d’un milliard pour

8 ans ; GDF-Suez, avec sa filiale

Gepsa qui a un lot de 6 prisons et un

contrat de plus de 22 millions et

Bouygues à qui Rachida Dati a confié

trois prisons, un contrat de 48 millions

d’euros ou 1,8 milliard pour la durée

du contrat de 27 ans. Sans parler de la

prison de Rennes où 12 détenues tra-

vaillent pour Bouygues Télécom…

Ces sociétés ont inscrit dans les

contrats des pénalités sur le ministère

de la justice lorasque le taux d’occupa-

tion de leurs prisons dépasse 120 %.

Ce taux étant facilement atteint, les

bénéfices des sociétés gonflent… à

mesure que les prisons se remplissent.

A terme, cette logique de prisons

privatisées va nous faire dériver vers le

modèle américain, où les sociétés cor-

rompent parlementaires et opinions

pour des politiques répressives, aug-

mentant les emprisonnés et donc le C

A des sociétés qui les gèrent

Ces sociétés rémunèrent le travail

carcéral à 3 euros bruts l’heure.

Prisons : la honte

et l’inefficacité...

En 2016 déja, 172.007 condamnés sont en

milieu ouvert. C’est la solution à généraliser

pour tous les condamnés à de “petites peines”

évitant ainsi l’impunité du fait

trop plein des

prisons

toutes les

petites peines

seront trans-

formées en assignation outre-océan pour

permettre par l’éloignement la décantation

et la tresponsabilisation.`

les assignés sous le contrôle des éduca-

teurs et sous bracelet électronique

meneront

une vie professionnelle et sociale responsable.

l’efficacité:la prison sans murs

Petits et moyens délinquants

en milieu ouvert France outre-mer

La prison est un modèle daté et inefficace. Financièrement d’abord, puisqu’en 2016 le budget s’élevait à 2,6

milliards pour 27.000 surveillants dans 187 établissements. Socialement ensuite puisque la prison ne fait que

multiplier les maux qu’elle est censée réduire. A 32.000 euros de coût annuel par détenu, la solution innovante

n’est pas dans la construction infinie de nouvelles prisons mais dans l’organisation de “milieux ouverts”.

Grands délinquants sans crime

Sur l’ile de langlade

Les grands délinquants, sans crime de sang, ac-

compliront leur temps de peine sur les 90.000 hec-

tares de l’Ile de Langlade, à proximité de

Saint-Pierre et Miquelon.

Sur la superficie de la Corse les Kerguélen

comptent 300 îles. Les grands délinquants et les

terroristes vont y connaître l’éloignement salu-

taire nécessaire et la sortie du bouillon de culture

de nos prisons islamisées, sur nos terres australes

où doit se bâtir l’éco-ville du futur.

cié

Té

Crimes de sang et terroristes...

Kerguélen et terres australes

Optimiser

le personnel

pénitencier

Les 27 000 surveillants du person-

nel pénitentier, aujourd’hui uilisés

dans des tâches difficiles sinon stéril-

santes, vont connaître quatre affec-

tations volontaires positives, en plus

des 5.000 personnels affectés aux en-

cadrements à Langlade et aux Terres

australes :

Reconversion dans les services

des douanes

Reconversion en carrière inter-

nationale dans les services européens

de FRONTEX pour la surveillance

des frontières extérieures

Mutation dans les services de

Police.

Possibilité de reconversion

dans les services de l’Education na-

tionale ou la sécurité civile.

le Plan rimbaud

a France a déjà donné aux hommes de la terre le principe
juridique de souverainté avec lequel les 197 etats du
monde se sont organisés, le système métrique, avec laquel

les humains mesurent, pèsent et évaluent tout ce qui existe sur la
planète et même la tVa que 154 etats du monde, pour se finan-
cer, ont appris de la France

il faut maintenant que le génie
de la France, une fois de plus,
invente et donne  aux sociétés
humaines, l’outil juridique nou-
veau qui va permettre de trai-
ter planétairement les
problèmes planétaires sur les-
quels les politiques  nartionales
de tous les pays ont  jusqu’ici
échoué.

Parce que de même que les mé-
caniciens ne peuvent plus répa-
rer avec des clefs  à molette, des
clefs à pipe et des tournevis, les
voitures électronique d’au-
jourd’hui, les mécaniciens poli-
tiques nationaux ne peuvent
plus traiter nationalement, avec
les vielles  boîtes à outils poli-
tiques, nos grands  problèmes migratoires, économiques, clima-
tiques, agricoles, fiscaux islamistes, économiques, qui se sont
mondialisés.
les avions d’air France,  d’ibéria d’ american air lines, de la
raM, comme de toutes les companies existantes,   décollent, volent

et attrissent, selon des règles mondiales appliquées par les com-
mandants de bord nationaux.

2. une lettre postée aux etats unis voyage selon des règles mon-
diales , avant d’être livrée chez nous par un facteur de notre poste
nationale.

3.    en mer du nord, des centaines
de cargos  de tous les pavillons navi-
guent tous les jours  sur des rails ma-
ritimes  fixés  par  des  règles
mondiales, mais appliquées par des
commandants nationaux.

4.    les  penalty ou les  corner, sur
tous  les  terrains  de  football  de  la
terre  ,  sont  tirés  selon  des  règles
mondiales, mais controlées par des
arbitres nationaux

eh bien il doit en aller de même pour
le football fiscal !!!
les multinationales (Google, Micro-
soft, amazon,, Starbuck, etc..) doi-
vent être asujettis à des régles
mondiales d’impôts sur les sociétés
appliquées par les adminsitrations

fiscales nationales.
Pour mettre fin à jaamis à l’évasion fiscal lanétaire à l’origine d’un
gigantesque chaos...
ainsi, juste avec les recettes fiscales récupérées, on pourrait di

mi-

nuer de 30% l’imposition des entreprises françaises...

Il faut maintenant que le génie

de la France, une fois de plus,

invente et donne aux sociétés

humaines, l’outil juridique

nouveau qui va permettre de

traiter planétairement les pro-

blèmes planétaires sur lesquels

les politiques nartionales de

tous les pays ont jusqu’ici

échoué.

le monde

i -

diPLomatie

le retour

i -

uroPe

les grandes solutions

2 -

mediterranée

le coeur stratégique français

3 -

afrique du nord

le maghreb unifié, notre sécurité

4 -

750

miLLions de francoPhones

la communauté de destin

5 -

miLLiard de Latins

l’alliance de civilisation europe amérique latine

6 -

26.000

miLLairds d

’

évasion

l’imposition mondiale

des

multinationales

7 -

55.000

miLLiards de dettes

la conférence mondiale

des

désendettements

l y avait Vigie Pirate, l’opération Sentinelle et

même l’etat d’urgence. Pour autant, quand ils

ont voulu et comme ils ont voulu, ils ont frappé.

Dans une église ou un 14 juillet.

apparemment avec un simple camion et une lame

d’acier, en réalité avec la masse immergée d’un

iceberg de religiosité dérivat et brisant, de new

York à Bruxelles, de Madrid à Paris, des

Twin

Towers

à l’aéroport de

Zaventem,

de la gare

d’

Atocha

à la

Promenade des Anglais

Que veut on alors de plus pour voir la réalité :

notre pays subit les deux chocs telluriques de la

mondialisation de migrations

et de la

réislamisa-

tion de ses populations

, si bien que les bateaux de

migrants, les files de réfugiés dans les Balkans et

la répétition des Bataclan, ne sont que la partie

avancée des événements qui vont déferler sous

l’effet de forces déjà en action :

-a alger probablement

, où l’économie pétrolière dé-

stabilisée enclenchera dns la masse des 21 millions de

jeunes désoeuvrés la vague des candidats migrants.

- en afrique subsaharienne, inévitablement

, où les 500 millions de jeunes

(dont 90 millions de chomeurs) glissent en plaque démographique vers le

nord pour comprimer les plaques sociales maghrébines alimentant un sup-

plément de migratiuons.

-Chez nous, inéxorablement,

où le vieillisement installe dans nos têtes le dés-

amement psychologque, identitraire et reigieux, facteur aspiraant d’une nou-

miGraTions, islamisme eT Terrorisme :

les peurs de la france :

Oui bien sûr il y a Calais et sa jungle, Lampedusa et ses bateaux , les Balkans et par mil-

liers les réfugiés. Comme il y les usines partis, les emplois détruits, la pauvreté installée et
les attentats par dessus le marché. Alors l’avenir et le progrès personne n’y croit.

Pourtant même des jeunes au RSA ou des personnes âgées, ont dans la poche un portable.

Qui en 1986, même milliardaire, en avait un et pouvait téléphoner dans la rue ?

La variole a été éradiquée de la planète . Il n’ y avait plus que 75 cas de poliomyélite dans

le monde en 1975, contre 350 000 encore sous le président Mitterrand

Avec un cœur greffé, 4300 personnes ont déjà vécu 18 ans de plus.

Le 12 avril 2012, au Massachussets General Hospital de Boston, une tétraplégique de 58

ans a commandé par le seul courant électrique de sa pensée un bras robotisé pour boire seule
un café

D’ici 4 présidentielles, après les premiers globules rouges déjà fabriqués, le temps du sang

artificiel, de la régénération micro vasculaire et neuronale, de la reprogrammation, va arriver.

On n’amputera plus des diabétiques ou des dialysés pour gangrène et on va revoir des té-

traplégiques se redresser.

La révolution du vivant, va déclencher une onde tellurique sur toute la société. Les cen-

taines et les milliers de centenaires en bonne santé vont poser la question sociale et éco-
nomique du grand prolongement.

l’espérance du monde : le grand prolongement

Certes, notre diplomatie c’est, avec 14000 agents :

Un réseau spécifique avec 163 ambassadeurs, 16 représen-

tations permanentes auprès d’organisatons internationales, 92

postes consulaires et 161 services d’action culturelle..;

Ce réseau existant se compare aux 173 ambassades des Etats

Unis ou aux 165 de la Chine

la collaboration de 13 ministères de Bercy à la Défense.

Plus de 803 millions de contributions versées à 72 organi-

satons internationales

Mais sorti de ces généralités, c’est le déclin français. Même

au sein de l’ Europe, où la France ne compte plus que 11 admi-

nistrateurs dans les institutions européennes et seuls 10 % des

documents de la Commission européenne rédigés en Français.

Les embargos pendant des années sur l’ Iran, notamment de

2007 à 2013, l’ Irak du président Saddam Hussein de 2001 à

2006, puis sur la Russie, ne font pas une politique diplomatique.

Et ont été un des fac-

teurs importants, en effon-

drant nos exportations de

4,5 milliards en 2006 à

340 millions en 2013 , de destructions d’emplois dans l’industrie

automobile, pharmaceutique et l’agro-alimentaire.

On a ainsi perdu :

notre autonomie de jugement par un alignement sur les USA ,

de la guerre du Golfe 1991 à l’embargo contre l’ Iran,

Notre statut de puissance crédible , notamment au Moyen Orient

, en devenant un sous ensemble d’une Europe Transatlantique.

Notre politique méditerranéenne et arabe menée sur 500 ans,

de François 1er à Charles de Gaulle

Notre politique africaine privilégiée

Nos alliés traditionnels, serbes, russes ou maintenant Marocains

Notre intelligence globale des situations, avec la capacité de

mettre en perspectives

Et surtout un dessin à long terme pour porter une diplomatie.

1- l’impasse des moyens :

2- l’impasse des embargos :

3- l’impasse des fins :

Laurent Stéfanini,

ambassadeur

refusé par le

Vatican et sym-

bole malgré lui

d’une diplomatie

de la provocation

idéologique.

diplomatie : l’impasse

force d’additionner des population, des

PIB et du commerce, l’Union euro-

péenne a fini par laisser croire qu’elle

était une puissance :

Démographique

avec 507

millions d’habitants contre 319 pour les USA ,

économique

avec un PIB de 13 068 milliards

d’euros, contre 12 625 pour les USA, et com-

merciale avec, près de 1800 milliards d’euros

d’exportions annuelles, loin devant les1200 mil-

liards des exportations américaines et même de-

vant la Chine et ses 1700 milliards.

Mais il y a l’ autre réalité du budget de l’Union

: 142 milliards d’euros en 2015, soit environ le

des 372, 9 mds des dépenses totales du budget

français ou à peine la moitié des 274 milliards

d’euros du budget espagnol;

A ce niveau modeste de crédits, on com-

prend l’image surdimensionnée que l’on a de la

réalité.

C’est l’Europe sans même un impôt euro-

péen pour se financer. Comme n’importe quelle

organisation internationale, l’Europe ne vit à

74% que par les contributions de ses Etats

membres.

Sans même aalors comparer les 143,4 mil-

liards de son budget 2016, aux 3.445 milliards

d’euros du budget américain, on mesure que

l’Europe, avec un hymne, une monnaie com-

mune, des ambassadeurs, ou un parlementcom-

mun avec les Etats de la Méditerranée, ne pèse

pas en Syrie, en Libye et dans les affaires du

monde du poids de la puissance imaginée !

de 1951 - 2016 :

Dès 1951 et le traité de Paris, mettant en place l’ Europe de la CECA, le gâchis a commencé. Paris était
toute désigné pour abriter le siège. Les dirigeants français n’en ont pas voulu et ont choisi Luxem-
bourg. On a continué avec le Parlement européen installé à Strasbourg en 1958, au lieu de le mettre à
Paris, où la commodité d’accès aurait évité qu’il parte dans les années 90 à Bruxelles, avec l’illusion
de son siège alsacien, trois jours par mois. C’était la première erreur, le vers dans le fruit. De là, tout le
reste en 65 ans est sorti.

1- l’illusion de la puissance :

la réalité d’un micro budget

De droite ou de gauche, les dirigeants politiques fran-

çais ont eu le même rêve : faire de l’ Europe un Etat ,
comme la France , mais en plus grand.

