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Révélez-vous à vous-même et aux autres, grâce à la méthode Olicard !
Nous n'utilisons pas bien notre temps : tel est le constat implacable de Fabien Olicard au début de cet ouvrage. Trop de sollicitations nous détournent de nos objectifs quotidiens : mails, téléphone, réseaux sociaux, mais également les pièges de notre propre cerveau ! La société actuelle nous condamne à nous laisser happer par des stimuli qui nous égarent. Or, en clarifiant nos objectifs réels et en nous organisant mieux, nous pouvons véritablement décupler notre vie : nos réussites tant personnelles que professionnelles, mais aussi notre capacité à profiter au jour le jour.

L'objectif de cet ouvrage est simple : vous rendre les clefs de votre temps !
Pour ce faire, Fabien Olicard vous ouvre les portes de son expérience personnelle et de ses souvenirs : grand procrastinateur devant l'éternel (qui l'eût cru ?!) , il a dû lui-même pratiquer une détox féroce de ses mauvaises habitudes et apprendre à s'organiser afin de se révéler à lui-même et aux autres.
Dans la lignée de Tim Ferriss et de sa fameuse Semaine de 4 heures, Fabien Olicard vous propose ici sa méthode pour retrouver du temps pour soi et vous accomplir véritablement : conseils, astuces, mises en garde, découvrez la panoplie de trucs que le célèbre mentaliste met à votre disposition pour devenir vous-même et reprendre le contrôle de votre vie.

La vie est courte, oui, mais nous avons le temps de devenir nous-mêmes, alors profitons-en !

La série Les Frères Gallagher par Carrie Ann Ryan, auteure de best-sellers au classement du New York Times, continue avec l’histoire du frère qui pense pouvoir tout gérer et la seule femme capable de tout changer.

Owen Gallagher aime que tout chez lui soit organisé à l’extrême. Si tous ses frères ont leurs propres tragédies et tensions personnelles à affronter, Owen reconnaît qu’il a plutôt la belle vie. Ou du moins, jusqu’à ce que son monde parfaitement agencé soit ébranlé sur ses fondations, le forçant à s’appuyer sur les autres. À présent, il doit guérir son corps et son âme tout en essayant d’ignorer sa voisine, aussi exquise qu’inatteignable.

Liz McKinley est angoissée, épuisée, certainement pas d’humeur à voir débarquer cet homme barbu et grincheux dans son service d’urgences. Après l’avoir remis sur pied, elle est déterminée à l’écarter résolument de ses pensées. Bien sûr, ce serait plus facile si sa meilleure amie et elle n’avaient pas acheté la maison voisine de la sienne. Maintenant, leurs chemins se croisent au quotidien et elle a de plus en plus de mal à dire non à l’homme maussade et blessé qui habite à côté. Mais elle a trop souffert dans sa vie, et même si ce Gallagher est trop beau pour être vrai, elle sait que parfois, satisfaire une envie de cette nature n’est pas la meilleure des idées.



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Une histoire de violence, de vengeance. Une histoire corse.
Dans cette famille, un soir de novembre 2011, sur le parking d'une résidence cossue, assise à l'arrière d'une voiture, une fillette de 11 ans, Carla-Serena est blessée par plusieurs balles de kalachnikov lors d'une tentative d'assassinat qui vise son père, Yves Manunta, un ancien nationaliste reconverti dans les affaires. À l'avant sur le siège passager, touchée à la hanche et à la cuisse, sa mère va perdre l'usage d'un pied.
Mère et fille portent en elles les stigmates de cette violence, des fragments de balles de kalachnikov que les médecins n'ont pu extraire de leurs corps.

