Rendre l'amélioration possible
Découvrez en quoi nos initiatives améliorent la qualité de vie des Canadiens et des Canadiennes.

Sur cette page
- Appuyer les employés transgenres
- À la poursuite de la neutralité en carbone : L'édifice Arthur Meighen
- l’histoire de Dolorèse en tant que fonctionnaire à la retraite
- l’histoire de Kyra en tant qu’agente de la GRC à la retraite
Appuyer les employés transgenres
Mia Sigouin, employée de Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC), nous parle de son expérience en milieu de travail pendant sa transition vers son identité sexuelle confirmée. La gestionnaire de Mia et les membres du groupe de travail sur le guide de soutien aux employés transgenres donnent un aperçu de la création du document Soutien aux employés transgenres : Guide à l’intention des employés et des gestionnaires.
Transcription : Appuyer les employés transgenres
Début de la vidéo
(Une musique joue)
(Plan de Mia Sigouin et Emmanuelle Gallays)
(Mia Sigouin parle)
Ma vie avant ma transition était plutôt compliquée.
(Texte à l’écran : Rendre l’amélioration possible)
(Page couverture du document Soutien aux employés transgenres : Guide à l’intention des employés et des gestionnaires)
(Image de Mia à l’adolescence, avant la transition)
J’étais tellement mal dans ma peau que je pense que mon corps abandonnait, et j’ai pris la décision de faire le saut et d’entreprendre une transition.
(Texte à l’écran : Mia Sigouin, gestionnaire, Direction du Programme de voyage prochaine génération, Services publics et Approvisionnement Canada)
Lorsque vous prenez cette décision et que vous l’annoncez à un gestionnaire, le type de milieu de travail est extrêmement important.
(Plan d’Emmanuelle Gallays)
(Emmanuelle Gallays parle)
(Texte à l’écran : Emmanuelle Gallays, directrice, Sensibilisation, médias sociaux et services créatifs, Services publics et Approvisionnement Canada)
C’était évident qu’elle était vraiment, mais vraiment nerveuse. Elle a donc tourné le téléphone pour me montrer le diagnostic officiel du médecin et je n’ai pas compris ce que c’était. S’agissait-il d’une dysphorie de genre?
(Mia Sigouin intervient)
Oui, dysphorie du genre.
(La définition de la dysphorie de genre apparaît à l’écran : État caractérisé par un sentiment persistant d’inconfort ou de détresse causé par une discordance entre l’identité de genre et le sexe assigné à la naissance.)
(Emmanuelle Gallays continue de parler)
Je n’avais jamais entendu ce terme auparavant. Nous voulions en quelque sorte documenter le parcours en nous appuyant sur la perspective de Mia, mais aussi sur le point de vue du gestionnaire. C’est un peu ce qui a été à l’origine du guide.
(Plan de Kara Lafleur)
(Texte à l’écran : Kara Lafleur, conseillère en ressources humaines, Division de l’équité en matière d’emploi, Services publics et Approvisionnement Canada)
(Kara Lafleur parle)
Ils nous ont donc approchés, « nous» étant mon équipe, Diversité et Équité en matière d’emploi, parce que Mia était en transition et qu’il n’y avait aucune politique ou aucun document directeur dont elle avait connaissance. Mon équipe, Équité en matière d’emploi, a établi un groupe de travail et a sollicité des commentaires auprès de divers intervenants, notamment d’autres disciplines des ressources humaines comme la rémunération et les relations de travail, des employés syndiqués, de représentants des divers syndicats et des membres de notre Réseau FIERTÉ au travail, qui est un réseau pour la communauté LGBTQ2+ ici à Services publics et Approvisionnement Canada.
(Graphique représentant les divers intervenants qui ont contribué à l’élaboration du guide sur le soutien aux employés transgenres)
(La définition de LGBTQ2+ apparaît à l’écran : lesbienne, gai, bisexuel, trans, queer et bispirituel (expression adjectif).)