La seule divergence portait sur sa nature : fédérale de

Maurice Schuman à François Bayrou ; confédérale pour les
héritiers du Général de Gaulle à Jean Marie Le Pen.

Jusqu’à la décennie 1980, l’ Allemagne a partagé ce

rêve, d’une Prusse européenne.

Le Parlement européen à Strasbourg, la Cour de jus-

tice à Luxembourg, la PAC, la TVA unique et en final la mon-
naie unique, l’ont mis en forme.

Mais dans la décennie 80, la réalisation d’un marché

unique a introduit l’ambiguité. Présenté comme européen ,
il était en fait un élément du puzzle du marché mondialisé

Le pavillon européen a alors caché la marchandise du

marché mondial parasitant le projet initial en 30ans :

De Mai 1992 , date de la réforme de la PAC alignant
nos prix sur le marché mondial à  la suppression
des quotas laitiers en 2015, nous livrant aux er-
reents  des  prix  miondialisés,  le  rêve  européen
s’est dégradé en une illusion politique et un  projet
historique gâché.

2- l’illusion historique :

la France en plus grand

3- l’illusion politique :

le couple franco-allemand

De Gaulle invitait le Chancelier Adenauer à Co-

lombey le 14 septembre 1958 et le rencontrait 15
fois. A Douaumont, le 22 sept 1984, François Mit-
terrand et Helmut Kohl se donnaient la main.
C’était le couple franco Allemand !

Mais dans la nuit, du jeudi 9 nov 1989, l’ Alle-

magne a grandi. La Cosette de 1945, a retrouvé
sa  maison de Berlin, son  vieil ami, la Turquie, et
sa Mitteleuropa, avec  ses anciens domestiques,
les plombiers et les paysans polonais qu’elle fait
travailler au rabais, dans ses abattoirs et ses Kol-
khozes  de  l’ex  RDA,  devenant  ainsi  devant  la
France une puissance agro-alimentaire.

Depuis, la France, aux dirigeants dépassés,

se retrouve seule, subissant les coups de canif ré-
pétés du partenaire allemand. Par exemple :

Le veto de Mme Merckel en 2007, au projet

historique français de l’Union de la Méditerranée

Son appel d’air unilatéral à l’arrivée massive

d’une main d’œuvre syrienne.

Ses tractations unilatérales avec la Turquie ,

pour une régulation de la vanne migratoire.

ll y a donc de l’eau dans le gaz du couple
franco-allemand.

L’Europe

les Grandes illUsions

la solution fiscale à portée de main :

l’imposition unifiée des multinationales

Les chefs d’entreprises veulent une chose normale : supporter les mêmes charges fiscales et sociales et ne plus voir l’Irlande et les pays de l’ Est nous

faire une concurrence déloyale. Surtout qu’ils récupèrent déjà de Bruxelles les milliards de fonds structurels ou régionaux que nous leur finançons( De 2007

à 2020, La Pologne a ainsi recu de Bruxelles 164 milliards)

Pour arriver à cette solution de bon sens , il faut l’unanimité sur les décisions fiscales. Il nous faut donc des alliés . Deux des 3 réformes que je propose

ont déjà le soutien de la Commission et du Parlement européen. L’obstacle anglais ayant disparu avec le Brexit , il ne reste plus que le blocage de quelques

Etats. C’est donc à portée de main ou au pire de négociation.

L’Europe

L’ Europe du marché unique, avec la monnaie

unique, attend une fiscalité uniformisée. Pour la

TVA c’est fait. Pour l’impôt sur les sociétés on a

buté , ces 15 dernières années, sur des Etats tri-

cheurs comme le Luxembourg organisant l’évasion

des groupes géants et des Etats déloyaux.

La Commission a mis au point depuis 2011 la

bonne solution. Avec des règles communes pour

calculer la base imposable de chaque société.

Ainsi de Dublin à Bratislava, Google par exm-

ple verrait son bénéfice calculé de la même façon.

Chaque Etat ne conservant plus que le droit d’ap-

pliquer le taux qu’il veut à la partie du bénéfice eu-

ropéen consolidé de Google qui lui revient.

Ce projet ficelé, dans une directive ACCIS,

pour

Assiette commune consolidée pour l’impôt

sur les société

s, arrive sur la table du Conseil des

ministres de l’ Union. La présidentielle est le mo-

ment d’informer les français et de les faire décider.

la solution économique à portée de négo-
ciation :

un budget européen 300 mds

L ‘Europe manque de tout. De moyens mari-

times pour surveiller son flanc sud, d’une vraie

garde des frontières extérieures, de LGV, pour aller

de Brest à Varsovie, d’un plan de recherches scien-

tifiques ou d’ un réseau d’universités des religions,

pour amener aux imans une vraie formation.

Pour cela il faut un budget européen doublant

son montant et donc un impôt pour le financer, voté

forcément par le Parlement.

Aussi le soutien du Parlement européen à cette

révolution politique serait assuré.

C’est la base du compromis que la France doit

proposer. En échange en effet d’un impôt, sur les

sociétés parce que le plus adapté, comme ressource

propre, la France doit avoir deux exigences ;

Rétablir le budget de la pAC

à un niveau per-

mettant à nos exploitants de récupérer les milliards

nécessaires à leur équipement ;

Sortir nos dépenses militaires

des règles de cal-

cul du plafond des 3% de déficits à ne pas dépas-

la solution politique à portée d’audace :

l’alliance europe-amérique latine

Les dirigeants européens n’ont plus de projet.

Leur vision s’est arrêtée à l’ Est buttant sur l’

Ukraine et leurs rêves d’extension au sud n’est

plus présentable depuis qu’ Ankara glisse vers le

retour à un Sultanat.

C’est le moment pour l’Europe de regarder à

l’ouest . Là se joue notre avenir , dans une Al-

liance de civilisation avec les 500 millions d’au-

tres latins de l’autre côté atlantique de la nef

géante de la chrétienté.

Les jalons existent déjà. Avec le Parlement

Eurolat, réunissant les députés européens et lati-

nos américains, les accords commerciaux de libre

échange, et autrement plus puissant avec ce que

Rome a osé : le Pape argentin.

Le temps historique est alors venu, surtout

quand il faut avoir la réponse à la dimension tel-

lurique du défi islamiste, de globaliser ces élé-

ments et de les institutionnaliser dans une

puissante alliance économique , culturelle, univer-

sitaire et politique de 1000 millions de latins .

de 2017 - 2022 :

les Grandes solUTions

Tout a commencé en Palestine. En 1947, 70 ans

déjà. C’est là le cancer primaire qui a métastasé.

Depuis 1975 c’est ajouté la guerre du Sahara. Créant

avec Alger et Rabat une 2 ème abcès sur la Médi-

terranée. Maintenant la Syrie fait le 3 ème et la Tur-

quie va ajouter le sien. En attendant l’ affaissement

économique algérien programmé ou le jour de 2035

, quand la dernier baril et le dernier mètre cube sor-

tiront du Sahara, ne laissant à 20 millions de jeunes

que le projet de traverser à leur tour. Rajoutant une

5ème fracture à la Méditerranée.

le constat unanime

méditerranée : les défis

Avec Lampedusa, les vagues de réfugiés , les départs des jeunes en Syrie et les attentats

ici, maintenant tout le monde sait. Tout vient, tout passe et tout se passe sur la Méditerranée.

C’est de là que viennent nos problèmes : drogues, migrants, djihadistes, islamistes et

tout ce qui fait le terreau de l’insécurité, chaque fois on retrouve la méditerranée.

C’était le dimanche 13 juillet 2008. A Paris . 43 chefs d’ Etat, même palestinien et israëlien,

créaient l’Union Pour la Méditerranée. Avec un secrétaire général , un Parlement , qui était

celui déjà existant entre Bruxelles et les Etats du sud de la Méditerranée, et un siège de l’UPM

à Barcelone. Qui était aussi, depuis 1995, celui de la politique méditerranéenne de Bruxelles.

Autrement dit, dès le départ, la belle idée de l’Union de la méditerranée, était condamnée ,

puisque enfermée à Bruxelles où elle n’avait rien à y faire. Mais Angela Merckel n’avait pas

voulu voir la France reprendre son envol dans la réunification historique de la Méditerranée

L’UPM a donc échoué. Avec la tragédie d’avoir retiré une chance à la paix , en la privant

d’un cadre politique où la question syrienne aurait pu être prévenue et les 2 conflits de Gaza et

du Sahara discutés.

2008 : l’union gâchée

Danger social

20 millions de désoeuvrés

migrations, terrorisme , drogue , insécurité…

Il faut aller à l’union de la Méditerranée . Parce

que c’est la seule solution sérieuse aux pro-

blèmes des migrations et de l’insécurité. Mais

comment fait-on ?

En partant de ce qui existe : l’ Assemblée

parlementaire de la méditerranée, regroupant à

Malte, depuis 2005, 280 dépu-

tés issus des 22 parlements des

deux rives.

En s’appuyant sur les

deux seuls piliers politiques

solides au sud : le Maroc et

l’Egypte.

En suivant le modèle qui

a marché : celui de la Haute au-

torité de la CECA de 1951 à

1960. Il faut donc penser une

Haute autorité de la Méditerra-

née coordonnant un carré stra-

tégique de 4 Agences pour un

plan de croissance de la Médi-

terranée, la gestion des flux mi-

gratoires, l’éco environnement

et le développement humain.

En osant financer la Haute autorité, comme

une redevance perçue sur les containers et les

passagers circulant en méditerranée.

En faisant de l’Union la priorité stratégique

du quinquennat.

mé

diT

err

ée

méditerranée : Une haute autorité

C’est le travail d’un quinquennat , la ligne à donner à notre diplomatie et le retour à nos fondamentaux . Parce que depuis Napoléon III,

sans remonter à François 1 er , dont le traité de commerce avec la Turquie durera rien moins que de 1536 à 1918, la géographie de la

France est là , avec sa façade de plus de 700 km sur la Méditerranée de tous les dangers. Il faut donc les conjurer.

En attendant l’union globale par le haut, et au-

delà des micros unions quotidiennes désordon-

nées par le bas, des mariages mixtes aux

transhumances d’été, un chemin doit être balisé:

Par les régions

, se réunissant deux fois par

an , au sein d’une Assemblée des Régions En-

semble de la Méditerranée , pour traiter de

leurs problèmes communs

Par les universités

aussi, en créant :

Archipel universitaire

méditerranéen reliant

-les universités des deux rives -. Ce qui est

esquissé depuis 2014 au Maroc, par

l’école euro –méditerranéenne d’ingé-

nieurs.

Une université méditerranéenne

des reli-

gions , en partenariat avec l’université

euro-méditerranéenne de Fès

Par les professionnels

, en organisant un

Forum annuel des chefs d’entreprises de la Mé-

diterranée

Par les agriculteurs

, au défi du climat , qui

doivent penser une Politique Agricole Médi-

terranéenne, avec salon agricole annuel de la

Méditerranée, lycée agricole des deux rives,

commission céréalière consultative ou un Plan

Ovins Méditerranéen

Des petits pas préparatoires

le grands saut historique d l’union

Danger militaire :

Course aux armements

nos dangers : le maghreb éclaté

C’est une évidence . Le Maghreb est la frontière sud de l’ Europe. Dès lors , s’il est éclaté c’est du désordre

en Europe assuré. La Libye en est la démonstration . Dès que l’ Etat qui la structurait a été brisé , les mi-

grants sont arrivés. Libyens et subsahariens. Ce qui illustre la 2ème fonction stratégique et dialectique

du Maghreb. Source lui même d’immigration des siens , il a été aussi le barrage qui contenait le flot

de celle des autres , en protection avancée de l’ Europe.En Libye et Tunisie , ce barrage a déjà cédé . S’il

cédait en Algérie, ce serait un tsunami. Et des raisons existent de le redouter.

C’est l’abcès !. Qui bloque depuis 40 ans le Ma-

ghreb 0, retarde son développement, empêche son

unité et crée ainsi pour notre sécurité le danger.

Depuis le 6 novembre 1975, où le Roi Hassan II

a lancé la Marche verte de réoccupation de ses pro-

vinces sahariennes, l’Algérie, fille de la guerre

froide, formée au KGB, impose au Maroc, via un

Front Polisario, installé sur son territoire, une

guerre multiforme de 40 ans. Pour enliser le Maroc

dans une guerre sans fin ; affirmer sa domination

sur le Sahara ; se donner une sortie sur l’ Atlantique

et poursuivre sa mythologie nationale de la libé-

ration nationale.

Mais l’environnement change. Au Sahel, la Hol-

ding islamiste, peut contaminer le Sahara algé-

rien. La manne des hydrocarbures diminuée, c’est

aussi moins de moyens. Enfin, avec déjà 3 millions

de seniors, plus ses désoeuvrés, l’Algérie découvre

d’autres défis.

Danger au sahara

la guerre incrustée

Le Maghreb, on le sait, c’est 20 mil-

lions de jeunes désoeuvrés. Dont 10

millions en Algérie, 6 au Maroc et 2,

5 en Tunisie, souvent diplômés.

A eux seuls, ils sont un continent ,

une plaque tectonique instable, entre

éruptions, en manifestions régulières

de rue ou printemps collectifs, frus-

trations et souhait d’émigration.

Parce que près de 10 millions atten-

dent un emploi et il n’y en a pas.

Les urnes sont trop petites pour leurs

besoins. Le système est encore plus

bloqué qu’au nord de la méditerranée .

Au total , il n’y a guère d’avenir.

Combien de temps alors

l’afrique du nord peut elle tenir ?