Après cette tentative ratée, la menace continue de planer. L'appartement familial, avec vue imprenable sur le golfe d'Ajaccio, se transforme en bunker. Comme dans le petit village d'Amérique du Sud de "Chronique d'une mort annoncée' de Gabriel Garcia Marquez, où tout le monde sait que Santiago Nasar va être tué, à Ajaccio une macabre rumeur bruisse : Manunta est un homme à abattre. Il sera finalement assassiné le 9 juillet 2012. Déjà en 1996, en pleine guerre entre nationalistes, alors militant nationaliste actif, il avait échappé à 98 tirs de pistolets mitrailleur, et avait gagné un surnom : " Robocop "... Aujourd'hui c'est sur le fils , qui vit désormais loin de la Corse, que pèsent les menaces.

C'est l'étoffe d'une tragédie. La famille Manunta ne semble pouvoir échapper à un destin dramatique.

Des années romantiques du nationalisme aux guerres fratricides, du temps des affaires jusqu'aux dérives mafieuses et affrontements sanglants entre groupes armés, cette affaire de famille illustre la difficulté de l'Etat à esquisser une vérité judiciaire sur une île en proie à la violence, qui n'épargne même plus les femmes et les enfants.
Un job d'été peut-il changer votre vie ?

C'est ce que va découvrir la belle Hillary. La jeune fille fraîchement diplômée en secrétariat ne trouve pas de boulot, et elle décide avec sa meilleure amie Camille, de passer son été comme serveuse à Ibiza.

Mais Hillary est loin de se douter de la surprise que son amie lui a concoctée...

Cette nouvelle opportunité l'emmènera dans un monde de luxe, loin de sa zone de confort, et sur le chemin de Gabriel Barthelemy, bachelor milliardaire aussi exigeant qu'irrésistible.

Entre dilemmes amoureux et jalousies, réussira t-elle à garder les pieds sur terre - et le cœur bien accroché ?

***

– Ma copine a tapé dans l’œil d’un milliardaire !!

Camille, qui s’est maintenant levée de sa chaise, se dirige vers la cuisine en sautillant et en poussant des petits cris. Elle chante « Hillary et Gabrieeeel » en se resservant un verre de vodka. Je crois que l’alcool lui est déjà monté au cerveau. Pour essayer de comprendre un peu son excitation – si c’est possible – je commence à lire la page web ouverte sur le téléphone qu’elle a laissé entre mes mains. A ma grande surprise, j’apprends que Gabriel est non seulement le dirigeant du club, mais aussi d’un tas d’autres établissements : des restos, des hôtels, des bars... Un véritable empire familial que lui a légué son père il y a deux ans. L’article du magazine raconte aussi qu’il n’aurait pas encore trouvé chaussure à son pied dans la vie amoureuse, ce qui en fait l’un des célibataires les plus convoités du bassin méditerranéen. Rien que ça ! Je continue à lire, avec je dois bien l’avouer une once d’excitation mais aussi un brin de stress quand je revis la scène de ce matin. La première chose à laquelle je pense c’est qu’il a vraiment dû me prendre pour une moins que rien quand il a vu le désordre de l’appart’, mon mal-être, mon peignoir à moitié ouvert... C’est vraiment pas glorieux.