(Plan de Gordon Bulmer)
(Texte à l’écran : Gordon Bulmer, représentant de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada, Services publics et Approvisionnement Canada)
(Gordon Bulmer parle)
J’ai participé à l’élaboration du guide, notamment car je suis membre du Comité conjoint sur la diversité et l’équité en matière d’emploi ici au Ministère. La lutte visant à inclure les droits à l’expression sexuelle dans la Loi canadienne sur les droits de la personne a duré 12 ans. En juin 2017, l’expression du genre a été ajoutée à la Charte canadienne des droits et libertés en tant que motif de discrimination illicite, ce qui permit de grandement améliorer la vie des personnes transgenres ici au Canada.
(Image d’affiches du rassemblement des droits de la personne, suivie d’une image de drapeaux canadiens, entourés en alternance de drapeaux LGBTQ2+ et transgenres)
(Graphique représentant la modification apportée à la Charte canadienne des droits et libertés par le projet de loi C-16 pour inclure l’identité sexuelle ou l’expression de genre)
(Image d’une rue décorée de drapeaux représentant l’arc-en-ciel de couleurs LGBTQ2+, suivie d’une image de ballons roses et de drapeaux LGBTQ2+ décorant une rue)
(Plan de Kara Lafleur)
(Kara Lafleur parle)
Le guide a démarré un mouvement. Nous en sommes encore aux premiers balbutiements, mais nous pouvons constater différents changements dans l’ensemble du Ministère et du gouvernement fédéral. Par exemple, au sein du Ministère, notre Bureau de la traduction a créé un lexique pour accompagner notre guide.
(Animation représentant les différents termes utilisés dans le lexique sur la diversité sexuelle et de genre)
Le Bureau de la traduction a élaboré lexique sur la diversité sexuelle et de genre comportant tous les termes dans les deux langues officielles, ce qui était très important parce qu’il est très difficile de trouver la terminologie en français. Ainsi, l’ensemble de la population et des entreprises privées canadiennes peuvent avoir accès à cet outil.
(Animation représentant l’adresse de la page Web pour accéder au lexique sur la diversité sexuelle et de genre)
(Plan de Gordon Bulmer)
(Gordon Bulmer parle)
Le fait que le Conseil du Trésor et d’autres ministères aient utilisé notre guide comme base de référence pour l’élaboration de futurs documents sur l’appui aux personnes transgenres démontre le leadership de notre ministère concernant les enjeux de justice sociale.
(Animation montrant les différentes pages du guide de soutien aux employés transgenres)
Cela prouve que le gouvernement du Canada peut être un chef de file de la justice sociale et non un simple suiveur.
(Image du premier ministre Justin Trudeau levant le drapeau LGBTQ2+ sur la Colline du Parlement, suivie d’une image d’un drapeau canadien stylisé avec l’arc-en-ciel de couleurs LGBTQ2+)
(Plan de Kara Lafleur)
(Kara Lafleur parle)
Nous avons reçu le Prix d’excellence de la fonction publique pour les valeurs du secteur public en milieu de travail. C’est le prix Joan Atkinson. Nous en sommes très fiers et heureux.
(Image du groupe de travail sur le guide de soutien aux employés transgenres recevant un prix lors de la cérémonie de remise des prix)
Et c’était tellement agréable de faire partie d’un groupe et de créer ce document qui va vraiment permettre d’aider quelqu’un immédiatement. On peut déjà voir les résultats.
(Mia Sigouin parle)
(Photo de Mia travaillant à son bureau, suivie d’un portrait de Mia dans un contexte professionnel)
Dans l’ensemble, mon expérience de travail à SPAC a été excellente grâce à la direction, à la haute direction, à ma gestionnaire et à mes collègues. Grâce à eux, j’ai vécu une expérience incroyable.
(Texte à l’écran :Consultez le guide et le lexique en ligne à : canada.ca/lexique-diversite, canada.ca/guide-trans)
(La musique arrête)
(Signature de Services publics et Approvisionnement Canada)
(Mot-symbole « Canada »)
Fin de la vidéo
À la poursuite de la neutralité en carbone : L'édifice Arthur Meighen
L'édifice Arthur Meighen devrait être l'un des premiers édifices fédéraux neutres en carbone. Une fois terminé, il comprendra des panneaux solaires, un système de chauffage et climatisation géothermique et servira d'édifice principal du gouvernement du Canada pour la région de l'Ontario.