Danger social

20 millions de désoeuvrés

inquante bombardiers MiG-29M, des

hélicoptères d’attaque, des chars T90, des

véhicules blindés, des missiles sol air,

deux sous marins et même des systèmes

antiaériens. L’ Algérie est dans la course

aux armements. Trois milliards de dollars

de matériels russes dans les 6 derniers

mois, le premier budget militaire

d’Afrique avec plus de 10 milliards, déjà

le 1/ 3 du budget militaire français. Et en

2016, un budget militaire 1,5 fois supé-

rieur au budget de l‘éducation

Ce surarmement algérien déséquilibre la

région. Le Maroc est contraint de suivre

avec sa marine, son aviation, son armée.

A deux heures de Toulon et du sud fran-

çais, cet arsenal militaire, plus la guerre

en Libye, montrent les dangers sous esti-

més de ce Maghreb désuni.

notre sécurité : le maghreb unifié

17 février 1989, à Marrakech , en 19 articles et un traité, le tunisien Ben

Ali, le président algérien Chadli, le Colonel Taya président de la Maurita-

nie, le colonel Kadhafi et sa Majesté Hassan II, créaient l’Union du Ma-

ghreb Arabe. 28 ans après, quand on regarde la photo de ces 5 chefs d’ Etat,

à l’ Hôtel de ville de Marrakech, le rêve ne s’est pas concrétisé .

Il n’y a pas eu une carte d’identité unique pour les maghrébins ou d’

autoroute commune . De Oujda à Figuig, sur 373 Km, la frontière est

même fermée entre le Maroc et l’Algérie . Mais il y a là un précédent.

Puisque Union a pu être tentée , elle peut l’être à nouveau. Parce que

c’est une nécessité et pour notre diplomatie une priorité.

reb

Déjà en 1989

l’union du Maghreb arabe (l’ouma)

L’intégration de l’ Afrique du nord se joue bien sûr à

Rabat et Alger.

Mais Bruxelles a son poids , des milliards d’euros dé-

versés . Comme Mexico et Cuba aux quels on ne

pense pas et qui sont des relais du Polisario. Il y a aussi

Moscou qui traite et avec Alger et avec sa Majesté.

C’est donc une diplomatie tous azimuts que la France

doit mener avec 3 objectifs emboîtés : Méditerranée,

Maghreb et au delà la Francophonie à intégrer.

2017-2022

l’enjeu diplomatique

La Francophonie, c’est certes une politique culturelle et

d’influence avec :

1 098 000 élèves inscrits aux cours de langue dans

nos établissements et Alliances françaises, dispensant 45,

9 millions d’heures d’enseignement

505 000 candidats qui passent à l’étranger des certi-

fications et des tests de langue

Les 3 actions audiovisuelles extérieures par :

RFI, la radio la plis écoutée en Côte d’Ivoire

France 24 que 91 à 98% des dirigeants et cadres

regardent à Dakar, Abidjan, Libreville,

TV 5Monde regardée à Kinshasa par 100 % des

dirigeants et des cadres.

D’abord avec l’effondrement des moyens. La poli-

tique culturelle extérieure ne représente plus que 25% des

crédits du ministère des Affaires étrangères, après en

avoir représenté 50%.

Depuis 2006, pour » la langue et la culture », les crédits

sont passés de 110 millions à 61 millions, soit le même mon-

tant que les crédits versés aux partis politiques

Avec les concurrences médiatiques : 5 nouvelles

chaînes privées sénégalaises sont apparues depuis 2012,

une 2 ème chaîne publique au Mali et au Maroc ,le groupe

Medi1 Radio et Medi 1 TV, est une sorte de

France 24

consacré au rayonnement chérifien sur L’Afrique.

Au Maroc, en 2012, TV5 Monde avait vu son au-

dience sur les cadres et les dirigeants tomber de

59, 4 % à 46, 4 % et pareil en Tunisie de 64, 7 % à

45, 6 %.

La chûte avait été encore plus grande pour France

24, dans les pays du Maghreb

S’ajoute, de façon dévastatrice, la concurrence que

subit la France :

De la part de la Chine , implantée sur le marché des

travaux publics d’ Alger à Kinshasa, en passant par Rabat,

à qui Xi Jinping a même proposé une coopération mili-

taire, nucléaire compris.

De la part de la Turquie qui multiplié par 5 ses am-

bassades en Afrique et mène une offensive diplomatique

puissante, appuyée sur la toile aérienne de Turkysairlines

et relayée par un réseau d’écoles élitistes turques ac-

cueillant les enfants des grands dignitaires politiques et

miltaires africains

De façon encore non perçue, mais plus profonde et

globale, par la grande marche au sud de la nouvelle stra-

tégie, économique, bancaire, sécuritaire, aérienne et sur-

tout religieuse du Maroc au cœur des 6 pays de la fran-

cophonie historique du Mali au Gabon, chacun visité

jusqu’à 3 fois par le Roi et pénétré via le réseau profond

des confréries soufistes dont Tijaniya.

Se distendent les liens de la grande famille franco

africaine à cause des attitudes de nos dirigeants

Inamicales à l’égard du Maroc ( multiplications de

vexations par Livres à charge, harcèlements judiciaires

de hauts fonctionnaires..)

Méprisantes à l’égard de la RDC, le jour du sommet

2012 de la Francophonie, à Kinshasa même

Inconsciente l’égard des élites africains les dissua-

dant de venir dans nos universités , puisque l’anglo-saxo-

nisation de nos études va finir par leur rendre plus

cohérent d’aller dans des universités anglo saxonnes

puisque l’original est préférable à la copie.

1- Francophonie : l’etat des lieux

2- l’effritement de l’influence est là :

3- la concurrence que subit la France

3- la responsabilité de nos dirigeants

de dUnkerQUe à kinshasa :

alerte sur le pré carré francophone

aris à

anTiaGo

un milliard de latins

’Amérique latine et l’Europe sont les deux

rives de la même civilisation, les deux tra-

vées de la même cathédrale. Ce serait une

erreur pour l’Occident chrétien de ne pas suivre

la voie du conclave élisant un pape italo-argentin.

La différence de la construction européenne qui

dès le départ n’a pas marié des pays complémen-

taires, mais des sociétés avec la même faille dé-

mographique cachée du vieillissement et les

mêmes peurs, des soviétiques hier et des isla-

mistes aujourd’hui, l’alliance Europe – Amérique

Latine se fait dans la complémentarité . Surtout

démographique du continent des moins de 20ans

et de celui des plus de 65 ans. On emboîte deux

pyramides.. L’une qui repose sur la pointe de peu

de jeunes l’autre sur la base de jeunes générations

nombreuses.

Ainsi emboîtés, les deux sous continents don-

nent un pack démographique équilibré d’un mil-

liard d’habitants dans le match des géants, où l’

Europe et la France de toutes les peurs qui ne rê-

vent plus, s’équilibrent avec des pays qui savent

fabriquer des mythes et des icônes, d’ Allende et

le Che avant hier, au Pape François aujourd’hui.

Qui illustre une autre complémentarité des pro-

fondeurs, avec des Eglises désertées ici, et des

Eglises remplies là bas.

L’Amérique latine et l’Europe sont en effet les

deux rives de la même civilisation, les deux tra-

vées de la même cathédrale. Ce serait une erreur

pour l’Occident chrétien de ne pas suivre la voie

du conclave élisant un pape italo-argentin.

Il faut intégrer nos richesses complémentaires.

Intégrer nos universités.

Chavez était pour, Bachelet sera pour, Evo Mo-

rales sera pour, même le Mexique peut encore être

récupéré avant qu’il ne bascule, absorbé par l’em-

pire anglo-saxon. Voilà le véritable enjeu de

l’élection de 2017, une alliance de civilisation,

parce que le temps terrible des empires est revenu

avec la Chine et les Etats Unis.

Bien sûr on le voit, le vieillissement, l’ europe avec même pas 8% de la population du monde, les

files de réfugiés, un grand remplacement redouté, un islam conquérant, du chômage pour tout cou-

ronner et des candidats sans rien de neuf à proposer. tout va donc faire de 2017

l’élection sur la peur

Pourtant nous avons la puissance et le nombre. a l’ouest de nos côtes atlantiques, où des dizaines

de millions de jeunes, descendants d’italiens, espagnols, basques ou portugais, sur le continent du

Pape François, pèsent, avec la France et l’europe, le poids stratégique du milliard de latins.

Comment alors avoir peur, quand tous les éléments, historiques, linguistiques, culturels, religieux,

catalysés par la complémentarité des pyramides démographiques, sont là pour rendre possible l’his-

torique alliance de civilisation europe-amérique latine ?

europe - amérique latine : les complémentarités

laT

iniT

“la mano en la mano”:

l’alliance de civilisation

europe-amérique latine

Lorsque du 21 septembre au 16 octobre

1964, la caravelle du général de Gaulle fait

le périple triomphal dans les 10 pays d’Amé-

rique du sud, il y a les bases d’une alliance,

mais pas d’assises institutionnelles.

Aujourd’hui par contre, il y a 30 ans de

liens, de partenariat stratégique, universi-

taires, économiques, et depuis le 8 nov 2006

le couronnement d’un Parlement, Eurolat,

Europe Amérique Latine, de 120 députés et

3 commissions permanentes, fondé à Lima.

On n’attend plus que la force d’une vo-

lonté politique et d’une action diplomatique

soutenue, de Bruxelles à Mexico et Santiago

du Chili, pour lancer la marche à la

construction qui verrait, à l’horizon 2025

de nos générations d’aujourd’hui, les deux

rives de notre même civilisation s’unifier.

Balayant ainsi la peur et la fixation poli-

tique sur les 120 millions du sud de la médi-

terranée ramenés ainsi à une proportion

apaisée dans le nouvel ensemble internatio-

nal créé.

’ Europe est en panne et la

France en attente. Amener

les réponses techniques

d’une unification fiscale et sociale

est bien sûr nécessaire, mais pas

à la dimension des défis

qu’amène la mondialisation.

En revanche, penser et travail-

ler à construire, entre nos deux

sous continents, le premier es-

pace culturel, scientifique , uni-

versitaire, intégré, à libre

circulation des savants, des cher-

cheurs , des créateurs, est un pro-

jet suffisamment grand pour

redonner du souffle à la politique

et une ligne forte à la diplomatie .

La nôtre , celle de la Commission

européenne, mais aussi et surtout

la diplomatie parlementaire .

Celle du Parlement de Bruxelles,

et celle surtout du Parlement Eu-

rope Amérique Latine. Puisqu’il

peut déjà parler pour les 1000

millions qu’il est pour l’instant

seul à représenter

2008 : un parlement commun

L’ Europe s’est construite sur un

marché. Jean Monnet l’a regretté.

Parce que sur des quantités, des

tonnes et des hectos, de l’ acier et

des capitaux, on ne fait pas rêver.

Cette construction en final s’est

alors enlisée

Ce n’est donc par le chemin du

commerce des choses , d’ailleurs

déjà pratiqué depuis 40 années de

Bruxelles à Rio, que nous devons

aller, l’Europe et l’ Amérique La-

tine, à l’unité, mais par l’Alliance

des intelligences, des images , des

savoirs et des cultures, dans le pre-

mier archipel universitaire bi conti-

nental intégré.

Avec tout de suite une exception

culturelle des visas à renforcer ,

généralisant le programme « d’

Erasmus + », pour la libre circula-

tion des idées, des diplômes, des

créations, des créateurs.

une alliance sur quoi ?

Avec 80 ans de retard sur

Henri Guillaumet , Jean Mer-

moz et les pilotes de l’aéropos-

tale , le président français de

2017 fondera la liaison poli-

tique permanente Paris Santiago

du Chili , Europe – Amérique

Latine, en 3 investissements , di-

rect et personnel, européen et

collectif, parlementaire et démo-

cratique,

En action directe symbolique,

par la tournée puissante , 50 ans

après celle de de Gaulle , de ca-

pitales en capitales , du Palacio

chilien de la Moneda au Palais

de l’ Aurore à Brasilia, de la

Plaza de la Moneda , à Lima, à

Miraflores à Caracs ou los

Pinos à Mexico, et de Parle-

ments en Parlements , dont le

Parlatino , l’assemblée du

continent à Panama .

une alliance comment ?

evasion fiscale mondiale : 26 000 milliards

Via 4000 banques et 2 millions de sociétés écran, 26000 milliards de dollars de bases imposables, soit 10 fois notre production

annuelle ou PiB, échappent à l’impôt. avec un simple taux d’imposition de 10 %, c’est 2600 milliards de dollars d’impôts que les

etats perdent chaque année. Pour la France, les seules 4 sociétés du numérique, Google, amazon, Facebook et apple, génèrent 3

milliards d’euros de résultat, mais ne paient que 10 millions

d'impôt.

L’évasion n’est pas la fraude fiscale qui

consiste à dissimuler au fisc ses revenus impo-

sables, en les cachant dans une banque d’un pa-

radis fiscal.Comme Jérôme Cahuzac à

Singapour ou Lionel Messi au Panama.

Avec l’évasion fiscale, pour avoir à payer le

moins d’impôts possible, les sociétés exerçant

dans pluasieurs pays gèrent de façon planifiée

le traitement comptable de leur chiffre d’af-

faires en tenant compte de toutes les législations

fiscales du monde pour transférer en finalde

leur base imposable dans le pays fiscalement le

moins imposant. C’est du shopping fiscal légal

sur le marché mondial des impôts.

Les sociétés mettent en concurrence les Etats

pour choisir de se faire imposer dans le maga-

sin fiscal des Etats qui pratiquent les « prix fis-

caux » les moins élevés pour les attirer.

Dès lors, il n’y aurait pas d’évasion fiscale, si

les Etats ne se faisaient pas une concurrence

fiscale effrénée. D’où la seule solution efficace

: c’est la concurrence fiscale en amont qu’il faut

supprimer. En Europe, le projet pour ce faire est

prêt. C’est le rôle du président élu en 2017 de

le faire adopter.

l’évasion fiscale, c’est quoi ?

Elle est le fait de toute société à che-

val sur plusieurs pays. Puisque seuls les

multinationales ont la possibilité de

choisir le pays où transférer leurs béné-

fices.