"Sans Adil, on ne gagne pas la Coupe du monde". Paul Pogba
Qui suis-je ?
Quand je lis les journaux, je n'ai pas envie de me connaître. Je
suis devenu un fait divers dans les tabloïds. Un people
immonde, un délit de plutôt belle gueule, un " ça ne m'étonne
pas de lui ". Je n'ai plus de palmarès, plus de statistiques
élogieuses, aucune offre juteuse pendant un mercato d'été, je
n'ai plus que des conquêtes qui exposent avec obscénité notre
vie intime sur Instagram.
Qui suis-je ?
Aujourd'hui, les compliments ont disparu : " monstre, menteur,
violent, pervers narcissique, sociopathe, harceleur... "
Mon sourire en bandoulière ne me suffit plus. Je suis montré du
doigt, insulté, stigmatisé, effacé des personnes fréquentables,
menacé de mort sur les réseaux sociaux, coupable et
condamné.
Qui suis-je ?
Je suis fils, je suis frère, je suis non pratiquant, je suis sportif,
je suis défenseur, j'étais international, je suis papa, je suis
amoureux, je suis infidèle, je suis ambitieux, je suis drôle, je suis
festif, je suis en colère, je suis une saloperie, je suis un sourire,
je suis riche, je suis dépensier, je ne suis pas assez riche, je suis
seul, je suis extra sportif, je suis excessif, je suis clean, je suis
frimeur, je suis célibataire, je grossis, je picole, je sèche, je suis
bipolaire, je suis numéro 34, je suis sur le banc, je ne suis plus
sur aucune feuille de match, je suis Sans Club Fixe...
Je répertorie dans mes souvenirs ce que j'ai mal fait. Je cherche.
Il y a des trucs, forcément. Je suis en train de tout perdre.
Jusqu'à présent, je n'avais jamais échoué. Peut-être parfois,
mais c'était en loucedé. Là, c'est ma première sortie de route
aux yeux de tous.
Qui suis-je ?
Et comment en suis-je arrivé là ?
Pour la première fois, Adil Rami se raconte, se livre totalement
dans son autobiographie écrite avec Géraldine Maillet.
Autopsie est un livre de résilience, dans lequel le champion du
monde se dévoile de façon touchante, poignante et sans
concession.
Elle est la seule qui puisse le percer à jour... sauf s’il la détruit avant

Au lycée, Vaughn fascine autant qu’il intimide. Beau comme un dieu, prodige de la sculpture, il a le cœur aussi froid que le marbre qu’il cisèle. Surtout, il est prêt à écraser tout obstacle dressé entre lui et la bourse qui lui permettra de partir en Angleterre pour se former auprès de son mentor. Quand cet obstacle prend les traits d’une concurrente au charme magnétique, fraîchement débarquée dans son lycée, Vaughn comprend qu’il va pouvoir joindre l’utile à l’agréable. Évincer la propre fille de son mentor promet d’être très satisfaisant...

Lenora déteste la jeunesse dorée futile qu’elle découvre à All Saints High. Le seul élève qui se distingue est le protégé de son père : Vaughn, un artiste sexy à s’en damner, dont l’ambition et le talent sont sans limites. La noirceur aussi. Mais Lenora connaît le secret qui a fait de lui ce prince sans cœur. Alors, même s’il se comporte en salaud quand il la croise au lycée ou dans l’atelier de son père, elle n’a pas peur de lui. D’un mot, elle peut briser sa fierté éclatante...

À propos de l’autrice
L.J. Shen s’est imposée dès son tout premier roman comme une voix incontournable de la romance New Adult – un succès confirmé dès la parution de Vicious qui s’est immédiatement hissé en tête de tous les palmarès de vente. Elle vit en Californie du Nord avec son mari et leur petit garçon.
Il ne s’incline devant personne. Elle est différente.


Faye s’installe en Irlande, déterminée à reprendre sa vie en main. Plus jamais elle ne se laissera marcher sur les pieds, c’est terminé !

Les hommes ? Tous des enfoirés sans cœur, moins elle les approche, mieux elle se porte.

Et c’est encore plus vrai pour Caleb ! Ce patron de bar a beau être sexy, il est aussi arrogant qu’insupportable. Hors de question de lui céder.

Sauf qu’il suffit d’un quiproquo, d’un léger mensonge, et les voilà forcés de jouer les amoureux.

Et si à force de faire semblant… tout devenait réel ?


***


Ma maladresse légendaire a une nouvelle fois frappé et j’aurais préféré qu’elle intervienne à un autre moment, pas en plein pub. Je viens de faire tomber toute une commande sur moi, tout ça parce que je ne suis pas capable de marcher correctement.

Bravo, Faye, tu te surpasses de jour en jour !

– Putain, grogne une voix grave.

Je n’ose même pas lever les yeux. Je ne vois qu’un tee-shirt noir qui cache un torse musclé. Le visage est-il aussi appétissant que le corps ? Parce que bon sang, je peux apercevoir le dessin de ses abdominaux à travers.