Transcription : Rendre l’amélioration possible : visons la neutralité carbone : édifice Arthur-Meighen
(Musique)
(Texte affiché à l’écran : Rendre l’amélioration possible)
(Mirela Nasaudean parle)
(Panneau de l’édifice Arthur-Meighen)
Obtenir l’approbation pour atteindre un bilan carbone neutre maximal était un rêve. Par conséquent, lorsque nous avons obtenu l’approbation, ah! Je pense avoir pleuré.
(Texte affiché à l’écran : Visons la neutralité carbone)
(Texte affiché à l’écran : Mirela Nasaudean, chef d’équipe de projets, Services publics et Approvisionnement Canada)
Je ne m’en souviens pas, mais j’étais si heureuse. Ce fut la réalisation dont je suis la plus fière dans ma vie de fonctionnaire.
(Mirela regarde par la fenêtre.)
(Vue sur la rue, des autos circulent)
L’édifice Arthur-Meighen est situé au 25-55, avenue St. Clair Est, à Toronto, en Ontario.
(Mirela, dans une salle mécanique, parle.)
On m’avait simplement demandé, à titre de gestionnaire de projet, de commencer une étude de faisabilité en 2015 alors que nous envisagions un projet de rénovation important.
(Mirela et Maria McGibbon discutent devant l’édifice.)
C’est à peu près tout ce qu’on nous demandait de faire : déterminer quel était l’état actuel de l’édifice Arthur-Meighen.
(Mirela discute de plans de construction avec deux collègues.)
Une nouvelle direction a amené un changement des priorités. J’étais très enthousiaste lorsque je l’ai su. Une occasion nous était offerte de vraiment envisager quelque chose de mieux.
Le Conseil du bâtiment durable du Canada a été invité à table par l’équipe à l’Administration centrale. Il nous a demandé si nous étions intéressés à participer au Programme pilote des bâtiments à carbone zéro.
(Façade de l’édifice)
(Maria McGibbon parle)
(Texte affiché à l’écran : Maria McGibbon, spécialiste principale en durabilité, Services publics et Approvisionnement Canada)
(Maria est dans une salle mécanique et prend des notes.)
(Le drapeau du Canada flotte sur le toit d’un édifice.)
(Image informatisée de la vue aérienne du futur édifice)
À mi-chemin de la première conception du projet, nous avons été avisés de cesser ce que nous faisions et de penser à une nouvelle conception qui permettrait de repousser les limites et d’obtenir un bilan carbone neutre.
Nous savions que nous pouvions y parvenir, mais nous ne savions pas comment et cela faisait partie de nos défis à relever. Il n’existait aucun modèle précédent, ni aucune orientation précédente sur la façon de le faire.
(Maria examine les plans de construction avec deux collègues.)
(Maria ouvre une porte coulissante.)
Nous devions, en tant qu’équipe, créer la voie à suivre.
(Image informatisée de la façade du futur édifice)
(Des croquis des futurs panneaux solaires installés sur le toit)
Graphique animé des systèmes géothermiques)
Nous avons défini la neutralité en carbone comme étant, en premier lieu, l’atteinte du plus haut rendement énergétique possible et ensuite, comme l’utilisation et la création d’énergie dans le bâtiment, entre autres en installant des panneaux solaires sur le toit et en mettant en place un système de géothermie pour chauffer et climatiser le bâtiment.
(Kent A. Watson parle à la caméra)
(Texte affiché à l’écran : Kent A. Watson, directeur régional des services à la clientèle, Services publics et Approvisionnement Canada)
Je suis d’avis qu’il est extrêmement important pour nous, à Services publics et Approvisionnement Canada, de diriger le gouvernement fédéral vers la construction d’immeubles de ce type.
(Kent et Maria examinent des plans de construction.)