C’est notamment le cas de Google,

Apple, Facebook et Amazon, dont les

critères d’implantation reposent sur un

principe d’optimisation fiscale.

Sans violer la lettre des règles fis-

cales françaises, ces groupes, établis

dans d’autres pays de l’Union, ne

paient pas d’impôt, alors même qu’ils

utilisent nos infrastructures, nos ser-

vices publics et surtout font appel au

pouvoir d’achat des consommateurs

français.

Par exemple, Amazon peut capter

chez nous 930 millions d’euros, mais

sa filiale française ne déclarer qu’un

chiffre d’affaires de 25 millions.

L’évasion ce n’est pas qu’internet et

les géants américains. Nos sociétés du

CAC 40 disposent ausi de 1500 filiales

dans les pays à faible fiscalité.

l’évasion fiscale, c’est qui ?

Depuis des décennies, la techniques de l’éva-

sion fiscale est connue. Elle repose sur un mé-

canisme : les prix de transferts, avec de

nombreuses variantes aux noms imagées comme

le «double irlandais » ou le « sandwich hollan-

dais».

A l’intérieur d’une société géante, les résultats

sont ventilés entre un montage planétaire de so-

ciétés, pour concentrer, via des manipulations

des prix de services rendus, de redevances de

brevets et marques utilisés ou d’intérêts d’em-

prunts contractés, le maximum de bénéfices dans

la société basée sous la juridiction du pays pra-

tiquant le minimum d’imposition.

Google est le modèle de l’évasion fiscale. A par-

tir d’une société américaine, Google US Inc,

concèdant ses brevets, à une société irlandaise

basée aux Bermudes, Google Ireland Holdings,

le groupe fini par échapper à l’impôt en combi-

nant deux sociétés irlandaises et entre les deux

une société hollandaise. D’où le nom de sand-

wich hollandais pour ce type d’évasion. Au total,

près de 99,8 % des bénéfices réalisés à Dublin

sont perçus par Google Ireland Holdings sise

aux Bermudes... où l’imposition sur les

bénéfices n’existe pas.

l’évasion fiscale, c’est comment ?

epuis 2011, en 136 articles ,la Commission eu-

ropéenne a rédigé la directive qui mettrait fin

à l’évasion fiscale en europe. appelée assiette

Commune Consolidée de l’impôt sur les sociétés, elle

fixe et les règles pour calculer, de façon unifiée dans

les 27 pays , la base imposable de chaque grande so-

ciété et les critères pour répartir cette base entre les

etats où la société a une activité. libre après aux etats

d’appliquer le taux de leur choix sur la portion d’as-

siette qui leur a été attribuée.

Ce texte fait disparaître l’évasion fiscale en europe.

il ne reste plus qu’à l’adopter en faisant sauter le veto

irlandais ou hollandai. Ce sera le rôle du Président élu

en 2017. avec le soutien du Parlement européen et de

la Commission , il devra parler net à Dublin , dont

chaque habitant gagne de l’ europe 50 euros par an,

quand chaque français en perd 143 .

e projet accis doit être la base de travail pour

aller à une imposition avec des règles mondia-

lisées des sociétés qui s’évadent mondialement.

C’est le saut politique qu’il faut faire, par delà le sou-

verainisme fiscal.

Pour cela, quelques vérités doivent être rappelées :

les avions d’air France, comme de toutes les com-

panies existantes, décollent, volent et atterrissent,

selon des règles mondiales appliquées par les com-

mandants de bord nationaux. une lettre postée aux

uSa voyage selon des règles mondiales , avant d’être

livrée chez nous par un facteur de notre poste natio-

nale.. en mer du nord, des centaines de cargos de tous

les pavillons naviguent tous les jours sur des rails ma-

ritimes fixés par des règles mondiales, mais appliquées

par des commandants nationaux. les penalty ou les

corner, sur tous les terrains de football de la terre, sont

tirés selon des règles mondiales, mais contrôlées par

des arbitres nationaux.

eh bien il doit en aller de même pour le football fiscal

! les multinationales doivent être assujetties à des rè-

gles mondiales d’impôts sur les sociétés, appliquées

par les administrations fiscales nationales. Pour met-

tre fin à l’évasion fiscale planétaire à l’origine d’une

gigantesque hémorragie.

Concrètement, comme la FiFa le fait pour le football,

l’OCDe fera ce travail pour le “football fiscal”, en

fixant des règles mondiales communes pour le calcul

des assiettes de l’impôt sur les sociétés. inspirées des

règles de la directive accis.

Pas besoin alors de redouter un gouvernement mon-

dial, avec un elysée planétaire, pour des conseils pla-

nétisés de ministres globalisés , lors de mercredi de la

planète aux limousines noires sur des graviers mon-

dialisés.Chacun des 197 gouvernements nationaux des

197 etats souverains reconnus, appliquera ces règles

fiscales mondiales. et le désordre fiscal mondial sera

terminé

solution: a sociétés mondiales, impositions mondialisées

eVa

sio

n f

isc

ale

Pillés par les multinationales,

les etats multiplient les

contrôles et les dispostifs ré-

pressifs, en pure perte. Puisque

internationale , l’évasion fiscale

leur échappe. Comme des chats

nationaux qui ne peuvent attra-

per des souris courant sur le

plafond du monde.

alors, via l’OCDe les etats

ont essayé des solutions. en

2013, un plan de lutte contre ces

érosions des bases imposables

des sociétés a été adopté. avec

15 mesures.

Mais c’est une usine à gaz qui

ne traite pas la source du pro-

blème. Parce que les dirigeants

des etats ne le veulent d’ailleurs

pas vraiment pour 4 raisons :

le chantage des multinatio-

nales à l’emploi délocalisé ;

la corruption électorale par

ces sociétés qui financent leurs

élections ;

la masse des intérêts en jeu,

dans une évasion fiscale puis-

sante industrie juridique inter-

nationale ;

et surtout l’illusion de leur

souveraineté fiscale qui leur

fait refuser la seule solution pos-

sible : l’imposition des sociétés

mondiales selon des règles

mondialisées. Pourtant déjà ré-

digées par Bruxelles

la solution déjà prête :

le projet aCCiS de Bruxelles

la solution à faire adopter :

l’extension du projet aCCiS

dettes publiques : 55.000 milliards de dollars

C’était le mardi 30 septembre 2014. tF1 an-

nonçait que la dette française venait de franchir

le seuil symbolique des 2000 milliards d’euros.

avec les mots « d’abyssal », « d’astronomique

», de « colossal ». Depuis, on a fait plus grand .

2137 milliards en 2016, mais 2152 pour l’ alle-

magne , 12 439 milliards pour toute l’ europe ,

17 114 milliards d’euros pour les etats unis et

la dette publique totale de 55 000 milliards

pour les 197 pays du monde . Sans parler des

dettes privées , des ménages et des entreprises

qui amènent l’endettement mondial à 200 000

milliards de dollars

avec un PiB mondial de 74 000 milliards de

dollars, il faudrait que la planète travaille

presque 3 ans , sans boire, sans manger et sans

rien consommer, pour rembourser toutes les

dettes de l’ humanité. Ce qui veut dire concrète-

ment que la dette mondiale , et donc celle de la

France , ne peut plus être remboursée isolé-

ment , par des mesures nationales chacun de son

côté. Parce qu’elle n’est plus due à des acci-

dents, le plus souvent la guerre, comme dans le

siècle passé, mais à l’économie

telle quelle fonctionne depuis 40 années .

Voilà pourquoi de 2017 à 2022 , notre dette

publique ne pourra en vérité qu’être contenue.

Pour la faire refluer, c’est uniquement au niveau

international que des actions collectives

efficaces peuvent être menées

La dette commence quand

chaque année le budget est en dé-

ficit. En 2016 par exemple , il

était de 72 mds d’euros , après

84, 8 mds en 2014. Il a fallu em-

prunter. Mais depuis 1974, sur 42

ans, jamais un budget n’a été

équilibré. Et sur les 100 ans du

XXème siècle, il n’ y eu que 6

budgets initiaux en équilibre.

Trois sous Poincaré et 3 sous G

Pompidou. On ne cesse donc

d’emprunter et les intérêts des

emprunts, 44, 5 mds en 2016, dé-

clenchent en boule de neiges les

déficits futurs.

Pour sortir de cette spirale, dont

seul les faibles taux d’intérêt em-

pêche qu ‘elle soit pour l’instant

infernale, il faudrait que la crois-

sance du PIB soit de 4 % en

France . Comme les espagnols ne

sortiraient du piège de la dette

qu’avec une croissance de 5 ,9%,

les anglais avec 4, 7 % ou les

portugais avec 3, 9 %. Autant dire

que ce n’est,pas le cas

Si la dette du Japon est détenue à 98 % par des ré-

sidents, les titres de la dette française sont historique-

ment détenus par des acteurs étrangers. Déjà au XIII

ème siècle, les dettes de guerre de St Louis, pour les

croisades, étaient détenues par des banquiers Génois.

La dette s’est internationalisée, à détention externe à

64 % en France, contre 20 % en 1999.

La dette est détenue un tiers par les résidents, un

par la Zone euro, et le 3ème hors dela Zone euro. Mais

l’identité des détenteurs n’est pas connue. Certes les

20 grandes banques agréées, de la BNP-Paribas à

Goldman Sachs, pour écouler nos titres sur les mar-

chés financiers, savent bien à qui elles les ont vendus.

Mais après, ces obligations circulent .

Organisme boursier privé «dépositaire central des ti-

tres français » servantt d’intermédiaire entre la Banque

de France et les détenteurs de titres du Trésor pour leur

verser leurs intérêts ou leur capital quand l’emprunt ar-

rive à échéance, la société Euroclear France, sait parfai-

tement qui détient combien de titres français. Mais la loi

l’autorise à ne pas rendre publiques ces données.

On sait qu’il y a les compagnies d’assurances fran-

çaises à 20 % , des banques françaises à 10 %, des

fonds de pensions, des fonds souverains. Mais l’iden-

tité des détenteurs étrangers est un secret.

a cause de quoi ? entre les mains de qui ?

e constat est fait. avec la dette des ménages et des entre-

prises, le monde est endetté de 200 000 milliards de dollars

et pas seulement de 55 000. alors que fait on ? On arrête

tout, on ferme tout, , on coupe partout ? Mais depuis 2011 l’eu-

rope ne fait que cela et l’exemple de la Grèce montre que ça ne

marche pas.

les etats unis eux ont une solution. Depuis le 15 août 1971, où

en direct à la télévision, nixon a arrêté la convertibilité du dollar

en or , ils se fabriquent de l’argent à partir de rien. la production

illimitée de dollars, au stock multipliée par 21, en 40 ans , esca-

mote leur problème.

Mais nous, le reste du monde, on fait quoi ? Du bricolage bud-

gétaire, des suppressions de fonctionnaires ? C’est dérisoire.

On arrête nos vies de 7 milliards d’humains pour verser aux re-

traités américains, aux banques et aux émirs du Golfe, les 74 000

milliards de dollars du PiB annuel de la terre ? C’est puéril.

alors la double évidence refusée est là :

les dettes des etats ne seront jamais

remboursées et ce faisant leur dette

s’étant mondialisée, la solution

ne peut plus être que mon-

diale .Parce que c’est le

monde que est auto

endetté en un

jeu

circu-

laire de miroirs et d’écritures où chaque etat est à la fois créan-

cier et débiteur. avec en final un serpent planétaire d’endette-

ment qui se mord la queue et étrangle nos économies

Dès lors , comme il y a eu une COP21 dans l’intérêt de l’hu-

manité, pour la même raison il faut penser une conférence

mondiale de sortie des endettements publics. avec

tous les acteurs imbriqués invités : etats, fonds

de pensions, Banquiers, FMi, OMC, et ins-

titutions. Parce que la prospérité des 197

pays de la terre et la vie de l’huma-

nité ne peuvent être prison-

nièrs et compromise dans

une toile d’araignée

stupide d’écri-

tures imbri-

quées.

.11

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.11

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llia

rds

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Tem

solution : la conférence mondiale des désendettements

Que fait-on ?

la vérité : les dettes publiques ne seront pas remboursées

une COP21 de la dette

Puisqu’elle va de soi et qu’elle est donnée sans
avoir à l’acheter, la vie n’intéresse pas. Comme
tout ce qui est gratuit. Elle n’est donc pas dans
les programmes politiques. La dernière fois
qu’on en a parlé, c’était il y a 35 ans, en1981,

dans la présidentielle de François Mitterrand. Mais plus
personne ne se souvient que le slo-
gan de cette campagne c’était «
changer la vie ».

Depuis c’est fini. La vie c’est un «
truc » de catho , une histoire
d’IVG réglée ou celle déjà presque
oubliée de Vincent Lambert que
même le grand Conseil d’ Etat a
expédiée .

Voilà  donc où on en est. La vie a
déserté  la  politique.  Et  pourtant,
celle ci ne cesse de tourner autour
de celle la. C’est le paradoxe. Po-
litiquement démonétisée, la vie est
plus que jamais  au  cœur de toutes
les  demandes    politiques  présen-
tées.

Car enfin, la « Une » des journaux sur le Médiator et les
médicaments qui tuent, le rejet des vaccins, le refus des

OGM, les rayons bio au géant Casino , les 1OO millions
de tubes de crème solaire vendus chaque année ,  les pôles
qui fondent , l’eau qui monte, la névrose du trou , de la
couche d’ozone à celui de la sécurité sociale,  et pour tout
couronner l’inscription d’un  principe de précaution dans
la constitution, sans parler  de la liste des angoisses  d’

Ebola

SRAS,

grippe

aviaire,  vaches folles  et mainte-
nant  d’  attentats    ,  si  tout    cela
n’est pas la peur  de perdre la vie ,
qu’est ce  ? »

Et c’est bien une angoisse fondée.
Parce  que  de  reprogrammation
cellulaire en régénération de tis-
sus,   pour la première fois dans
l’histoire du vivant,  les progrès des
biotechnologies

sont

voie de donner aux programmes
politiques le pouvoir de prendre le
contrôle du programme génétique
de nos vies .