– Tu ne peux pas regarder où tu mets les pieds ?!

Le ton qu’il emploie ne me plaît pas du tout. J’ai l’impression d’être une gamine de 10 ans qui se fait réprimander par ses parents.

– Hé ! Je n’ai pas fait exprès, m’énervé-je en relevant la tête.

Merde !

L’affronter du regard n’est pas ma meilleure idée. Je suis face à un homme immense et déroutant, à la beauté sauvage. Cheveux châtains, épais et ébouriffés. Sa barbe épaisse lui mange la moitié du visage et lui donne un côté ours des cavernes qui ne prend pas soin de lui. Malgré tout, je parviens à voir ses lèvres charnues attirantes. Je ne distingue pas la couleur de ses yeux. Marron, vert foncé ? Je ne saurais trancher.

Je soutiens le regard, décidée à ne pas me laisser intimider par cet homme aussi sexy qu’effrayant.


***


Under the Rain, de Emma S. James, histoire intégrale.

Il est tout ce qu’elle déteste. Et pourtant elle va l’adorer.

 

Dante est dominateur, sûr de lui, farouchement indépendant…

Hors de question de révéler ses failles et ses blessures à qui que ce soit !

Sauf qu’il vient d’échapper de peu à la mort dans un accident d’avion, et qu’il a besoin de soins, d’une infirmière à domicile.

Quand Blanche débarque dans son palace grec, elle sait déjà qu’il va tout tenter pour la faire fuir.

Mais il ignore qu’elle a encore plus de caractère que lui !

Et lorsqu’en plus, le désir et la passion s’en mêlent, l’affrontement n’en devient que plus savoureux…

 

***

 

– Je n’ai pas besoin de toi. Tire-toi !

Pardon ?

– À moins que tu n’aies envie de remplacer ma main ?

Quoi ?

Aurait-il changé au point de devenir un parfait connard, ou l’était-il déjà avant ?

– Je ne suis ni assistante sexuelle, ni pute, rétorqué-je, oubliant pour un temps mon excitation et fermement décidée à ne pas me laisser intimider. Et je crois que tu n’es pas atteint au point de ne pas pouvoir te masturber !

Ses iris deviennent encore plus noirs, presque implacables.

– Mets-toi à poil, ça me motivera !

Putain, il le fait exprès ou quoi ? Quel con !

– Je sais ce que tu es en train de faire, Dante, mais sache que ça ne marchera pas avec moi.

– Ouais, je suis en train de me branler, tu veux vérifier ?

J’ai dû lui sembler ingénue lors de nos précédentes rencontres pour qu’il pense que le sexe me fait peur, ce qui n’est pas le cas.

– Tu m’as coupé dans mon élan, tu me dois bien ça, non ?

– Provocateur ! lâché-je, en soudant mon regard au sien.

– Voyeuse ! répond-il du tac au tac.

 

 

***

 

Bastard of the Year, d’Ana Scott, histoire intégrale.

L’embrasser ou l’insulter ?


Aprile adore sa vie : libre et sans attaches, promise à une carrière passionnante, elle est entourée d’une sœur adorable et d’une meilleure amie loufoque…

Tout lui sourit ! Le seul hic, c’est son boss. Archibald Perkins est sexy, imposant, exigeant… et froid comme la banquise.

Il l’attire autant qu’elle le déteste, mais elle refuse de céder à ce désir : elle joue trop gros, elle pourrait tout perdre !

Sauf qu’il suffit d’une blague innocente, d’un ou deux quiproquos et d’un baiser aussi interdit qu’incendiaire pour tout faire basculer…

Et Aprile a beau lutter, sa raison ne fait pas le poids face à son boss aussi canon qu’insupportable !


***


– Mademoiselle Barnett, souffle-t-il quand j’arrive à sa hauteur.

Son torse se soulève irrégulièrement et ses épaules sont tendues.

– Monsieur Perkins.

