À Paris dans le quartier latin, les amours se font et se défont… Le classique des classiques!

Aperçu

Langue: 
Italien (Sous-titres : français et anglais)
Durée: 
2H30
Entracte: 
2

Résumé

Depuis sa première en 1896, La bohème de Giacomo Puccini tient une place de premier plan dans le répertoire lyrique. « Je n’hésiterai pas à dire que La bohème est un chef-d’œuvre », écrit l’éditeur Giulio Ricordi. La bohème est remarquable non seulement par ses airs, tels les bijoux opératiques « Che gelida manina », « Mi chiamano Mimì » et « Quando m’en vò », mais aussi par l’attention aux détails de Puccini, qui fait briller la vie quotidienne de toutes ses couleurs. Selon Claude Debussy, Puccini réussit à dépeindre la Paris des années 1830-1840 mieux que quiconque. En même temps, bien plus qu’un simple portrait historique, La bohème de Puccini nous révèle les mouvements profonds de l’âme humaine.

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Extraits musicaux

La Bohème - Extraits musicaux

L'art de survivre...

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La bohème - Balado

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La bohème - Pub TV

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La bohème - Le premier rôle

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La bohème - Les particularités de l'opéra de Puccini

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La bohème - Mimì vu par Michel Beaulac

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La bohème - Mimì vue par France Bellemare

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La bohème - Les défis de Mimì

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La bohème - France Bellemare

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La bohème - Alain Gauthier

Compositeur

Giacomo Puccini  >

Puccini est le compositeur italien d’opéras le plus populaire après Verdi. Appartenant à une lignée de compositeurs et d’organistes, il se retrouve dès l’âge de cinq ans orphelin de père. Sa formation musicale est alors prise en charge par son oncle et, à seize ans, il entre à l’Istituto musicale Pacini où il compose ses premières œuvres.

Metteur en scène

Alain Gauthier  >

Metteur en scène apprécié du milieu lyrique, Alain Gauthier continue de faire sa marque en Amérique du Nord...

Distribution

Douanier Clermont Tremblay / Sergent Alain Duguay / Décors Olivier Landreville / Éclairages Claude Accolas / Costumes Opéra de Montréal / Chef de choeur Claude Webster / Pianiste-répétitrice Louise-Andrée Baril

Argument

  • Acte I

    L’action se passe à Paris.

    Une mansarde. – C’est la veille de Noël, il fait froid. Marcello peint, Rodolfo écrit. Pour un peu de chaleur, Rodolfo brûle son œuvre... Colline, le philosophe, vient se joindre à eux autour du maigre feu. L’arrivée de Schaunard, les bras chargés de victuailles, ramène la bonne humeur. Mais la fête est interrompue par Benoît, le propriétaire de l’immeuble, qui vient réclamer le loyer. Les quatre amis s’en débarrassent habilement. Marcello, Colline et Schaunard  décident d’aller réveillonner au café Momus ; Rodolfo les rejoindra plus tard, car il doit terminer un article. Soudain, on frappe à la porte. C’est une voisine, Mimi, qui demande du feu pour rallumer sa chandelle. Prise d’un malaise, elle égare la clé de sa chambre… La conversation s’engage, Rodolfo et Mimi se racontent leur vie. Elle lui propose de l’accompagner chez Momus.

  • Acte II

    Le café Momus. – Rodolfo présente Mimi à ses amis, quand arrive Musetta, l’ex-maîtresse de Marcello, actuellement en ménage avec le riche Alcindoro. Musetta, désireuse de reconquérir son peintre, se lance dans un numéro de séduction qui exaspère aussi bien Alcindoro que Marcello. Elle simule une soudaine douleur au pied dans le but d’expédier Alcindoro chez un bottier. Musetta et Marcello se réconcilient. Toute la bande s’enfuit, non sans avoir refilé les additions du souper à Alcindoro...

  • Acte III

    La Barrière d’Enfer. – Un matin d’hiver, balayeurs et laitières s’affairent. D’un cabaret voisin, où travaille Marcello, parvient la voix de Musetta qui chante pour les clients. Mimi vient retrouver le peintre et lui confie ses tourments amoureux. Mais voici Rodolfo ; Mimi se cache. Rodolfo s’ouvre aussi à Marcello : Mimi est très malade et ne guérira pas si elle continue de partager sa vie de bohème… Rodolfo aperçoit soudain Mimi et les deux amants se résignent à se séparer dès l’arrivée du printemps. Tandis qu’ils se raccrochent à ce bref sursis, Marcello et Musetta se querellent et semblent sur le point de rompre.

  • Acte IV

    La mansarde. – Le printemps est de retour. Rodolfo et Marcello essaient de travailler ; le premier pense à Mimi, le second à Musetta. Schaunard et Colline arrivent et les quatre amis se livrent à des jeux de gamins. Musetta accourt, bouleversée : Mimi est au plus mal. On s’empresse autour de la malade. Pour lui payer un médecin, Musetta vendra ses boucles d’oreilles, Colline sa vieille redingote. Schaunard laisse seuls un instant Rodolfo et Mimi qui évoquent les souvenirs de leur amour… Mimi mourra paisiblement entourée de ses cinq amis.

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