Qui va alors l’emporter ? La bio-
politique qui veut contrôler et dé-

cider même des fins de nos vies, ou la politique de la Vie
qui veut résister et continuer le miracle du vivant incon-
trôlé depuis un milliard d’années ?

C’était le 5 septembre 1977, sous la

présidence Jimmy Carter. Deux

sondes Voyager 1 et 2 étaient lan-

cées dans l’espace à la recherche

de signes de la Vie.
Quarante ans après et 20 milliards

de kilomètres parcourus, les sondes

ont quitté le système solaire sans

avoir capté aucun signal.

Nous sommes donc ici les seuls vi-

vants et c’est ce miracle que la po-

litique doit protéger.

eleveurs

.1996 : une prime européenne de

144 euros par veau de moins de 20 jours abattu

et envoyé à l’équarrissage . C’est la prime Hé-

rode qui, à partir d’octobre 1996, a fait abattre

en France 260 000 veaux pour soutenir les prix.

20 ans après, pour les éleveurs, cette idée folle

à quoi a t elle servi ?

Céréaliers.

Jachère, «

set aside

», «

gel des

terres

», quel que soit le mot, à partir de 1992

Bruxelles a versé à nos paysans des aides com-

pensatoires pour 1, 5 million d’hectares de nos

terres retirés de la production, pour réguler le de

l’OMC, à partir de 1995, Bruxelles a autorisé l’

Amérique à déverser ses oléagineux sur l’ Eu-

rope.

Vignerons.

150 000 hectares du vignoble

du Languedoc Roussillon arrachés , l’équivalent

de tout le vignoble argentin éliminé. Pendant

que l’ Australie, le Chili , plantent.

Stocks :

Sous prétexte de réduire les mon-

tagnes de beurre et de blé, de vider les frigos de

leurs tonnes de viandes et les citernes débordant

d’hectos de lait, en 1992 Bruxelles a supprimé

les prix garanti , les aides à l’exportation, les

stocks amortisseurs et en 2015, les quotas de lai-

tiers.

25 ans après nos éleveurs sont en perdition.

Malthus à Bruxelles

l’europe folle, c’est lui.

la révolution politique de la Vie :

Le désastre malthusien, c’est la santé qui le subit avec :

Le Numerus clausus

. Sous prétexte qu’il y a trop de médecins, on

limite le nombre de formation en faculté : 8000 en 1980, 3500 en 1991,

puis 7400 en 2007.

C’est le

numerus clausus fou

. Dont les conséquences en désastre sa-

nitaire sont maintenant là :

Sur 70 000 étudiants en 1ère année de médecine, seules7500 sont

autorisés à passer en 2ème année. Une partie des 62 500 recalés part à

l’étranger, notamment en Roumanie, mais aussi Algérie, Liban ou Tuni-

sie, continuer et revenir ensuite en France en médecins au rabais . Avec

4000 praticiens «clandestins» dans les cliniques et hôpitaux n’ayant pas

obtenu la PADHUE, Praticiens de diplômes hors union européenne, par-

ticipant aux catastrophes des 25 000 morts par erreurs médicales

Le nombre de généralistes seffondre . Il en restait juste 58.104 en

2015, sur les 198 365 praticiens et ils tomberont à 54 000 en 2020.

Les spécialistes manquent et pas seulement les ophtalmo, ou les

pneumologues, alors que les cas de détresses respiratoires flambent avec

le vieillissment. Le pire c’est l’effondrement des anatomopathologistes

réduits à 1574 . Or le diagnostic du cancer c’est eux. La guerre contre

le cancer peut être perdu parce que les soldats pour la faire ont été éli-

minés en amont par le numerus clausus.

Mais le Malthusianisme frappe toute la société depuis 1999 avec le

Pacte européen d’austérité qui, à la recherche de l’équilibre du budget,

plonge la France et l’Europe dans le déséquilibre du futur avec l’abandon

des investissements ferroviaires, fluviaux, scientifiques , militaires, hos-

pitaliers .

Malthus à Paris

la France pauvre, c’est lui.

ii ne sert à rien de mettre sur le feu

de l’elysée une casserole politique

neuve, si c’est pour y cuire une soupe

idéologique vieille. Or c’est la cas. De

Bruxelles à Paris, depuis 20 ans, la

politique n’a plus d’idée. elle est en-

fermée dans l’idéologie étriquée du

Malthusianisme dont le slogan né-

gatif de son fondateur, l‘anglican

Malthus, est : «

Au banquet de l’ hu-

manité, il n’y a pas assez de place

pour tout le monde…

la cause majeure des souffrances de

la France, des paysans asphyxiés

aux jeunes sans l’horizon et aux

dernières années des personnes âgées

gâchées, est là. Dans cette perversion

malthusienne de l’intelligence

aujourd’hui :

Malthus pour

inspiration !

Pour réenchanter la france

la politique est un train.

Chaque candidat invite les électeurs à monter dans

le sien. Mais jamais les candidats ne disent où va leur

train. Parce qu’à la vérité ils ne vont nulle part. ils

tournent en rond. entre Bruxelles et Paris..

C’est toute la différence de la candidature portée ici.

elle dit la destination où elle conduit : à la vie.

et il ne peut en aller autrement pour trois raisons.

Sa fragilité, même dans les océans, sa modernité son

efficacité. On l’a vu fin 2016 avec la ratification de

l’accord climat de la COP 21. Quelle autre idée que

celle de sauver leur vie aurait elle pu accorder toutes

les nations de la terre ?

la V

Du premier battement au dernier mètre d’une

existence humaine, une vie ne dure que 700 000

heures. Comment alors, devant cette fragilité la

politique pourrait elle avoir d’autre finalité que

de créer les conditions économiques, sociales,

environnementales, permettant à chacunde

maintenir ce miracle qu’il porte en lui : être vi-

vant ?

Les dirigeants politique utilisent des ou-

tils. Pour faire fonctionner la société. Par

exemple l’impôt pour financer, la police,

les militaires.

Ce sont des outils techniques. Mais il y

a aussi des outils politiques : les grandes

idées qui nous font marcher. Au nom de

la loi, du peuple, de la République, de

l’égalité, des droits de l’homme..

Mais nombre de ces outils ne fonction-

nent plus. La laïcité s’arrête dans les cités

et même la souveraineté fiscale des Etats

bute sur Google, Amazon ou Apple.

Avec la mondialisation de l’économie,

des migrations ou de la grande crimina-

lité, les outils de pilotage des sociétés

fonctionnent de moins en moins. Ce n’est

pas le cas pour l’idée politique de la vie

.Imposée par le climat ou les attentats et

seule à avoir la même dimension plané-

taire que les défis qu’ils posent à la terre ,

la vie est un outil qui marche.

En son nom déjà, des Fidji à Pékin et

Washington, les Etats ont accepté de re-

noncer à leur droit de polluer.

Parce qu’on ne répond pas sérieusement aux chocs

de la planétisation par le repliement sur des agglos ,

des régions ou des métropoles, au nom de quoi les na-

tions de la terre peuvent elles alors traiter en commun

leurs problèmes géants des flux migratoires continen-

taux, des crises alimentaires, des évasions fiscales mas-

sives ou du terrorisme ?

Au nom de quelle légitimité? De la démocratie ?

Mais il n’y a pas de peuple planétaire pour fonder une

action planétisée. Les droits de l’ homme alors ? Mais

plus de la moitié des nations de la terre n’y sont pas sen-

sibles .

Force est bien de trouver une nouvelle légitimité d’ac-

tion pour qu’une communauté internationale accepte

de traiter en commun les problèmes des parties com-

munes de la copropriété planétaire . Par élimination, on

ne trouve que la vie à conserver qui puisse accorder

les nations et refonder une communauté internationale

Elle est la seule idée politique opérationnelle. Parce

qu’elle donne une destination à la politique .Sinon où

pourrait elle bien aller ? Au marché libre et non faussé?

A la solidarité …? A l’ Europe … ?

Chacun voit bien que tous ces objectifs , que les pro-

grammes politiques proposent, ne sont que des étapes

qui laissent entière la question de la finalité. Avec la vie

c’est réglé. On est arrivé à la destination. On le voit , on

le mesure , on l’enregistre. La terre, les océans, les fo-

rêts , les champs, les habitants sont vivants. Et toute

l’action politique du siècle qui a commencé va consister

à créer les conditions pour le rester….

la Vie :

l’idée politique nouvelle.

la Vie

Seule idée en commun sur la terre

la Vie :

700.000 heures

2017 :

la Vie pour

destination !

’est la différence avec le défi digital qui n’est pas

perçu. Avec 800 000 Alzheimer, qui augmentent

de 200 000 cas chaque année, il y a défi neuro-

nal perçu et vécu.

Il recouvre deux autres réalités :

Les 150 000 AVC par an, dont 15 000 jeunes, avec

une hémorragie ou une ischémie chaque 4 minutes, fai-

sant 500 000 handicapés.

C’est un chiffre honteux , parce qu’en amont l’ AVC

est précédé, pour les 7 millions de français en hyperten-

sion chronique, d’un bricolage thérapeutique à efficacité

limitée et surtout en aval, une fois l’accident arrivé, la

désertification médicale et le sous équipement hospita-

lier ne laissent à la majorité français que peu de chance

d’être soignés dans les 3 heures permettant d’éviter la

mort, le handicap ou la dépendance. Ce n’est donc pas l’

AVC maîtrisable qui tue, mais le choix budgétaire euro-

péen de ne pas faire les investissements pour le soigner.

Les démences vasculaires provoquées silencieuse-

ment par l’ Hypertension qui pourraient être maîtrisés

alzeimer et antibiotiques :

’anti-biorésistance des bactéries, notamment à l’ Aug-

mentin, molécule phare jusqu’ici, va nous ramener 70

ans en arrière. La tuberculose, la pneumonie, la gono-

rhée vont tuer à nouveau. Dix millions de personnes par an

dans le monde.

La préhistoire de la médecine revient.

En Grèce avec l’effondrement du système sanitaire et en

Afrique du nord où le désordre du printemps arabe a créé le

printemps des bactéries.

De là, elles débordent sur l’Europe.

Déjà, le Pacte européen d’austérité budgétaire a ramené en

Grande Bretagne les staphylocoques dorés en dix ans, venus

de l’Inde via les anglais partis là bas s’y faire soigner à bon

marché.

Si bien qu’une fois de plus la politique a une guerre de re-

tard. La question d’urgence en2014 était est moins en effet

le mariage pour tous, qu’un antibiotique efficace pour cha-

cun. Tout comme les manifs sur la loi El Khomri auraient

dû réclamer avant les PET SCAN et les mammographies nu-

mériques pour sauver des vies.

Bien sûr, lorsque le 21 février 2011, au

pays des pharaons et des frères musulmans,

une nouvelle petite égyptienne est prénom-

mée non plus Fatima, mais « Facebook »,

même l’islam conquérant se trouve mis au

défi. Par le tsunami numérique des 15 mil-

lions de SMS par minute et les 204 millions

de mails échangés. Sous le contrôle du Big

Data de l’l’hyper-oligarchie, Google, apple,

Facebook et Microsoft qui détiennent 80 %

des informations de l’ humanité.

Mais comme il n’est pas visible , ce défi

sur le cerveau des hommes, maintenant en-

glué dans une toilé d’araignée planétisée,

n’intéresse pas politiquement . tout comme

le défi de survie des océans , où pourtant le

phytoplancton y fournit 50 % de l’Oxygène

que l’on respire.

C’est ainsi. 2017 se joue sur ce qui est à

portée des yeux : les attentats, le chômage,

l’identité. toutefois, comme chacun a un

proche qui «perd les idées», l’alzheimer est

aussi un sujet pour la présidentielle.

De même, avec chaque jour 12 français

qui décèdent à l’hôpital d'une des 450 000

infections nosocomiales qui y sont contrac-

tées, la fin du miracle antibiotique devient

aussi un des grands défis visibles.

le tsunami neuronal

le tsunami Bactéries

Relever le défi du tsunami

médical et social des acci-

dents neurologiques et vas-

culaires cérébraux se fait en

un plan quinquennal de trois

actions logistiques et de re-

cherche scientifique

Action n° 1 : Pas de terri-

toires de France à plus de 90

minutes hélicoptères d’un

centre d’urgences AVC

Comme il y a des flottes

pré-positionnées de canadairs

, pour luttes incendies , il faut

dans chaque région un duo

d’hélicoptères pour lutte anti

hémorragie

Action 2 : sortir l’image-

rie médicale du Moyen âge

avec une double mesure :

-immédiatement ouverture des

investissements existant 24 h sur

24h , pour en finir avec la pratique

criminelle où un AVC manifeste ne

trouve même pas , en milieu hospi-

talier , un simple scanner en moins

de 6 heures

- en 5 ans rattrapage du retard

d’équipement de 600 appareils IRM

Action3 : Organiser une

«Mission

internationale

6ème continent» en charge de

la coordination des recherches

fondamentales sur la neurogé-

nèse, la régénération neuro-

nale et micro vasculaire.

les deux défis de la Vie

la V

révolution juridique et mission scientifique :

Deux réponses de la vie aux défis

D’ici la fin du nouveau quinquennat, 1.800.000 Français atteints d’une dégénérescence neuronale seront

invalides. Soit l’équivalent de toute la population de l’agglo de Marseille plongée dans la dépendance.

et d’ici 4 présidentielles, si rien n’est fait, c’est l’équivalent de 42% des électeurs 2012 de nicolas Sarkozy

ou de tout le corps électoral de J.l Mélenchon qui ne ne seront plus en état de voter. autant dire que la France

doit relever ce défi. D’autant qu’il est planétaire, avec 60 millions de cas dans le monde d’ici 10 années.

le Plan neuronal anti-aVC

l’antibiotique patrimoine humain

L’industrie pharmaceu-

tique s’est désengagée de

la recherche antibiotiques

pour 2 raisons :

Les antibiotiques

agissent rapidement. Les

profits ne suivent pas.