Je contourne son bureau en l’effleurant du bout des doigts, d’une allure aguicheuse. Hier, il est parti comme un voleur et a oublié de me donner quelque chose. Et je compte bien le récupérer, maintenant.

Je pose mes mains sur les accoudoirs de son siège, le surplombant. Ma position lui offre une vue plongeante sur mon décolleté. Mon chemisier pend en avant et mes seins tentent de s’échapper de mon soutien-gorge blanc. Archibald ne rate pas une miette du spectacle et déglutit difficilement.

Je suis ravie de l’effet que je produis sur lui et de son absence de contestation. Avec audace et détermination, je m’agenouille doucement à ses pieds. Son regard braqué sur moi, ses pupilles se voilent immédiatement d’un désir brut.

Nous y voilà.

– Aprile…



***


B.O.S.S. – Beau, Odieux, Sexy, Snob, d'Aimée Bianca, histoire intégrale.

Elle le déteste le jour et en rêve la nuit.


En un texto, la vie de Joséphine bascule. Elle se retrouve brusquement célibataire, avec un nouvel appart, un nouveau quotidien et, cerise sur le gâteau, un nouveau patron.

Nathan est hostile, arrogant, et surtout imprévisible. Pourtant, Joséphine doit lutter contre une attraction incompréhensible.

Il est tout ce qu’elle fuit, mais elle ne rêve que de se jeter dans ses bras !

Est-elle prête à prendre le risque ?


***


Dès que les portes de l’ascenseur s’ouvrent, je m’y précipite, appuie sur le bouton du troisième étage. Lorsque je me retourne, je croise les yeux de Nathan braqués sur les miens. Leur intensité me coupe le souffle et mon cœur rate un nombre incalculable de battements. Sans réaliser l’effet qu’il a sur moi, mon boss avance d’un pas tranquille, se rapproche, comme s’il ne devait jamais s’arrêter. Instinctivement, je recule et sursaute au moment où mon dos nu rencontre le miroir. D’un air sérieux, il place ses bras de part et d’autre de ma taille, les mains calées sur la barre qui court le long de la paroi. À vingt centimètres à peine de lui, de sa chaleur, enivrée par son odeur, je me sens surexcitée, prête à toutes les folies. Je me mords la lèvre, fébrile, pour canaliser ce bouillonnement.

— Qu’est-ce que tu fais ? questionne Nathan d’une voix sourde.

<i>Je ne fais rien. Rien du tout.

J’essaie, en tout cas, de ne rien faire, tandis que lui...

— Toi, qu’est-ce que tu fais ?

Il tend la main vers la console pour stopper l’ascenseur, puis se rapproche encore de moi, m’obligeant à lever la tête pour pouvoir le voir. La cabine risque de prendre feu, vu la tension qui y règne, et moi de me liquéfier. Mon regard se perd sur ses lèvres, si proches, si tentantes. Va-t-il m’embrasser ? Lorsqu’il se recule soudain, enfonçant les mains dans ses poches, je réalise que j’en meurs d’envie.

— Il ne faut pas qu’on fasse de bêtises, marmonne-t-il. On bosse ensemble, ce serait idiot.

— Ouais, idiot... Quel genre de bêtises ?

Le regard de Nathan revient vers moi, il brille d’une lueur ardente.

— Le genre, je te plaque contre cette paroi, puis je soulève ta robe pour glisser ma main dans ta culotte, annonce-t-il sur un ton vibrant.

J’ai vraiment très chaud. Ses mots, les flashs qu’ils créent dans ma tête font fondre les inhibitions que le vin n’avait pas encore dissoutes. Des picotements se répandent dans tout mon corps, jusqu’à se concentrer là où Nathan projette de placer sa main. Je me fiche qu’il soit mon patron et le type le plus instable de la planète. J’ai envie de lui, de ses doigts sur moi. Je tente d’ignorer mon attirance depuis des mois, et j’en ai plus qu’assez. Je le veux. Maintenant.


***


Règle n° 1 : Never Kiss The Boss, d’Alix Parks, histoire intégrale.

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