(Vue d’un étage vide et de Maria qui parle à deux collègues)
(Texte affiché à l’écran : 80 % et une flèche qui pointe vers le bas)
La conception elle-même était d’utiliser le bâtiment existant et de réduire, par plus de 80 %, les émissions de gaz à effet de serre et les émissions de carbone.
Ce simple fait permettra de souligner aux employés actuels ou aux nouveaux employés qu’en travaillant dans cet environnement, ils contribuent à un milieu beaucoup plus sain, autant à l’intérieur du bureau que dans la ville elle-même.
(Vue du dos d’un employé qui travaille devant un ordinateur)
(Vue d’une ville)
(Maria parle à la caméra.)
L’option maximale pour obtenir un bilan en carbone neutre englobait aussi des caractéristiques liées au mieux-être, par exemple en intégrant des éléments de conception comme l’accès à la lumière du jour. Une autre principale caractéristique liée au mieux-être dans l’édifice que nous avons ciblée était de nous assurer qu’il y aurait un accès à la lumière du jour et aux vues dans les escaliers et que chaque étage serait connecté à l’intérieur et à l’extérieur de sorte que lorsque vous montiez les marches, vous pouvez regarder à l’extérieur et ce, du rez-de-chaussée jusqu’à l’étage supérieur.
(Une image en mouvement du futur escalier vu du devant de l’édifice)
(Vue aérienne de la conception informatisée du futur édifice)
(Kent parle à la caméra)
(Mirela marche dans une salle vide.)
(Texte affiché à l’écran : Norme WELL, air, eau, alimentation, lumière, confort, activité physique, esprit)
(Image informatisée d’une salle d’entraînement)
Le certificat WELL représente une amélioration à une conception normale d’immeuble. Il tient compte de la santé des occupants. Il considère également l’eau, la lumière, l’utilisation de l’énergie et la santé des occupants. Il s’agit d’une approche holistique en matière de conception qui intègre tout le monde.
(Mirela est devant un écran et fait une présentation devant des collègues.)
L’accessibilité a toujours été quelque chose dont Services publics et Approvisionnement Canada et le gouvernement fédéral se préoccupent. Chaque rampe, chaque espace, chaque aire de repos ou chaque aire de collaboration serait accessible à chaque personne. L’Institut national canadien pour les aveugles réalise un superbe projet pilote à l’intersection des rues Yonge et St. Clair.
(Une balise est fixée à un mur, au-dessus d’une porte.)
Dans le cadre de ce projet, l’Institut collabore avec toutes les entreprises dans le secteur en installant des balises, qui sont de petits dispositifs, à l’intérieur ou à l’extérieur des immeubles.
Ces balises pourront communiquer avec un appareil intelligent que les gens porteront sur eux et qui leur liront ce qui se produit ou arrive dans la zone où ils se trouvent.
(Une femme qui porte des écouteurs utilise un téléphone intelligent.)
(Maria parle à la caméra.)
Nous avons été appuyés par notre haute direction pour sortir des sentiers battus et explorer d’autres solutions. La seule façon dont nous allons, vous savez, apporter un changement est si nous passons à l’action et créons un véritable emplacement phare pour la population canadienne et fournissons une nouvelle façon de rénover les immeubles.
(Maria est debout à côté d’une fenêtre dans l’édifice.)
(Vue extérieure de la façade de l’édifice actuel)
(Maria et Mirela sont sur le toit et discutent; un drapeau du Canada flotte en arrière-plan.)
(Mirela est sur le toit et parle à un collègue.)
(Image informatisée de la façade du futur édifice)
(Texte affiché à l’écran : En construction, les travaux devraient être achevés d’ici 2022)
(Signature de Services publics et Approvisionnement Canada)
(La musique arrête de jouer.)
(Mot-symbole « Canada »)
Fin de la vidéo
Moderniser nos services de pension
SPAC est responsable de l'administration des pensions pour tous les employés du gouvernement et cherche constamment à moderniser son modèle de prestation des services de pension, afin de rendre l’amélioration possible. Découvrez les histoires de Dolorèse et de Kyra et voyez comment le ministère fait une différence dans la vie des gens lors d’une période de transition significative.
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