D’autant que les antibio-

tiques classiques sont

dans les génériques à fai-

ble prix.

Dès lors les investisse-

ments se sont orientés

vers les maladies chro-

niques ou des infections

comme le sida pour les-

quelles les patients sont

traités sur des années.

Plus un antibiotique

est innovant, moins il va

être prescrit pour retarder

l’évolution vers la résis-

tance... Même si le prix

est élevé, il ne compense

pas les faibles prescrip-

tions. Donc l’industrie

ne trouve pas d’intérêt.

Dès lors, il faut penser

la révolution juridique de

l’antibiotique,

patri-

moine commun de l‘hu-

manité. Avec un brevet

internationalisé et des

royalties incitant les la-

boratoires à mener les re-

cherches.

a phrase est du professeur B

Debré, le 2 oct 2010,

lorsqu’une pétition recueillait

un million de signatures pour

sauver l’ Hôpital. Six ans après, cha-

cun connaît les symptômes de cet ef-

fondrement que les dirigeants

irresponsables ont provoqué :

Les services fermés faute de

personnel, les listes d’attente, les

chimiothérapies reportées,les infec-

tions attrapées, parce qu’on fait des

économies même sur l’Hygiène et

pour couronner, à l’ Hôpital Pom-

pidou, 9 blocs opératoires fermés

e, en juillet 2016, à cause d’un

champignon, après qu’un patron

de cardiologie acculé se soit jeté

du 7ème...

Les cas que chacun a vécu,

le service de pointe des maladies

du cou et du cerveau à Montpel-

lier qui n’a pas d’ophtalmo, les

urgences gabonisées, avec des

malades parqués sur des cha-

riots, comme dans un dispen-

saire de brousse, les draps qu’il

faut amener soi même,les vols

de matériel, jusque dans les

blocs opératoires .

L’AP- HP de Paris dans la

tempête. Certes c’est 1 mil-

lion d’hospitalisations, 4 mil-

lions de consultations , 1

million de passages aux urgence, 20.

000 médecins, 90 000 personneel, 48

.000 soignants, 22 500 lits, un budget

de 6mds d’euros, mais c’est la so-

viétisation adminstrative, les medcins

sous tutelle du siège central, avec ses

2000 bureaucrates .

En 1983, l’ AP- HP ce n’était que 3

niveaux administratifs,maintenant

c’est 4 niveaux de plus avec les unités

fonctionnelles, les Pôles, les 12

Groupes hospitaliers pour regrouper

37 hopitaux, et depuis 2009, au som-

met, le soviet de l’ Agence régionale

de la sante de l’île de France.

Ces Agences régionales de santé

(ARS), sont la bureaucratie toute puis-

sante qui décide de la vie ou de la

mort de tel service, via la délivrance

ou non de l’accréditation, et de l’auto-

risation de traiter telle pathologie après

des enquête policières sur les pratiques

du patron et son degré d’ obéissance

aux recommandations venues du puis-

sant syndicat des managers public de

santé.

On a remplacé les mandarins

compétents par les soviets irrespon-

sables.

D’où, dans cette atmosphère, les

25 000 décès annuels par erreurs mé-

dicales.

effondrement sanitaire français

la France a eu le meilleur système sani-

taire du monde.

avec de grands hôpitaux, de grands pa-

trons, les Jean Bernard, Debray –ritzen,

Cabrol ou Debré, et l’armée des médecins

libéraux qui pouvaient être appelés, même

la nuit.

en 20 ans, ce trésor a été dilapidé.

l’ hôpital a été assassiné et les médecins

en train de manquer.

“l’Hôpital assassiné”

Chacun connaît la réalité.

Avec La désertification médicale, pas

seulement dans les campagnes, la dispa-

rition des spécialités. Les rendez vous à

6 mois chez un ophtalmo. Le manque

d’anesthésistes, de pneumologues, alors

que 3, 5 millions de français ont une

BPCO, Bronco-pneumopathie obstruc-

tive chronique.

Nous n’avons plus que 1325 néphro-

logues, soit 22 pour un million d’habi-

tants, alors qu’explosent les pathologies

rénales chez les 10 millions d’ hyper-

tendues.

Le sous équipement avec 646

IRM, 10 par million d’habitant, contre

30 en Allemagne et des attentes de 37

jours faisant perdre aux malades des

chances

Avec 1394 cancérologues, la

France a le niveau de l’ Albanie, pendant

que pour les IRM, on est avant dernier

de l’ OCDE juste devant la Turquie

L’effondrement de la formation

.Sur 6940 médecins qui s’installent

chaque année, 25 % sont diplômés à

l’étranger 13 % en Europe, notamment

en Roumanie voire Croatie, et 12 %

hors d’ Europe, comme l’ Algérie

4356 postes de médecins n’ont pas

de preneurs en France

la médecine libérale sinistrée

sortir l’hôpital des mains de la comptabilité

Dans l’immédiat, il faut, inspirées des services santé des ar-

mées et d’ expériences étrangères, dont le Maroc, des unités

médicales mobiles de proximité, sillonnant nos zones rurales

avec internes, infirmières, équipement ophtalmologique,

d’analyses et d’imagerie de base.

Des maisons de santé par communauté de communes, as-

sociant d’ailleurs des services publics, comme la poste, pour

un remaillage sanitaire du pays.

Il manque 600 appareils IRM, TEP Scan et mammogra-

phies numériques. C’est une urgence , car 150 000 AVC an-

nuels mal pris en charge, font les coûts des 500 000

handicapés . A 1 million d’euros l’appareil , c’est unique-

ment un investissement de 600 millions , dan un pays qui

chaque année produit 2000 milliards d’euros de richesses et

offre 744,5 millions de soins gratuits de l'AME aux clan-

destins.

Le financement est simple. Les partis , depuis 1989, s’oc-

troient 68, 5 millions d’euros annuels, plus de 40 à 54 mil-

lions pour les frais de propagande électorale de leurs

candidats. Soit 110 millions.

Un moratoire de 6 ans, de ce financement non prioritaire,

permettra de dégager le budget nécessaire aux matériels sa-

nitaires.

L’augmentation de l’espérance de vie

tient à 40 % aux dépenses de santé, mais à

60 % à l’hygiène, l’eau potable, l’enlève-

ment des ordures ménagères, la qualité ali-

mentaire. A 60 %, la solution au problème

sanitaire est donc dans la prévention :

De l’obésité pour faire reculer le diabète.

De la pauvreté, pour faire reculer les mala-

dies cardio vasculaires .

De la solitude pour faire reculer les affections

neurologiques, les suicides, l’hypertension et donc

les AVC, les pathologies néphrologiques.

Du chômage pour faire reculer les pathologies

cardiaques et cérébrales...

1 Fin des déserts médicaux

2 Des irM ou des partis ?

3 la prévention,

60% de la solution

la V

le Plan lazare

L’urgence est dans cet équipe-

ment, car 150 000 AVC annuels

mal pris en charge, font les coûts

des 500 000 handicapés à vie. Le

choix pour le financement est alors

simple. Les partis reçoivent chaque

année 68, 5 millions d’euros pour

payer les familiers et les affidés de

leurs présidents, plus de 40 à 54

millions pour les frais de propa-

gande électorale de leurs candi-

dats. Soit 110 millions environ

par année . Un moratoire de 6 ans

dans ce financement des partis et

de la débauche des campagnes

électorales, permettra alors de dé-

gager le budget nécessaire à l’équi-

pement du pays

la violence de l’etat

Violences sur les personnés âgées

La première des violences contre les vieux est

fiscale. Dès la retraite, l’ Etat prive d’un seul

coup le retraité du droit à la déduction fiscale

des frais professionnels, même la déduction for-

faitaire de 10 %. Faisant exploser leur impôt, en

une quadruple peine contre les vieux : la mala-

die, la solitude , la pauvreté et l’hyperfiscalité.

juste au moment où il décide de ne pas rembour-

ser à 100 % l’Hypertension sévère

S’ajoute depuis 2013 un impôt de 650 mil-

lions sur les retraites et pensions d’invalidité , ,

la CASA, contribution additionnelle de solidarité

pour l’autonomie. C’est l’impôt du condamné

chinois qui doit payer la balle qui le tue.

En plus, 4 millions de vieux sont acculés à

renoncer aux soins dentaires et aux lunettes faute

de complémentaire . Quand le clandestin depuis

2013 n’a même plus de franchise médicale de 30

euros . Avec L’ AME il est à 100 %. Dans la hié-

rarchie des castes de l’Inde sociale française, le

vieux est en dessous du clandestin.

Les hospitalisations de vieux sont à statut

médical inférieur en gériatrie en cas d’AVC, au

lieu de neurologie comme tous les français

C’est aussi l’ Etat qui a inventé non seule-

ment le modèle social d’enfermement des vieux

, en maison de retraite, mais qui a aggravé cet

apartheid en n’inventant pas l’urbanisme inter-

générationnel , empêchant de reléguer ces mai-

sons dans des zones ignobles qui font une des

causes majeures de suicide des vieux , s’effon-

drant neurologiquement dans les premiers jours

de leur incarcération sociale

13 millions de français sont des personnes

âgées. elles seront 24 millions dans 3 prési-

dentielles. un français sur 3, tous soumis à

la violence quotidienne de la société sous le

pharisianisme de l’intérêt électoral qui leur

est porté.. D’abord la violence du mensonge

qui parle de l’allongement de la vie , avec 3

mois qui seraient gagnés par an , alors que

l’espérance de vie en bonne santé sans inca-

pacité, se raccourcie avec la pauvreté, la sur-

fiscalité, la sous médicalisation , la solitude

et les privations qui leur sont imposées.

ensuite la violence de l’etat lui même,

avec la surfiscalité des retraités. la violence

larvée aussi du racisme anti vieux quoti-

dien. la violence bestiale des coups, des

fractures,des assassinats et le sommet d’août

2003, où 19 000 personnes agées sont mortes

de soif , en France, dans un rwanda géria-

trique

C’est la violence au quotidien du der-

nier racisme autorisé. Lorsqu’il n’y a

plus d’ Afrique noire, puisqu’elle est

subsaharienne, que les aveugles ont

disparu , remplacés par des malvoyants,

que le code pénal frappe l’homophobie

et l’islamophobie, un vieux est encore

traité de légume normalement . il ne

voit pas un médecin comme tout un

chacun mais un gériatre et il n’est pas

soigné mais « pris en charge »

Il y a aussi le racisme de supériorité.

Par le biais du maternage, de l’infanti-

lisation, des mots prononcés à haute

voix et le sommet du mépris avec du

il faut manger mamie

» et des plateaux

jetés à la va vite sur une table inacces-

sible, avec des barquettes brulantes

qu’aucun parkinsonien ne peut ouvrir.

S’ajoute la discrimination à l’em-

ploi où Virgin Mobile France (un opé-

rateur de téléphonie mobile virtuelle),

n’emploie aucun salarié de plus de

55ans

Les vieux ne rentrent même plus

en maison de retraites, mais en

EHPAD, Établissement d'hébergement

pour personnes âgées dépendantes,

dont l’horreur administrative dit bien la

perception sociale ignoble du vieux

Les vieux n’ont pas accès au cré-

dit, aux assurances , à la location ,

comme tous les français . Ils sont dis-

criminés

On le sait les femmes subis-

sent la violence. Mais unique-

ment de leurs conjoints. Parce

qu’il n’y a pas de femmes frap-

pées, attachées, enfermées, dro-

guées, fracturées, et même

massacrées, dans les maisons de

retraites, les centres de « soins »

pour vieux . Non . Il n’ y a que

de la maltraitance pour un mil-

lion de personnes agées dépen-

dantes !

Couches non changées, ,es-

carres non traitées, vieux entravé

au lit, comme les séquestrés en

otages , fenêtres ouvertes aux

courants d’air. Là ils sont pris en

otages par les financiers des mai-

sons de retraites qui doivent ren-

tabiliser l’élevage de leurs

contingents de vieux

Sous alimentation pour ren-

tabiliser l’or gris , avec scorbut ,

chute des dernières dents, fonte

musculaire, effondrement cogni-

tif

Et en final, après les week

ends, où »on tue les vieux »,

selon le titre du professeur Sou-

beyrand de Marseillais , pour li-

bérer les lits , ( Fayard 2006),

c’est la violence de la dépouille

des vieux abandonnés dans les

camions frigos

la violence mondaine

la violence bestiale

en août 2003 , dans l’incons-

cience du professeur de médecine

,ministre de la santé, 19 000 per-

sonnes âgées laissées sans boire

dans les hôpitaux et les maisons

de retraite meurent de soif.

les funérarium et les hôpitaux

ne peuvent plus « stocker » les

morts abandonnés par les fa-

milles . 4000 m2 de frigos sont ré-

quisitionnés au marché de

rungis.

a ivry sur seine, dans des ca-

mions frigo des vieux abandon-

nés sans sépulture sont stockés.

Elle aura pour objet de rappeler 2 vérités :

1. Vérité 1 : La société n’aide pas les vieux,

elle remplit son contrat juridique d’assurance .

Parce que pendant 40 années, les vieux, qui eux

ont travaillé 48 heures par semaines, fait la guerre

d’indo et celle d’ Algérie , cotisé, payé 900 mil-

liards d’impôts par année, pour nourrir les jeunes,

leurs propres aînés, fabriquer la sécurité sociale et

financer la société de loisirs des français, ont le

droit contractuel d’exiger de la société qu’elle

Fin de la discrimination fiscale : Rétablisse-

ment de la déduction forfaitaire de 10 % de frais

professionnels, de la base des revenus.

Fin des discriminations contractuelles dans

les contrats d’assurance, de protection sociale,

de mutuelles

Fin des discriminations dans le droit du tra-

vail : droit de travailler, institution d’une année

de transition entre activité et retraite.

Constitution, sur le modèle militaire,

d’une

Réserve opérationnelle,

judicaire, sco-

laire, universitaire et des professions de santé,

avec les retraités volontaires.

Création d’une Agence pour l’urbanisme

intergénérationnel

le plan Vermeil des personnées âgées

la V

les dirigeants savent. le pays aussi. Mais personne ne veut voir vraiment que des millions de vieux fran-

çais, entre solitude, pauvreté, maladie, mais aussi frappés, vivent le film d’horreur

Orange gériatrique

Certes, on a fait de l’administratif : en 2005 une Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie et en 2014

un haut conseil de l’âge. il y a aussi l’ aPa qui aide 1, 3 million de personnes. Mais il faut aller au concret

et éradiquer la violence à jamais, en 3 mesures :

C’est le Tribun des vieux. Plus qu’un simple défen-

seur de leurs droits. Il a pour mission d’éradiquer la vio-

lence anti-vieux de notre société.

Sa compétence : sur tous les lieux et d’enfermement

des vieux , maisons de retraite, établissements EHPAD,

hôpitaux et de présence de vieux. Il a compétence pour

la protection des personnes âgées et malades .

Statut constitutionnel : comme le défenseur actuel

des droits de l’article 71 – 1de la constitution. Celui ci

étant spécialement compétent pour l’enfant, le Haut

commisiare le sera pour les vieux.

Il sera élu au moment de la présidentielle pour lui

donner l’imperium du Tribun des vieux.

Pour bien marquer sa nature tribunicienne ,chargée

de protéger la partie âgée de la société, contre la vio-

lence de l’autre partie, le corps électoral sera limité aux

13 millions de plus de 65 ans .

Pour amorcer l’institution, son élection aura lieu

dès juin 2017, couplée avec les législatives

Pouvoirs : Chaque violence sur une personne âgée

ou un malade est un état d’urgence en soi. Le Haut

Commissaire a donc tous les pouvoirs de la Republique

pour faire cesser la violence. C’est l’article 16 de pro-

tection des vieux . Avec des pouvoirs renforcés d’en-

quête, d’ auto-saisine, d’intervention, de sanction de

suspension des fonctions de la personne violente, d’as-

treintes , de mise en examen

1 - le haut-commisaire à la Vie

2 - Campagne les points sur les “i”.

Sans parler du logement, 10 % des jeunes sont au chômage, pour 28

% qui exercent un emploi et 5 % qui ne sont ni à l’école ni dans la vie.

Il y a aussi la course au stage. Parce qu’en aval il n’y a pas d’emploi,

s’il n’y a pas d’expérience et donc de stages.

Et puis il y a le grand gâchis des investissements culturels, universi-

taires et scientifiques. Sans parler des 4000 lycées français et des 73 uni-

versités fermés durant les 2/3 de chaque année, nos 17 322 bibliothèques,

dont les 123 BU, ferment avant même que les poules aillent dormir.

Un chercheur, sur les 8760 heures d’une année, ne peut utiliser les

bibliothèques pendant 5700 heures. Soit l’équivalent de 8 mois jours

et nuit des investissements culturels et scientifiques fermés chaque

année. C’est dans ces conditions que nos jeunes doivent lutter à armes

inégales avec un chercheur de Namur ou Chicago.

Sous le fumigène des libertés, les chances amputées des jeunes Français

jeunes, université, recherche :

La France est l’un des pays où les 15-24 ans se suicident le plus :

600 décès par an et des milliers de tentatives. Sans parler de com-

portements qui disent la même chose . 20 % des garçons et 12 %

des filles de 15 ans ivres au cours des trente derniers jours. S’ajoute

évidemment les 22 % des 16 ans français premiers consommateurs

d’ Europe de Cannabis et déjà 25 000 expérimentateurs de cocaïne.

Avec aussi 40 000 jeunes anorexiques et plus de 700 jeunes tués

chaque année sur les routes , accompagnés des 1350 handicapés à

vie, on voit bien que le droit de vote à 18 ans et toutes les libertés

égrenées n’ont pas illuminé les vies. Au point que 1700 jeunes ont

préféré la Syrie au bonheur des droits formels que nos 4 derniers

Présidents leur ont accordés.

Si les « jeunes » recouvrent les 15 – 24

ans, on parle alors de 8 millions de fran-

çais. tous apparemment avec une vie

décontractée, des libertés et toutes les

chances amenées.

C’est l’image officielle, mais pas la

réalité. les jeunes des banlieues, ceux du

milieu et ceux des hauts lieux, n’ont pas

la même vie. ils peuvent avoir le même

iphone , mais ils ne côtoient pas les

mêmes personnes . ils ne se côtoient

d’ailleurs même pas entre eux. Ceux de

Chantilly ne voient pas ceux de Bobi-

gny.

tous les jeunes français ne vivent

donc pas sur une même planète . Par

exemple , avoir 20 ans à Séverac le Châ-

teau n’ouvre pas les mêmes portes que

fêter ses 20 ans à Sciences Po.

C’est l’hypocrisie du discours sur les

jeunes. tout ce qui est gratuit leur a été

offert, mais toutes les chances pour des

centaines de milliers d’entre eux ne leur

sont pas données. C’est ce gâchis de vie

qu’il faut changer.

le 5 juillet 1974, le président Giscard

d’estaing abaissait le droit de vote à

18ans. 2,5 millions de jeunes de plus vo-

taient.

le mardi 7 avril 2015 un projet de loi

de modernisation du système de santé

créait des salles de consommation des

drogues à moindre risque.

entre ces deux dates, sur 40 ans, les

jeunes semblent avoir obtenus toutes les

libertés. Même maintenant, avec Vin-

cent lambert, le droit d’être sédatisé.

tout ce qui est gratuit leur est accordé.

Mais pas ce qui est concret : le loge-

ment, l’emploi, la chance de pouvoir

voyager et même pas le droit de s’ins-

crire au master 2 de son choix, de pren-

dre un ter à minuit ou de pouvoir lire

la nuit, dans des bibliothèques qui ne

fermeraient pas.

Des chiffres du gâchis

la galère, ça n’existe pas ?

le plan minerve

20 ans , que l’on soit La Fayette, Rimbaud , Malraux ou plus mo-

destement un jeune de banlieue , on a du conquérant en soi. La

politique doit être alors aussi grande que les rêves que l’on porte

et donner les chances de prendre son envol.

En 8 mesures du

plan minerve

Mesure 1 : les 6 mois sabbatiques offerts en service national dans

l’empire maritime français.

Chacun des 750 000 jeunes, filles et garçons, de chaque génération,

va pouvoir enfin sortir de son enfermement, géographique, social, cultu-

rel.

De Nouméa à ST Pierre et Miquelon, de Saint Laurent du Maroni à

Port aux français, les jeunes vont découvrir l’immensité de la France,

bâtir des jetées, des pistes d’atterrissage, des éco-villes, et surtout vivre

ensemble. Celles qui portent un foulard et celles qui achètent un Hermès

Mesure 2 : Organiser un droit au stage effectif pour tous les étu-

diants :

Dans chaque région d’une Agence régionale des stages qui sera l’in-

terface entreprises - étudiants, pour mettre fin au « Pokemeon stage »

imposé à chaque jeune.

Obligations à tous les parlementaires, cabinets ministériels, Conseils

régionaux, départementaux, d’agglos, mairies des grandes villes , multi-

nationales sur le territoire, ambasssades, consulats, grandes mairies, Tri-

bunaux, Chambres professionnelles,d’accueillir des jeunes en stages :

Mesure 3 :un compte solidarité pour tous les jeunes,

à partir du lycée,

sous forme d’une Carte S’Miles Solidaires (avec points voyages, sur tous

les trains, et vols), chargée de points acquis par des actions de solidarité

intergénérationnelle.

Mesure 4 : l’expérimentation des scolarités croisées dans le cadre

de la francophonie.

Des collégiens et lycéens vont expérimenter, en échanges semestriels croisés,

une double scolarité sur 2 pays de la Communauté francophone de destin.

Mesure 5 : Fin du gaspillage des grands investissements culturels

ouvrant, comme à Namur, les 123 Bibliothèques universitaires, sur les17 322

bibliothèques francaises, une partie de la nuit.

Mesure 6 : entamer la mutation urbanistique

, en collaboration avec les

mairies des villes universitaires, des immeubles intergénérationnels, orga-

nisant la mixité jeunes et personnes âgées

Mesure 7 : intensifier la prévention de la disparition violente des

jeunes

( Suicides, accidents) , jusqu’à des trains régionaux de nuits ré-

guliers et gratuits pour diminuer la population de jeunes sur les routes

Mesure 8 : négocier à Bruxelles un « erasmus jeunes agriculteurs »

permettant à chaque diplômé des lycées agricoles de réaliser durant un

an un parcours international de découverte agricole.

toutes les chances pour les “20 ans”/ huit mesures pour changer leur vie

la V

pontanément, on pense que les réformes

ont un coût. Ainsi, une réforme qui baisse

les impôts, semble avoir un coût égal à la

baisse . Apparemment de bon sens, cette vision

comptable est fausse pour 3 raisons :

D’abord elle repose sur le présupposé qu’en

dépit de la réforme, toutes les autres données ,

économiques et sociales , restent inchangées. Or

c’est faux. La suppression d’un impôt a un

effet libérateur pour le payeur qui déclenche

un effet consommateur enclenchant une spirale

économique

L’effet de réforme n’est pas alors unique-

ment arithmétique avec un moins, mais algé-

brique avec des “plus”.

On confond alors le coût brut

analytique qui est une vison photographique ar-

rêtée à T + 1 dans une économie figée et le coût

net consolidé synthétique fixé avec la vision

dynamique de l’économie en marche.

5 ans, 13 plans, comment finance-t-on ?

réforme fiscale et Outre-mer Deux chantiers auto-financés.

4 Plans financés
en coopération
inter-étatique

5 Plans financés selon la méthode
des vases communicants avec des
budgets déjà existants

8 Plans
autofinancés

(Plans Turgot et la Pérouse)

Plans césaire, mermoz

ramses, in khaldoum)

(Plans minerve, Vermeil,

Vergennes, lazarre, etc..)

evidemment, quand le déficit du budget de l’ etat est en 2016 à 72 milliards d’euros,

que la dette dépasse 2148 milliards , chacun raisonne en bon chef d’entreprise. les

projets doivent être chiffrés. tous les candidats chiffrent donc leur programme.

Or il se trouve que depuis 40 ans la plupart des évaluations officielles, des dépenses pu-

bliques, des recettes fiscales et des soldes budgétaires , ont été fausses. Parfois avec

des erreurs de 100 % comme en 1993. Pour le budget de 2009 par exemple, l’évaluation

des recettes donnée à 259, 4 milliards d’euros finira à 214, 3 milliards. Soit une erreur

de 45, 1 milliards. Pour le chiffre de l’impôt sur les sociétés, l’erreur avait été de 57 %,

avec 20, 9 milliards, au lieu des 42, 3 milliards chiffrés.

Pas une seule prévision de croissance ou de déficit , n’ a été exacte sur des décennies,

en France comme en tous pays .Pourquoi ? Parce que les chiffrages ne se réduisent

pas à des additions. la variation de la valeur de l’euro, les changements des prix du

pétrole, les aléas climatiques sur l’agriculture, la tenue de l’économie chinoise ou les

taux d’intérêts , bouleversent la croissance , le chiffre d’affaires des entreprises, les as-

siettes des impôts et donc les ressources pour financer les mesures décidées.

Scientifiquement donc, les chiffrages présentés par les candidats ne sont que des or-

dres d’idées pour rassurer et communiquer

72 propositions présidentielles de jean-claude martinez

inancement de quoi

1- Outre Océan : Plan La Pérouse

12 mesures

2- Défense : Plan Carnot

4 mesures dont Service na-

tional Outre Océan

3- DIPLOMATIE : Plan Ver-

gennes

4- JUSTICE : le Plan Maupéou

5 mesures

5- MEDIAS : Plan janus

3 mesures dont constitutionnalisa-

tion du pouvoir

médiatique

6- Emploi : Le Plan D3

7- Fiscalité : Le plan Turgot

5 mesures dont

· Refonte du CGI

· Sortie de l’ IR

8-AGRICULTURE : plan Sully

9 mesures dont :

· Exonération fiscale sur 10 ans

· Moratoire des dettes agicoles

· Rénégociation du cadre budgé-

taire européen

9- ISLAM : Plan Gallican

3 mesures

8- PRISONS : Plan Rimbaud

3 mesures dont fermeture

de 87 prisons,

et traitement outre océan

11- EUROPE : Le Plan Bodin

3 mesures dont Unification de

l’impôt sur les sociétés

12 MEDITERRANEE : plan Ram-

sès

· Une Haute autorité de la Médi-

terranée

13 MAGHREB : Plan Ibn Khaldoun

14 – FRANCOPHONIE : Plan Cé-

saire

· Intégration politique et écono-

mique

en une Communauté francophone

de destin

15- EUROPE_ AMERIQUE LA-

TINE : Plan Mermoz

· Une Alliance transatlantique de

civilisation

16-EVASION FISCALE : Plan

Icare

· Adoption d’une assiette com-

mune consolidée

De l’impôt sur les sociétés

17- DETTE PUBLIQUE : Plan Por-

ter

· Conférence des désendettements

publics

7 plans à coût constant ou auto-financés

Certes aujourd’hui, on n’imagine pas une réforme sans un supplément

de personnels et donc sans des dépenses en plus. Mais il est des réformes

gratuites . Appliquer par exemple dans les accords commerciaux la nou-

velle technologie des droits de douane déductibles , qui évite la destruc-

tion des emplois , n’entraîne pas de dépenses et économise au contraire

les milliards des dépenses d’indemnisation du chômage .

1°) la réforme fiscale gratuite.

Suprression de k’impôt sur le revenu à côut zéro

Ramener le Code général de impôts de plus de 46O0 articles aux 500

articles des codes modernes est une réforme à coût zéro Pour l’impôt sur

le revenu , comme il rapporte 72 milliards, si on le supprime, même un

enfant comprend que l’Etat perd 72 milliards . C’est une évidence. Pour-

tant elle est fausse. En raison de trois effets :

a) l’effet de vases communicants

Les 17 millions de français qui gardent pour eux le montant de l’ impôt

supprimé, font de l’épargne, de la consommation et des investissements.

S’ils consomment, ils fabriquent de la TVA , de l’impôt sur les bénéfices

des sociétés aux quelles ils achètent, de la taxe sur les produites énergé-

tiques . S’ils investissent, ils fabriquent de la Taxe foncière , de la TVA

sur leur construction , des droits d’enregistrement sur les achats de ter-

rains et en final de la taxe d’habitation et d’audio visuel .

Donc la suppression de cet impôt n’entraine pas comptablement la perte

sèche que l’on croit, mais une cascade d’effets économiques . Les 72 mil-

liards laissés aux travailleurs s’écoulent sur les bases économiques im-

posables aux autres impôts et non seulement l’ Etat récupère dans les

vases de la TVA ou de l’IS, mais .les maires récupèrent aussi un supplé-

ment de Taxe foncière et de Taxe d’habitation, comme les conseils géné-

raux récupèrent un supplément de taxe de publicité foncière

b) l’effet d’attractivité sur les gros contribuables des 28 pays de

l’europe sans frontières :

Tout comme les sociétés de l’industrie pharmaceutique et du nu-

mérique sont en Irlande pour bénéficier de son faible taux d’ IS, pendant

que les grands noms de la distribution, comme Mulliez, sont en Wallonie,

la France sans ISF va être un aimant à contribuables géants.

La preuve est amenée par l’ Espagne. Le décret royal n° 687 de 2005

a abaissé le taux d’imposition de 43 % à 24 % pour les étrangers gagnant

plus de 600 000 euros. David Beckham est venu jouer à Madrid pour en

bénéficier et les 5% des footballeurs du championnat qui sont étrangers

sont venus pour ce même attrait.

Le Danemark confirme. En 1992, le taux d’imposition a été abaissé

de 55 % à 30 % , pendant 3 ans , pour les étrangers aux revenus élevés.

Le nombre de ces gros contribuables a été multiplié par 7, 5 .

c) l’effet d’incitation au travail

Les 17 millions de contribuables qui ne paient plus, vont travailler

plus puisqu’on leur laisse tout.

La preuve a été amenée par l’Islande en 1987. Le passage à l’impôt

sur le revenu retenu à la source en 1988, a conduit à la disparition de cet

impôt pendant un an sur les revenus 1987. Le nombre de semaines tra-

vaillées en 1987 a augmenté de 6, 7 %. Pour 2% de salaire net en plus,

la quantité de travail a augmenté de 3 jours.

Rapporté à la France, 17millions de contribuables exonérés rajou-

teraient 51 millions de jours de travail aux 7 milliards de jours de tra-

vail accomplis actuellement.

On a montré que de1945 à 2007, une augmentation de la fiscalité de

1% fait chuter le PIB de 3 % pendant 3 ans. Rapporté à la France, ce chif-

fre montre que de 2010 à 2014, l’accroissement des impôts de 0, 75 %

du PIB a fait perdre 2,25 % de taux de croissance.

A contrario on imagine l’effet de souffle provoqué par la suppression

de l’impôt sur le revenu, c’est à dire un allègement de la chape de plomb

de 3,4% duPIB.

2°) l’exemple de d’équipements à Clipperton et aux Kerguelen

auto- financés par taxation des pêches étrangères

Uniquement pour Clipperton, c’est entre 50 000 et 114 000 tonnes

de poissons, dont les thons, qui sont clandestinement péchés par 38 sen-

neurs mexicains notamment en 3 campagnes annuelles.

Ces prises une fois contrôlées et facturées à 0,50 euro le kilo, en ayant

un aviso avec des gendarmes embarqués, on récupère 57 millions d’euros

annuels pour financer la remise en état du port et de la piste d’atterris-

sage.

Pareil aux kerguelen et îles Eparses , plus les recettes de l’écotou-

risme de luxe.

Défense, Paysans, Hôpitaux , Jeunes, Personnes âgées

Cinq plans financés par redéploiement des crédits

Il s’agit des plan Carnot pour la défense, Sully pour la reconquête agri-

cole, Lazare pour les hôpitaux, Minerve pour les jeunes, Vermeil pour

les personnes âgées. Ils sont financés par redéploiements des crédits fi-

nançant des politiques déjà existantes.

Depuis des décennies en effet des politiques pour l’emploi, la formation

professionnelle, le logement, la ville ou l‘insertion sont menées.

Par exemple, depuis 40 ans 12 plans ont mené une politique de la ville

finançant, avec la loi du 21 février 2014, les habitants de 1436 quartiers.

Le Sénat a évalué le coût à 4, 4 milliards d’euros annuels ( Rapport 7 nov

2007, N° 71). Sans tenir compte de la rénovation urbaine dont le seul

plan Borloo a déversé 40 milliards aux banlieues.

Le total de ces politiques, c’est plus de 84 milliards par an, plus 44, 6

milliards de cadeaux d’impôts et de cotisations sociales.

Le tout sans grand résultat sur la pauvreté, le logement, l’emploi, l’in-

sertion. Evidemment, parce que ce sont des politiques Doliprane qui

achètent la paix sociale et la domination de la bourgeoisie mondialisée

des oligarques de la France d’en haut.

Ces 128 milliards constituent le gisement de financement des chantiers

pour les jeunes, les vieux, ou la défense, par transferts de crédits.

un financement particulier : le plan rimbaud des prisons

Sur les187 prisons, le Plan Rimbaud n’en garde qu’une par départe-

ment pour les 17.166 prévenus en attente. Soit 100 prisons environ.

une fois vidées de leurs 51 653 condamnés délocalisés dans une ac-

tivité de génie civil Outre océan ou reconstitués en séjours de travaux

d’intérêt à Langlade, à St Pierre et Miquelon, et aux Kerguelen, les 87

autres prisons sont vendues pour des théâtres, des musées, des universi-

tés, des programmes immobiliers. Des 25.000m2 de la Santé aux 30 370

m2 des Baumettes, les finances de l’ Etat vont récupérer de 20 milliards.

16 000 agents libérés, sur les 33 651, vont permettre par concours

interne des effectifs supplémentaires de douaniers, de pompiers, de po-

liciers, de personnels d’encadrement de lycées, de magistrats, de fonc-

tionnaires européens FRONTEX de surveillance des frontières.

le f

ina

nce

Politiques d’insertions

Politiques du Travail et emploi

Politique de la Ville

et du logement

assurance chomage

formation professionnelle

Programme de lutte contre la pau-

vreté

3 Programmes :

accès emploi

développement de l’emploi

evaluation des politiques

4 Programmes :

insertion

accès au logement

offre de logement

Politique de la Ville

Unedic

etat, régions

Unédic

1,6 md

5,8 mds

4,6 mds

0,8 mds

1 milliard

4,9 milliards

0,8 milliard

0,6 milliard
38,1 milliards

14,5 milliards

1,6 milliard

.8,5 m de pauvres

.4 m de personnes en

aide alimentaire

6.100.000 français

inscrits au Pôle emploi

3,8 millions de mal-logés

150.000 sdf

900.000 sans logement

personnel

Politiques

Programmes budgétaires montants

résultats

Gisements de recettes pour financer par redéploiement de crédits les 5 plans “non autofinancés”

Maires des campagnes,
de la montagne, maires ruraux,

Vous êtes majoritaires, car vous représentez 87 % des communes et

60 % de la France périphérique. Les élus naturels de la France populaire

c’est vous.

Or à coup de Métropoles de la loi NOTRe du 7 août 2015, de confis-

cation de vos compétences, de privation de vos ressources, d’amputa-

tions de la DGF et de schémas départementaux de coopération

intercommunale, on veut vous faire disparaître.

Comme on a déjà fait disparaître les ouvriers et les employés de l’As-

semblée nationale où ils ne représentent plus que 1, 9 % du total des dé-

putés. Tout comme à la télévision aussi , dans les programmes, ils ne

représentent que 2% des personnes qui prennent la parole et les retraités

seulement 3% de ceux que l’on voit sur le petit écran, alors qu’ils sont

pourtant 20 % du pays.

Les princes et les oligarques de la France d’en haut, vous ont trans-

formé la décentralisation en une nouvelle féodalisation, où 45 ans après

la loi Defferre, qui devait vous amener « des droits et des libertés », on

vous remis sous la tutelle, mais cette fois des seigneurs des agglos !

Alors 2017 c’est le moment de dire ces vérités et c’est le moment de

mettre sur la table la grande idée, celle qui rendra à toutes vos communes

rurales leur liberté :

Le transfert de l’impôt sur le revenu à vos communes, avec liberté

pour vous, les maires, d’en fixer librement, conformément à la loi Voisin

du 10 janvier 1980, le barème, les taux et les tranches

Vous comprenez les effets magiques qui vont en résulter. Vos com-

munes rurales vont être fiscalement plus compétitives que les grands

villes qui vont surfiscaliser. Les gros contribuables des villes vont se dé-

localiser vers vos communes «

paradis fiscaux intérieurs

». Vos écoles

vont se repeupler, les médecins vont arriver et la France périphérique de

vos communes na gagner la guerre fiscale contre les Métropoles.

Il faut amener cette idée dans la campagne présidentielle. Et comme

ma candidature la porte, il faut, mesdames et messieurs les maires ruraux

la porter.

C’est tout l’objet des 500 parrainages que je viens vous demander.

Jean-Claude Martinez

Ma république des Maires

de Jean-Cyril Godefroy éditeur - Paris.

-Mohammed Vi, le roi stabilisateur

, JC Godefroy éditeur, Paris 2015

l'euthanasie, stade suprême du capitalisme

, Via Romana, Paris 2014

les 7 sujets dont les candidats à la présidentielle ne vous parlent pas

, Paris, France Em-

pire, 2012

l'autonomie financière des collectivités locales

, l' Harmattan, 2011

la faucille ou le Mc Do, le nouvel ordre alimentaire planétaire

, Lettres du monde , 1999

lettre ouverte au contribuable

, Albin Michel, 1985

Que sais je, traduit en espagnol, en perse, 1984

-la Fraude fiscale

, Que sais je ? , 1985

- 1789-1989 la révolution fiscale à refaire

, Litec , 1989

une constitution fiscale pour l' europe

, Lettres du Monde, 1995

europe- etats unis, la guerre agricole de 40 ans,

L' Harmattan, 1994

autant en emporte l' europe

, JC Godefroy éditeur, 1989

traité de droit budgétaire

, Litec 1999

l'impôt sur le revenu en question

, Litec , 1988

la guerre et le droit

, Pedone 1983

la nouvelle Calédonie, le droit et la république

, Litec 1985

Demain 2021

, Godefroy de Bouillon, 1994

Vache folle, la piste américaine

, Lettre du monde, 2001

Droit fiscal contemporain

, Litec 1985

le statut de contribuable

, LGDJ, 1980

les droits de douane déductibles, contre le retour du protection-

nisme

, L' Harmattan, 2008

JCM : l’universitaire

Professeur agrégé de droit ublic et de de sciuiences politiques.

Université de Droit Paris Panthéon-Assas

Professeur invité d’universités d’Asie, d’Afrique et d’Amé-

riques. Jean-Claude Maryinez anime le sémnaires de doctorat de

l’Université de Rosario (Bogota), Monetrey au Mexique ; Kinshsa

(RDC) Oujda (Maroc), Babylone (Irak

)

JCM : le scientifique

Rapporteur de l’International Fiscal Association (Congrès de

Stdney, Jérusalem,Montréal, Copenhague, Rio, New york...

Diplomé du Centre de recherches internationales de l’Académie

de droit international de La Haye et auteur de 25 ouvrages dont :

JCM : une expérience internationale

Jean-Claude Martinez a été Député français et Député européen pendant vingt ans.

Conseiller Régional Languedoc-Roussillon pendant trois mandats jusqu’en 2010, et Vice-

Président de région sous la présidence Jacques Blanc.

Ancien Conseiller Municipal de Montpellier, il a été député de l'Hérault, député euro-

péen de 1989 à 2009 et membre de l’assemblée parlementaire EuroMed de la Méditerra-

née.

Jean-Claude Martinez a été Directeur - ENA Maroc, chargé de mission

à la politique fiscale sous le règne dde s amajesté le Roi Hassan II à la

Politique Fiscale et rédacteur du premier code marocain des impôts.

Ancien conseiller à la stratégie fiscale de son Altesse Karim Aga Khan

JCM : l’élu du Grand Sud

JCM : un sètois enraciné dans les terres d’Oc

Une longue

expérience du monde

Avec Michèle

Bachelet,

présidente

du Chili

Avec Yasser

Arafat

Député européen de 1989 à 2009 et membre de l’as-

semblée parlementaire EuroMed de la Méditerranée.

Expert à la politique agricoole des délégations eu-

ropéennes aux Conférences de l’OMC à Seatle (1999),

Cancun (2003), Hong Kong (2005) Genève (2008).

JCM : le consultant international

Sètois né à Sète, J.C. Martinez a l’occitan et le catalan pour langues maternelles

Le père de Jean-Claude Martinez était militant communiste.